quinze

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ISSANA

« Dans mon cœur ça pue la merde

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« Dans mon cœur ça pue la merde. »
Josman | Babygirl

Je venais de finir dans la salle de bain, j'avais tout bien nettoyer j'avais frotter à la brosse les moindres petites tâches, j'étais épuisée. Au moment où je suis descendu la
porte s'est ouverte doucement, j'ai commencé à sourire et je me suis approché de celle ci.

Plus je m'avançais plus mon sourire diminuait, je l'ai regardé de bat en haut. Ses mains étaient égratignées, dans sa main droite il y avait un bouquet de rose tout écrasé, des roses avec une pétale dessus, sa bouche ouverte, son nez remplis de sang... Wow, je me suis dépêché d'aller vers lui puis je l'ai aider à marcher jusqu'à la salle de bain du bas. Je l'ai assis sur le rebord du jacuzzi, j'ai pris des cotons imbibé de désinfectant et je l'ai direct soignée et calmer les saignements.

Moi : J-

Fouad - me coupe - : Je sais... Je sais que tu es dans l'incompréhension.

Moi : Explique moi, c'est qui?

Je savais que ce n'étais pas Double $$ ou quelqu'un du QG, sinon il ne serait pas revenu. Il serait mort à ce moment même.

Il a soupiré puis s'est mis le pansement au niveau de l'arcade seul, il est allez vers le salon et à ramasser les roses qui étaient au sol. Je l'ai suivi les sourcils froncés.

Moi : Fouad! Explique moi.

Fouad : J'étais allez t'acheter des roses, je voulais te faire plaisir et aussi te remercier de m'aider.. - s'assoit - Et la y'a un mec qui a surgit de nul part et qui a arraché le porte feuille d'une dame qui était en train de payer. J'avais pas mon uniforme, j'étais en civil, j'avais tous les droits. Hassoul, je l'ai suivi puis quand je l'ai rattraper on s'est battu et comme tu le vois il s'en ai bien sorti même si je l'ai niquer et je l'ai emmenée au poste... Et bref.

Il a regardé son bouquet de rose et m'a fait un petit sourire gêné.

Fouad : Mais vasy... J'ai grave le seum pour tes roses. Elles sont toute abîmées, moche j'suis zehef.

Je l'ai regardé, autant je le trouvais grave sexy autant j'étais attendri.

Moi : C'est pas grave, c'est le geste qui compte. - souris -

Je me suis approché de lui doucement puis je lui ai fais un câlin, il m'a collé doucement à lui puis a caresser le bas de mon dos. Je lui ai fais un bisou sur la joue puis je me suis décalé un peu de lui pour le regarder.

Moi : On va manger ? J'ai faim.

Fouad : Allons.

J'ai souris puis on s'est dirigé vers la cuisine, il a jeté les roses à la poubelle et je nous ai servis le reste de paye bolo qu'il restait.

Fouad : wAllah un jour apprend moi à cuisiner.

Moi : - rit - C'est juste des pates.

Fouad : - rit - : Mais même ca je sais pas faire wesh!

Moi : Mais vous les arabes vous savez faire quoi?

Fouad - sourit - : Issana je vais te niquer ta gueule.

J'ai ris, j'aimais trop l'embêter. On a continué à manger tranquillement puis on s'est posé pour regarder la télé.

Je l'aime bien Fouad, c'est une grande amitié qui commence.

sept heures quatre. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant