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En voyant ce sang, je suis immédiatement sorti de mes pensés et la réalités m'a rattrapée. Une émeute commençait à prendre forme, les jeunes ainsi que les policiers étaient très nombreux. Je vois de la brume s'intaller, c'est des bombes accrimogènes, lançait par les forces de l'ordre. Je commence vraiment à étouffer et je panique. Je sens quelqu'un me faire rentrer à l'intérieur de mon immeuble. Mes yeux me pique à cause du temps que je suis resté devant à observer cet scène attroce.

Je vois Ahmed devant moi en train de faire des gestes, moi je reprends mes esprits. Et, je vois près des boîtes aux lettres Khalis pas vraiment rétablit, debout en train de regarder face à lui. Il ne prêtait pas attention à ma présence et ça me faisait assez mal au cœur. Il est loin de moi comme si j'étais la peste incarnée. C'est comme si j'allais lui transmettre une maladie qui pouvait le tuer hors que non. J'ai l'impression que le temps s'est arrêter, que les geste de Ahmed sont au ralentis, tellement mes pensés sont ailleurs. Je l'observe de la tête au pied, je regarde chaque trait de son visage, chaque hématome qui ont changé son regard. Son regard est devenu tellement dur. Le voir dans cet état, anéanti chacun de mes rêves.

Ahmed voit que je ne prête pas vraiment attention à ce qu'il me dis donc il me secoue.

Ahmed : « Oh ! J'te parle là ! Qu'est – ce que tu fou ici ? Sheima elle est chez elle ? Et téma tu saignes !»

Moi : « Je.. j'rentrai des cours, et j'ai vu tout ça.. je sais pas on est pas rentré ensemble.. et il s'est passé quoi ? C'est quoi tout ça ? »

Je commence à trembler. Je suis comme paralyser, tout les émotions s'enchaînenent : la peur, l'angoisse et beaucoup d'autre sentiment indescriptible à la vue de Khalis. À ce moment là, ma respiration à commencer à se couper, je me tiens le coup en panique. J'ai quelque chose qui m'empêche de respirer. Je me frotte le yeux pour esssayer d'arranger ça mais rien. J'ai les mains qui tremblent.

Ahmed : « Oh t'a quoi là ? »

Moi : « J'ai..du..mal..à..respirer.. »

Ahmed : « J'fais quoi moi ? Khalis ! »

Il vient de sortir de ces pensés et regarde mon état. Mes larmes coulent, j'ai du mal à tenir sur mes jambes. J'en peux plus de tout ça. Pourquoi je suis venue vivre ici ? Pourquoi Paris mais pas ailleurs ? Je me sens vraiment pas bien. J'ai les paupières lourde, je vois des couleurs jaune, oranger à chaque fois que je cligne des yeux.

Je ne tiens plus sur mes jambes, et je flanche. Ahmed me rattrape, mais quelqu'un c'est sûrement Khalis le pousse et me rattrape. Ces yeux expriment de l'inquiétude. Sans vraiment m'en rendre compte mes yeux se sont fermer.

Oûmi, c'est toi ? C'est obscure cet endroit. Où je suis ? Viens me chercher, j'ai peur et j'ai froid. J'arrive pas ouvrir les yeux. C'est un signe maman ? Tu me veux près de toi. Tu me manques vraiment, je veux te revoir. Je veux t'entendre au moins une fois. Je veux te dire ''je t'aime'' une fois dans ma vie, je veux que tu m'appel une dernière fois ''ma perle'', je veux t'entendre dire le mot ''je t'aime'' car jamais de ta bouche elle n'est sortie. Tu sais maman, tu n'as jamais était la peste dont tu te traîter. Ils t'ont tous abandonnée car c'était des lâche. Ce père que j'ai eu ne t'a jamais mérité, et jamais il ne mériterais que je l'appel « Papa ». Et Nazir ? Lui c'était un lâche aussi. Tu sais enfant je l'ai admiré, et quand il est partit une rancoeur à commencer à naître dans mon cœur, mais jamais je ne l'ai vraiment haït car tu sais à quel point je l'aime mon frère, mais il t'as abandonné, et ça je ne peux pas le lui pardonner.

Je suis la seule, qui est resté près de toi. Je suis celle qui as sû te rester fidèle. Tu as pris soin de moi enfant, et moi j'ai pris soin de toi quand tu commençais à te soûler. Cet « eau du diable » que t'a consommé je la hais, et je la hairais toujours, c'est celui qui t'as arrachée à moi. C'est la chose qui t'as détruit. Et c'est la chose qui m'as fais le rencontrer lui. Oûmi aide – moi.

Je commence tout doucement à ouvrir mes paupières, malgré la difficulté. Les yeux ouvert je me trouve dans ma chambre, une personne près de moi. Ce n'est que Sheima. Mais qu'est – ce qu'elle fai là ? J'essaye de me relever tout doucement car le mal de tête que j'ai eu ne s'est pas calmé. En bougeant je réveille Sheima.

Sheima : « Salem, ça va toi ? T'as besoin de quelque chose ? »

Moi : « Wasalem.. oui un peu mal mais ça va el hamdoulleh.. non merci.. tu fais quoi ici Sheima ? »

Sheima : « Tu m'as fais peur, tu nous as tous fais peur ! Hamdoullah Ya Rabbi tu vas mieux.. Ahmed est venue frappé chez moi, hier soir en me disant que t'est tombé dans les paumes et que Khalis t'as ramené chez toi, donc j'suis venue. »

Moi : « Tout le boucan d'hier ? Comment t'as fais ? »

Sheima : « On s'est débrouillé, hamdoullah j'suis arrivée ici saine et sauf. »

Moi : « Mais ta mère ? »

Sheima : « Elle voulait m'accompagner, mais Ahmed lui a dis de rester à cause de tout le bordel qui s'est pasé hier soir. »

Moi : « Et Khalis ? »

Sheima : « Dès que je suis arrivée, il est parti. Il t'a posé dans ta chambre, et il est resté devant ta chambre jusqu'à que j'arrive.. il était chelou, avec plein de marque sur le visage, il faisait peur.. »

Moi : « Ah.. et Ahmed ? »

Sheima : « Il est aussi partie. Sah, je m'inquiète pour eux, parce que je suis sûre qu'il sont partis soutenir les autres. »

Moi : « Mais c'était quoi tout ça ? J'ai eu peur.. »

Sheima : « C'est comme ça ici, dès que la loi se mêle de chose du quartier, les jeunes et les anciens commencent à péter un plomb, et ça donne ce qui s'est passé hier.. t'est une folle toi d'être rester à regarder tout ça. »

Moi : « Ça m'a étonnée. On dirait que j'assister à une guerre, c'est affreux. J'ai vraiment eu peur pour tous ces personnes.. la dernière fois que j'ai entendu un boucan ici, c'était en bas mais moi j'étais chez moi.. mais voir ça devant mes yeux c'est horrible.. les policiers.. Ya Allah.. »
Sheima : « La dernière fois avec la mort du jeune Allah Y Rahmo et le p'tit qui était à l'hosto, c'est pas pareille que hier soir.. ça faisait longtemps que c'était pas arriver.. les gens ce vengent de n'avoir rien dans leur maisons, de ne pas pouvoir aider leur parent en cherchant un travaille honnêtes, à cause de l'Etat, c'est rare de trouver des gens de banlieu, ou avec des origine différentes avec un travail bien, et qu'on puisse subvenir au besoin de nos familles. C'est ça qui plonge ces frères dans tout ce haram, dans tout ces soucis financières.. mon avis personnelle est que il ne devrait pas plonger dans le haram à cause tout ça.. chaque personne à le choix dans sa vie.. »

Moi : « C'est vraiment attroce de voir ça. Qu'Allah nous vienne tous en aide. Voir ça devant moi, ça m'a déchiré le cœur. La police devrait les aider et non les enfoncer dans tout ça. La vie est si difficile, on ne vit pas dans un Eldorado et c'est vraiment dommage. »

Sheima : « Et oui.. »

Après, je suis partie dans la salle de bain faire ma toilette. Lorsque j'ai fini, je me suis habillée, et je suis partie dans la cuisine et Sheima m'as préparé quelque chose. J'ai un peu mangé, et je me suis assise avec Sheima en face de moi.

Moi : « Tu connais Assam ? »

Sheima : « Assam ? »

Moi : « Le frère à Lamia. »

Sheima : « L'ancien, ouais j'le connais vite fais pourquoi ? »

Moi : « Je suis sûre que t'a entendue des choses dans la cité non ? »

Sheima : « Sur toi et Khalis, oui, mais je prête pas attention au rumeur. »

Moi : « Je sais que tu fais pas attention à ça.. bref, il est venu me parler en me disant que je devais faire attention à Khalis, c'est pas quelqu'un de bien, c'est un assassin, il a dis plein d'insulte à l'égard de Khalis.. »

Sheima : « Ce que je sais sur lui, c'est que c'est un homme pas très droit dans ces actes ou dans ces paroles, il a toujours protéger sa sœur Allah Y Rahma et en apprenant la relation entre Khalis et Lamia, il a pêté les plombs, et il y a eu beaucoup d'embrouille.. depuis la perte de sa sœur, il dérive et prends un chemin très dangereux tout comme Khalis.. L'ancien accuse Khalis de tout le malheur qui à abattu sa famille.. je peux te dire que tout ces frères disent qu'il est coupable, en clair il le déteste. »

