vingt deux

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FOUAD

« Mille et une manières de l'dire, mais j'préfère te l'faire ressentir

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« Mille et une manières de l'dire, mais j'préfère te l'faire ressentir. »
Tout ou rien | Dadju & Océane

10:04, je venais de me réveiller. Issana était plaqué contre moi et j'ai souris, pour une fois j'avais écouter vraiment mes sentiments et j'ai agis comme je voulais le faire sans me dire : « C'est trop rapide, je vais regretter. » Je vais vivre au jour le jour avec elle, et j'en suis bien heureux.

Je me suis levée puis je suis directement allée me brosser les dents, une fois finis j'ai entendu du mouvement en bas. J'ai fermée la porte derrière moi et je me suis dirigé doucement vers le bruit, comme un con j'ai oublié de prendre mon flingue. C'est pas grave, je me
débrouillerais avec mes mains.

Plus je descendais, plus les voix m'était familière, j'ai soupiré quand j'ai vue les grosses têtes de mes parents.

Moi : Y'a pas à venir ici sans prévenir, surtout dans cette période.

Yemma : Ferme ta bouche viens me faire un bisou.

J'ai embrassé sur le front mes parents puis on s'est dirigé dans la cuisine.

Baba : Hm, on voit qu'il y a une femme ici c'est propre. Alors que toi, t'es bordélique, tu pues.

J'ai ris en ouvrant grand les yeux, c'était gratuit.

Yemma : - sourit : Laisse mon fils.

Moi : Hassoul, la prochaine fois envoyez moi un petit sms okay ? J'étais prêt à vous tirer dessus.

Yemma : Je suis venu faire un bon tajine pour vous, si t'es pas content je me casse.

Moi : - Sourit - Pardon yemma.

Baba : Fais pas ton sourire charmeur à ma femme !

Moi : Je fais ce que je veux avec ma mère. C'est ma femme aussi.

Yemma - rit - : Taisez vous la. Alors mon fils, elle est où Issana?

Moi : Elle est en haut elle dort, en parlant d'elle..

Baba : wAllay je savais ! T'es amoureux d'elle, on l'a vu direct avec ta mère.

Moi : - rit - J'suis pas amoureux d'elle Baba, mais oui je l'aime bien et je me suis mis en couple avec elle hier donc j-

Au même moment la porte s'est ouverte sur elle, elle était lavée et habillée. Elle a du entendre qu'on avait de la compagnie, elle a sourit timidement et est venu à côté de moi.

Issana : - doucement - Bonjour...

Baba : Bonjour ma belle, ça va ?

Issana : Oui ça va et vous?

Yemma : Tutoie nous! Moi c'est Jasmine et lui c'est Abdel, on est les parents de Fouad. Tu vas bien, c'est pas trop dur avec sa grosse tête ?

Moi : Wesh?

Issana - rit - : Ca va il s'en sort bien.

Baba : T'es toute belle, je suis contente que tu sois ma belle fille.

Issana m'a regardé avec des grand yeux et j'ai ris, mon père il peut pas tenir sa bouche c'est trop. Ils ont continué à parler quelques minutes puis la discussion est devenu un peu plus sérieuse.

Yemma : Et tu penses que tu peux nous parler d'elle ?

Baba : De Alda... Tu es la seule qui peut répondre à nos question.

Issana : Oui j'aimerai beaucoup - sourit - Je ne sais pas si je pourrai répondre à tout car je ne l'ai pas tellement fréquenté mais j'essayerai.

Issana m'a regardé comme pour savoir mon avis puis j'ai hoché la tête comme pour lui dire qu'il n'y avait pas de problème.

Baba : Est-ce qu'elle était heureuse ?

Issana : Hm, non pas vraiment. C'est vrai que les fois où j'étais avec elle, elle ne souriait pas. Elle n'était pas épanouie.

Ma mère a arrêter toute activité puis s'est mise à côté de mon père, c'était la première fois qu'ils avaient des réponses à leurs questions et ils étaient heureux d'avoir ses réponses, je le voyais dans leurs yeux.

Yemma : Est-ce qu'elle était.. Maltraitée ?

Issana : Hm oui et non.. Dans le sens où au début ce n'était pas rose pour elle sans mentir, elle a déjà été plusieurs fois à l'hôpital. Tout ça avant qu'il tombe sous son charme, il a commencé à la chouchouter, enfin il fallait qu'elle aille dans son sens.

Mes parents ne parlaient plus, Issana a décidé de continuer à parler en disant des mots un peu plus positif. Les yeux de Yemma brillaient pendant que mon père tenait fermement sa main.

Issana : Elle parlait souvent de vous, des fois on partager sa chambre avec Esmeralda... Et elle parlait souvent de sa famille, elle priait tout les soirs pour vous retrouver, elle avait une photo de vous qu'elle cachait dans son soutiens gorge.

D'un coup mon père a commencer à pleurer, Issana m'a directement regarder en arrêtant de parler.

Moi : - doucement  - Dis leurs.

Issana : La dernière fois que je l'ai vu, elle devait partir comme pour être servante chez le boss, comme j'ai dis à Fouad si le cercueil était vide c'est qu'elle est probablement encore en vie.

Ils m'ont regardé surpris et je me suis mordu la lèvre, putain ce foutu tic.

Issana : Si je devrais m'arrêter sur quelques choses c'est qu'elle m'a dit que quoi qu'il arrive, elle vous aimera toujours.

Yemma : Le couscous à finir de cuir, je penses qu'on va devoir rentrer. Merci Issana, merci c'est ce qu'on avait besoin d'entendre depuis ces années, merci pour l'aide que tu nous fournis.

Baba : Mon fils, pourquoi tu nous as cacher ça ? Le fait qu'elle sois toujours peut-être vivante ?

Moi : Parce que ce sont des suppositions papa, ce n'est rien de sur. Je voulais pas que vous soyez encore plus dans le mal. Que vous espérez..

Yemma : On va mieux, on entendu ce qu'on voulait entendre. C'est l'espoir qui nous fais tenir Fouad, c'est l'espoir de retrouver un corps... Mort ou vivant.

Mes parents m'ont fait un câlin et on fait la bise à Issana, on s'est regardé puis je lui ai fais un câlin. J'en avais besoin.

Issana : On l'a retrouvera, je te le promet.

sept heures quatre. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant