Je regardais le taxi s'éloigner, par la fenêtre du salon avec ma grand-mère. J'étais triste, mais je gardais mes larmes pour moi, car si mamie me voyais pleurer elle aussi s'y mettrais. Je me tourne vers elle.
Moi : Mamie, je vais aller faire un tour dans le quartier, je ne rentrerais pas très tard, mais n'hésite pas a manger sans moi.
Mamie : D'accord.
Moi : Je t'aime. Je suis heureuse d’être avec toi.Elle me souri et me dit de filer, ce que je m’empresse de faire. Je sors mon paquet de cigarettes, et m'assoit sur le premier banc que je vois. Un banc couleur ébène dans un petit parc à côté de la maison de l'homme que j'ai vu tout a l'heure. Je prend mon iPod et mets ma musique préféré en route, Eminem. La vie me parait bien plus belle lorsque j'écoute de la musique. J'allumais ma cigarette, lorsque d'un coup je me sens observée, je ne saurais pas dire pourquoi. Je me retourne et le vois, il me regarde de sa fenêtre. Vu son visage, il doit être gêner, puis il se recule aussi vite qu'un éclair. Je commence a croire que je lui fait peur. Pour la peine je décide de refumer une cigarette.
... : Salut !
Je sursaute en lâchant un énorme cris, et me retourne.
Moi : MON DIEU ! Criais-je.
... : Oh, pas la peine de crier, tu vas réveiller les morts comme ça ! Désolé de t'avoir fait peur..
Moi : Ce n'est rien, désolé d'avoir crier.
… : Je m'appelle Benoît, dit il tout sourire.
Moi : Emily.Il s'assoit près de moi, sur l'autre parti du banc que j'occupais.
Benoît : Tu viens d'où ?
Moi : De Pologne.
Benoît : Waouh, comment ça se fait que tu viennes habiter ici ? Demanda-t-il l'air étonné.
Moi : Je change d'air, j'emménage chez ma grand-mère. Pourquoi tu me pose autant de questions alors que par la fenêtre, tu avais vraiment l'air de me détester ?
Benoît : Hum, on va bien s'entendre tous les deux. Je t'ai regardé comme ça car j'ai horreur qu'on m'espionne.
Moi : Hum, et pourquoi allons-nous si bien nous entendre ?
Benoît : Un pressentiment.Il me sourit, ah ! Enfin un sourire.
Un gros blanc s'installe, si il croit que ça m'amuse, il se trompe, et fortement.Benoît : Tu as quel âge ?
Moi : 22 ans et toi ?
Benoît : 24. Il commence a faire froid tu ne trouve pas ? Viens boire un verre avec moi.
Moi : J'imagine que ce n'est pas une question. Mais tes parents ne vont rien dire ?Il rigole, il se fou de moi ou quoi ?
Moi : Pourquoi tu ris ?
Benoît : C'est ma maison, j'y vis seul.
Il se met a rire de plus belle.Moi : Ah, bah pas la peine de rire je peux pas le savoir hein ! Dit-je énervé.
Benoît : Désolée, madame pas d'humour.
Moi : Pfff.Il se lève et me tend la main que je saisi. Il m'aide a me relever, me prend par le bras et m’emmène jusque chez lui, puis il m'ouvre.
Benoît : Entre je t'en prie.
Moi : Merci.Banale, voilà la première impression de sa maison. Mais il y a une odeur magnifique dans cette maison, je ne saurais dire laquelle, je savais seulement que j'adorais, et que j'allais me sentir très bien dans cette maison. Cet homme m'intrigue au plus haut point.
Benoît : Tu veux boire quoi ?
Moi : Ce que tu veux, je m'en fiche.Lorsque Benoît reviens, il me frôle la main en posant mon verre, ça m'a fait rougir.
Benoît : Coca. Viens t’asseoir.
Moi : Oui, merci...On parlait de tout et de rien, de la pluie et du beau temps. Je me sens bien en ça présence, il avais quelque chose de rassurant. (mis a part son humour pourri). La sonnerie retentis et 3 jeunes hommes entrèrent sans attendre.
... : Salut
Benoît : Vous deviez venir a 19h non ?
... : Oui, mais on voulais venir plus tôt. Pourquoi ? On dérange ?
... : Ouuuuuuuh je crois que oui...
Benoît : Fermez la.. je vous présente Emily, elle vient de Pologne, c'est ma voisine depuis peut, et pendant un temps indéterminé !
Moi : Salut... Dit-je timidement.
... : Florian.
... : Fabien.
... : Nicolas.
Moi : Enchantée.
Eux 3 : De même.
Moi : Hem, je doit rentrer, ma grand-mère m'attend. Désolé, je te laisse Benoît, tu sais où me trouver, à bientôt.Je m'empresse de sortir de la maison et de refermer la porte, mais quelqu'un m'attrape par le bras avant que je ne puisse faire quoi que se soit. Je me retourne, c'est lui.
Benoît : Tiens, je te laisse mon numéro, appelle moi ce soir s'il te plaît. C'est important. Aller, file. Je ne voudrais pas que te grand-mère s'inquiète de trop par ma faute.
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L'équilibre fragile
Fanfictionvous voici sur une fan fiction du groupe KYO. 4 filles ont écrit cette histoire : Hélène, Anne, Tess et moi même. L'histoire et d'autres fiction sont dispo sur la page Facebook : Fan Fiction Kyo bonne lecture