Moi : « Ils ont besoin d'un coupable et c'est Khalis qu'il tienne pour responsable, car c'est lui qui était avec elle le soir de l'accident. Qu'Allah les guide, c'était le destin.. »

Sheima : « Il te l'a dis alors ? Amîne. »

Moi : « Oui, je sais tout sur leur histoire, et c'est triste.. »

Sheima : « Ouais, mais bon comme tu dis c'est le destin, le mektoub fais les choses bizarrement desfois, trois cœurs déchirés. »

Moi : « Trois ? »
Sheima : « Oui, Lamia Allah Y Rahma qui ne pourra jamais être réuni avec celui qu'elle avait aimé. Khalis qui ne sera jamais avec elle, et toi. »

Moi : « Moi ? »

Sheima : « Tes yeux trompent pas, je ne t'ai jamais rien demander pour vous, mais je m'en doutais, vos deux réactions sont si différent. Au départ vous étiez assez proche, maintenant aucun de vous deux ne s'adresse la parole je me trompe ? »

Moi : « Oui mais c'est pas ce que tu crois. »

Sheima : « Je crois rien.. oukhty, la vie est difficile quelque fois, souffre pas pour un homme, j'espère me tromper. »

Je n'ai pas répondu à ces sous – entendu qui sont fondés.

Le lendemain, quand j'ai vu le quartier « détruit » j'ai eu la scène qui est revenu en boucle dans ma tête.

Le temps a passé très vite. Ce jour là, était l'arrivée du père à Sheima et de Sahel son frère. Ils étaient tous les deux dans leur pays d'origine depuis mon arrivée. J'étais chez la mère à Sheima on était en train de tout préparer pour leur arriver. La mère et la fille était tellement impatient, ça se voit que c'était une joie pour eux de retrouver les deux hommes de la maison. On fais tout bien, tant bien que mal. Quelqu'un sonne à la porte, et les deux ont un grand sourire dessinée sur le visage. Elles sont toute les deux postés devant la porte, moi un peu à l'écart.

Leur entrée était très émouvant. Sheima prends sont père dans ces bras, tandis que la mère prends son fils dans ces bras. Les deux femmes sont en pleure, et ça me met les larmes aux yeux. De l'amour pouvait se dégager de leur étreinte, de leur pleure. Les larmes de joies envahissait leur visage lumineux.

Après leur retrouvaille. Ils sont tous entrés. La femme en or qui est la mère de Sheima essuie ces larmes et emmène son fils et son mari près de moi pour les présenter, ça se sentait par ces paroles qu'elle était fière d'eux.

« Je te présente Sahel mon fils et mon mari... Elle c'est la deuxième fille que Allah m'a envoyé. » dit -elle

J'étais vraiment ravie qu'elle me présente comme une membre de leur famille, je ne me suis pas empêcher de pleurer, parce que une famille j'en ai jamais vraiment eu, donc les avoir eux était un honneur pour moi. Je leur serre la main, mais le père me prends dans ces bras comme si il me connait depuis longtemps. Je l'ai laissé faire, mais juste après je sais pas ce qui m'a prit enfin si il m'as rappellé le père que je n'ai jamais eu donc je suis partie dans la cuisine en pleure. C'est un peu la honte de ce comporter ainsi, mais c'était trop pour moi à ce moment là. La mère de Sheima est venue vers moi.

« Pleure pas benthi, le prends pas mal, j'ai tellement parlé de toi avec lui au telephone que maintenant il te considère comme sa fille aussi donc il l'a fais. »

Moi : « C'est pas ça..mais...tu sais bien..j'ai.. »

« Je sais benthi, t'en fais pas pour ça.. calme toi et viens. »
Je la suit tout en esuyant mes larmes. Je suis parti m'excuser pour mon comportement. On s'est assis au salon et ils ont commencé à parler de leur voyage. On a mangé, parlé. J'ai remarqué que Sahel était pas vraiment un homme bavard, il souriait toujours comme sa sœur. Il essayait de lâcher des phrases pour essayer de me mettre à l'aise mais à chaque fois que je répondais il ne parlait plus, c'était la même chose avec sa sœur. À la fin de la soirée j'ai appris par Sheima que depuis son départ il a changé, il n'a jamais vraiment était comme ça. Son voyage, l'a fait mûrir je pense.

On est au mois de décembre 2008.

Les mois sont bien passés. Je voyais rarement Khalis et quand je le voyais il était comme un clochard, faut dire ce qu'il est, il ne prenait pa du tout soin de lui, déjà auparavant il ne le faisait pas mais là ça avait vraiment empiré, je ne le reconnaissais pas du tout. Il se laisse aller. Je ne passe plus chez lui depuis sa demande de ne plus l'approcher. Je vois souvent sa mère, Dounia ou Jawed qui vient souvent avec sa femme qui me demande comment je vais, ou qui me demande de passer chez Khalti Fathimâh mais je n'accepte pas, j'ai toujours une excuse.

