Chapitre 33

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Lorsque je lui dit cette phrase, elle baisse les yeux. Elle ne répond  rien, et attend devant la porte avec moi, la main sur la poignée. «  J’attends une réaction la, Zoé » pensais-je. Je la regarde avec des yeux  tristes. Après une durée interminable de silence, elle daigne enfin  prendre la parole. Elle lève la tête vers moi, elle est si belle.

Zoé : Oui, j'adorerais te revoir.

Fou de joie, je ne peu pas m’empêcher de la prendre dans mes bras, et je  rigole comme un enfant. Toujours dans mes bras, je me calme, et  repousse Zoé en arrière. Je la regarde d'un regard insistant, suppliant.  Je me penche sur elle, et essaye de l'embrasser. Elle me repousse  violemment, et j’atterris contre la porte d'entrée. Sans dire un mot, je  regarde Zoé encore une fois pour ce soir, ouvre la porte pour la  refermé aussitôt ; mort de honte.  En rentrant, je m'enferme dans ma chambre, choppe ma guitare et je me  défoule. L'ampli a fond, je joue jusqu'à ne plus sentir mes doigts. Mes  doigts parcours une corde, puis une autre. Cela forme une belle mélodie,  et sans vraiment m'en rendre compte, je me met a parler, et je  transforme ça en chant. « J'ai tatoué son âme, sous ma peau glaciale,  j'ai appris a naître, elle cogne dans ma tête. ».  Je regarde mon réveil, 6h38. Les autres ne sont toujours pas rentré.

  *Point de vue de Ben* 

Dans la salle d'attente, je réfléchi a ce qu'il a bien pu se produire  pour qu'Emily soit autant en colère contre moi. Je pèse le pour et le  contre, et le problème viens certainement de moi. Si je n'étais pas  aller voir cette Zoé, on n'en serais pas la aujourd'hui. Lorsque Fabien  sort de la chambre, je me précipite sur lui. 

Moi : Elle m'a réclamé ? Demandais-je, anxieux.
Fab : Non, désolé..
Moi : Bien.. Elle t'a raconté quelque chose sur ce qu'il s'est passer  hier ?  Fab : Zoé lui a menti. Elle a raconté a Emily que tu avais couché avec  elle, et que tu lui avais dit que tu l'aimais. Moi : QUELLE PESTE !
Fab : J'ai bien essayer de te défendre, de lui expliquer que c'était  faux, mais elle ne veux pas entendre parler de toi.
Moi : Je vais essayer de lui parler. Fab : Attention, elle est pire qu'un chien enragé elle risquerait de te  mordre.. 

Je souris a cette remarque. Je prend mon courage a deux mains, et entre.  A peine un pied posé dans la chambre, Emily hurle pour que je sorte.  J'obéis. J'essayerais une autre fois. Elle est trop remonté contre moi.  Fou de rage, je sors de l’hôpital et me dirige vers ma voiture. Je fonce  chez Zoé. Je sonne chez elle, elle m'ouvre et j'entre comme une furie. 

Moi : MAIS QU'EST CE QUI TOURNE PAS ROND DANS TA TETE ?
Zoé : De quoi tu parles ?
Moi : Tu sais très bien de quoi je parles Zoé ! Pourquoi tu es aller  raconter des conneries pareilles a ma copine ?!                                   
Zoé : C'est pas des conneries, tu m'aimes ! 

Elle s'approche de moi pour essayer de m'embrasser, je la repousse  violemment, elle tombe a terre.                                                 

Moi : Ne m'approche pas. N'approche plus jamais d'Emily ou de mes amis,  ou je te jure que je te ferais du mal.  

Je la regarde méchamment, je n'ai jamais été aussi en colère contre  quelqu'un. Et elle, elle est la, a terre. Elle me regarde avec une  expression triste,je commence presque a m'en vouloir d'avoir été si  méchant, ce n'es pas moi, je ne suis pas ce garçon violent... mais je ne  vais pas m’apitoyer sur son sort, je suis fou de rage contre elle.

    *Point de vue de Zoé*

Benoît est sorti de chez moi fou de rage, il m'a vraiment fait peur.  Mais je n'abandonnerais pas comme ça ! Je vais détruire son Emily  adorée, je vais me servir de l'autre la, Nicolas. Il a vraiment cru que  je voudrais le revoir, j'en ai rit toute la journée. Mon plan bien en tête, je décide d'aller voir Nicolas. Une fois devant  chez lui, je sonne. Il m'ouvre rapidement, et se bloque quand il me  voit

- Nico :  Zo.. Zoé.  ?

Je lui fais un sourire en guise de bonjour, il faut qu'il tombe dans mes  filets, je doit le piégé pour que mon plan marche. J'entre chez lui et  me pose. 

Nico : Tu.. tu veux v..visiter ?
 
Il begait, mon dieu ce que ça peut être niais. J'accepte quand même. Une  fois qu'il a le dos tourné, je lève les yeux au ciel « Bordel qu'est ce  qu'il faut pas faire pour se vengé. ».  Il me fait visiter sa chambre a l'étage, je m'assois sur le lit, et il  me laisse seule. Je fouille un peu. Je fouille dans un sac, mais qu'est  ce que c'est ?

L'équilibre fragileOù les histoires vivent. Découvrez maintenant