quarante huit

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FOUAD

« Pour apaiser mes plaies, pour oublier mes peines, j'refais le monde avec mes rêves

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« Pour apaiser mes plaies, pour oublier mes peines, j'refais le monde avec mes rêves. »
SCH | Haut Standing

Elle avait enfin préparer la chambre de prière, c'était elle qui m'avait remis dans le droit chemin, enfin qui m'avait fait reprendre la prière et j'étais heureux de ça. Ma soeur a toujours été dans la religion.

Avec Alda, on avait prier 30 minutes aujourd'hui, on avait fait des prières pour Issana. On remettait tout entre ses mains à présent.

Alda : Je vais préparer a manger...

Moi : Okay, je vais rester ici encore un peu.

Elle a hoché la tête puis m'a laissé seule ici, c'était apaisant j'en avais besoin. J'ai encore prier dix minutes pour elle, c'était tout ce que je pouvais faire façon, j'étais impuissant encore une fois.

Conversation Téléphonique

J'ai répondu au téléphone tout en sortant de la chambre, je me suis dirigé ensuite dans la mienne.

Moi : Yes?

Boss : J'ai une nouvelle à t'annoncer.

Moi : Je t'écoutes, vas-y dis moi.

Boss : Double $$ s'est fait planter à la jambe et c'est pas tout, le couteau était rouillée de plus année et pour éviter le tétanos on va l'amputer. T'as réussi à gâcher sa vie - rit -

Moi : Comme il a gâcher la mienne, - sourit - Il mérite que ça.

Boss : Après son séjour à l'hôpital, il ira dans une autre prison.

Moi : Déjà ? A ce stade la, il fera toutes les prison de France.

Boss : Jusqu'à mourir...

Moi : Jusqu'à mourir.

Boss : Bon, il est bientôt 20h, je vais finir mon taff.

Moi : Vas-y!

Puis on a raccroché, j'ai mis mes chaussures et je suis allez rejoindre Alda dans la cuisine.

Moi : Bon je vais y allez okay, m'attend pas pour ce soir je penses pas rentrer.

Elle a hoché la tête puis je lui ai fais un bisou sur le front, je me suis dirigé vers ma voiture et j'ai roulé jusqu'à l'hôpital. Je n'y étais pas allez de la journée, j'essaie d'y allez qu'une fois par jour maintenant, ça me rend malade sinon.

Je manges plus, je fais plus rien quand j'y vais du coup, pour ma santé j'essaie d'y allez de moins en moins.

Une fois arrivé j'ai vu le médecin au loin qui parlait à une infirmière, quand il m'a vu il m'a sourit ce qui m'a un peu rassuré.

Médecin : Bonjour, vous allez bien?

Moi : Et vous ?

Médecin : Ça va, alors il y a du progrès!

Moi : Dieu merci.

Médecin : Elle se bat comme elle peu mais elle progresse et maintenant elle respire de nouveau, je ne vous cache pas que dans la nuit son coeur s'est encore arrêté mais après un massage cardiaque intense, elle s'est remis à respirer seule et sans machine.

Moi : - sourit - Merci, merci d'être là pour elle.

Médecin : - rit - Ce n'est que mon travaille, bon, nous ne somme pas tirer d'affaire encore mais il y a du progrès.

Moi : Merci beaucoup.

Il m'a sourit puis on est allez chacun à nos occupations, je suis rentrée dans la chambre et j'ai souris en la voyant. Je me suis couché à côté d'elle et j'ai soupiré.

Moi : Tu m'fais stressé Issana, c'est pas bien ce que tu me fais bébé. Tu m'rend malade. - petit rire -

J'ai embrassé sa joue puis je me suis laissée dormir à côté d'elle, je dormais plus la nuit, je dormais
plus tout court. Je dormais que quand j'étais avec elle.

sept heures quatre. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant