cinquante neuf

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FOUAD

Moi : En vrai ma vie, n'a pas vraiment été rose. Alda s'est faite kidnappée et c'était depuis ce jour je ne savais pas pourquoi je me réveillais le matin. La croyant morte, je voulais juste la vengée puis après me laisser mourir.

Je n'aurai jamais pensée qu'Issana aurait changer toute ma vie, oh non je n'aurai jamais pensée. Je me sentais tellement vide, j'me suis senti tellement vivant quand elle est venu dans ma vie, elle a redonné un sens à mon existence et ça encore plus quand elle m'a aidé à retrouver Alda.

Très vite j'ai développé des sentiments envers elle, j'ai essayé de les cacher du mieux que j'ai pu, mais j'ai pas tenue longtemps mdr. En même temps, la voir tous les jours ça faisait qu'accentuée ce que je ressentais.

Et puis, toi aussi tu t'es fais séquestré et même si j'étais bien entouré je me sentais encore plus mort qu'avant, j'étais prêt à mourir pour que tu t'en sorte, vraiment. Et quand t'étais dans ce lit d'hôpital - rit - C'est Dieu que me maintenait en vie vraiment, parce que je sentais même plus mon coeur battre tellement j'étais vide de l'intérieur. Et puis grave à Dieu tu t'es réveillé, j'y croyais même pas, je pensais que c'était un rêve. A chaque fois que j'ai plus espoir en quelques choses, tu me donne toujours tord.

Et ça, personne devait le savoir mais quand t'as accouché de ma fille la manière dont j'ai pleuré - rit - Zehma la femme de ma vie accouche de la femme de ma vie j'étais choqué, et bientôt si Dieu le veut, tu m'en donnera une deuxième.

Maire : C'était de jolie vœu, c'est l'une des premières fois où je pleures pourtant chaque semaine j'ai un mariage. Après vos merveilleux discours, vous pouvez donc vous embrassez.

J'ai pris ses joues entre mes mains et j'ai embrassé son front doucement, nous étions officiellement mariée, elle avait enfin mon nom. La semaine dernière c'était le religieux et aujourd'hui la mairie et la grande fête.

On a traversé beaucoup de chose mais on s'en ai sorti, comme toujours. On s'aime plus que tout et ça ne changera pas.

Ça changera jamais.

FIN.

sept heures quatre. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant