sept heures quatre.

onze

I S S A N A

« Mille et une manières de l'dire, mais j'préfère te l'faire ressentir. »
Dadju & Oceane | Tout ou rien du tout

Je me suis réveillée de bonne humeur et surtout sans mal de dos, j'avais dormi dans un bon lit, j'étais bien. Je suis allez me rincer la bouche et j'suis descendu. La maison était bien calme, il devait sûrement être au travail.

J'ai regardé les placards et j'ai vue plein de petite étiquettes pour m'orienter pour savoir où était quoi. J'ai souris et je me suis fais un bon petit dej, je me sentais comme dans une télé-réalité là, dans une grande maison c'était cool.

J'ai regardé ce qu'il y avait dans les placards et il y avait tout pour faire un bon mafé. Je me suis appliqué, j'aimais cuisiner, j'ai appris seule à faire de bon plat... Ma mère elle m'a rien appris. J'étais contente de lui faire ce plat c'était comme pour le remercier..

Une fois fini, je suis allez à la douche. J'allais pas rester en pyjama toute la journée quand même c'est mort.

J'ai fermé légèrement mon gilet puis j'ai attaché mes cheveux en queue de cheval. Au moment où j'me suis posé sur le lit mon bigo a sonné, c'était Esmeralda.

Conversation Téléphonique

Moi : Ouais ma go?

Esmeralda : Ca va ou quoi?

Moi : Oui toujours et toi? comment tu veux allez mal dans une maison pareil ?

Esmeralda - rit : T'as vue ça ? Gros, dans ma tête j'suis dans les marseillais là.

Moi - rit - : Gros j'me suis dis la même tout a l'heure. Sinon ça se passe avec celui qui t'héberge ?

Esmeralda : Oui, j'crois que j'lui plais d'ailleurs. Chérie, les yeux ne mentent pas et je suis sur qu'il me fait du rentre dedans.

Moi : Grr; j'aimerai trop le rencontrer wesh, il est beau ?

Esmeralda : Bien sur qu'il est beau, un beau renoi la grr mamamía. J'lui ferai bien une pipe.

On a rit puis j'ai entendu la porte s'ouvrir, j'ai raccroché et je me suis précipité vers celle ci pour le saluer. Je me suis légèrement mordu la lèvre quand je l'ai vu, dans son uniforme, forme des pecs qui apparaissait.. miam. Il est mignon putain.

Moi : Coucou.

Fouad : Ça va ? Ça sent bon de fou.

Moi : J'ai fais à manger, j'me suis dis tu vas rentrer du taff fatigué et tout.. Et c'était pour te remercier de m'héberger ici en attendant que tout se règle.

Il s'est approché de moi doucement en souriant, je l'ai détaillé du regard en faisant pareil puis je me suis dirigée vers la cuisine pour nous servir. On s'est mit face à face puis nous avons commencer à parler de tout et de rien.

Fouad : J'espère que mon uniforme ne te dérange pas ? Sinon je vais l'enlever hein.

Moi : Non t'inquiète pas, mange.

Au contraire, il est trop sexy la.

Fouad : Bismillah, - prend une fourchette - Hm, wAllah c'est trop bon. Tu dead ca.

Moi - sourit - : Merci oh my God, j'avais trop peur que t'aime pas la.

Fouad : Et sinon t'as quel âge ?

Moi : 22 ans et toi?

Fouad : 25 ans, ah ouais t'es petite en vrai. - sourit -

Moi : Tu te fou de ma gueule ? Y'a deux ans qui nous sépare, fais pas l'ancien. - plisse les yeux -

Fouad - rit - : Rahouaais, j'te sens tendu bizarre. T'es petite t'es petite wesh, y'a rien.

Moi : Tship, ton gros front la bouge. C'est toi t'es née trop tôt ouais.

On a continué à rire en mangeant puis il a débarrasser, je l'ai remercier et je suis allez me brosser les dents tranquillement. J'étais en train de plier mes derniers linges dans l'armoire quand il est venu me rejoindre pour se poser sur mon lit en me regardant faire.

Moi : Mon chou, tu vas apprendre à toquer. Je suis presque jamais habiller quand j'suis dans ma chambre.

Fouad : Oups, okay je ferai attention.

J'ai pliée le dernier jean puis je me sui assis en face de lui, il avait prit ses aises à se coucher dans mon lit lui.. J'avoue en même temps il est chez lui.

Fouad : Ça va tu te plaît ici ?

Moi : Ce n'est que le premier jour mais oui, c'est grave grand je m'y sens bien pour l'instant. J'espère juste que ça ne deviendra pas la routine.

Fouad : Ne t'en fais pas, tu restera pas ici éternellement. Je réglerai le problème assez vite pour que tu reprenne une vie normal.

Une vie normal.. Ça fait bien longtemps que je n'ai plus de vie normal.