Avec la famille de Sheima tout se passe bien, je m'entends super bien avec son père, mais son frère est toujours comme au début, il me sourit, me parle un peu mais pas vraiment on va dire. Hadidja et Sonia me parle mais plus comme avant. Hadidja me parle mais ça se voit qu'il y a une distance en tre nous et Sonia me montre vraiment qu'elle n'a pas aimé ce qu'elle entendu sur moi avec Khalis. À la base c'est Hadidja qui devait se comportait ainsi mais non.

Pour les cours je suis vraiment en mode chute libre. Je travaille toujours pour subvenir à mes besoins.

Dehors il neige, je suis en train de fumer en regardant les flocons de neige. Malgré que je prie, mes prières sont quelques fois nuls à cause de la cigarette, je m'en rends bien compte mais j'ai besoin de cet chose. Je vois des gens passées, je vois des jeunes jouaient avec la neige. Ça me donne envie de sortir, malgré qu'il fait ce temps, et c'est ce que je fais quelque minutes plus tard. Je me couvre bien, et je sors. Toujous les même habitués dans le hall, je leur passe un ''salem''et je sors. Je marche, et je trouve des jeunes qui me disent bonjour quand il me voit, et avec qui je parle quelque fois. Il commence à me jeter une boule de neige, et moi comme une enfant, hors que j'ai dix – neuf ans je m'amuse avec eux. Je suis complétement gelée mais ça m'amuse de redevenir enfant.

Je suis complétement concentré quand je vise les petit(es) que je lance sur quelqu'un qui passe, et c'est tout simplement Azzedine que je n'avais pas vu depuis la dernière fois. Il a changé, sa barbe il l'a laissé un peu poussé, et ça fais un peu bizarre. Il me regarde bizarrement, et appelle un petit.Il lui chuchote quelque chose à l'oreille et c'est là que ma misère à commencer. Le petit à fait diversion pendant que Azzedine faisait une boule de neige, et là il m'a attrapé et me l'a mis dans la capuche. J'ai gelé mais vraiment. Mais je continuais tout de même. Azzedine et moi entrain de jouer comme des gamins qui l'aurait imaginé ? Alors qu'on s'est disputé y a quelque mois.

À un moment je suis tombée, tellement ça glissée, et je l'ai entraîné dans ma chute. On était tous les deux mort de rire. Mon bonnet était tombé donc il s'est amusé à me mettre de la neige dans les cheveux. En tout cas on a passé un bon moment. La guerre entre les petits continués et moi j'ai décidé de rentrer parce que j'avais assez froid. Suivit de Azzedine. On ne parle pas de la dernière fois, il me taquine un peu. Et commence à faire comme si il me donnait des coups de poing au ventre. Ça m'a fais rire, mais vraiment. J'en ai conclu que c'est un clown.

Moi : « C'est bon arrête j'arrive plus à respirer. »

Azzedine : « J'suis marrant j'sais ! »
Moi : « Ouais.. et un gamin en plus. »

Azzedine : « Quoi ? Répète ? »

Et là il commence à me courir derrière mais le problème c'est que courir sous la neige c'est pas trop ça. Je me retourne et le vois à terre. C'était la chute du siècle parce que il se tenait le derrière. J'étais morte de rire.

J'arrive accompagné de lui devant mon bâtiment.

Moi : « Bon, salem et merci pour la rigolade. »

Azzedine : « Tranquille mais j'rentre aussi j'vais voir si y a Ahmed dans l'hall. »

Moi : « Ah, bah d'accord. »

Il rentre le premier et je suis derrière lui.

Khalis : « Tu fou quoi dans mon hall toi ? »

Azzedine : « Wesh tranquille ! »

Khalis : « La dernière fois je t'est dis quoi hein ? Je t'est dis quoi fils de pute ? »

Et il commence à le pousser, moi qui suis derrière Azzedine on ne m'a pas vu donc quand il a poussé Azzedine, je suis tombé par terre.

Moi : « Aïe ! »

Azzedine se retourne et se baisse à mon niveau. Là Khalis se rends compte que je suis là. Donc il commence à s'énerver encore plus.

Khalis : « Azzedine, dégage, casse toi avant que je t'éclate ! W'Allah bouge de là ! »

Azzedine : « Tu fais trop le chaud toi, téma tu l'a éjecter ! »

Khalis : « La vie de ma mère, je vais t'enculer, j'vais te monter en l'air ! »

Il se met debout pour lui tenir tête.

Azzedine : « Un tête à tête quand tu veux khouya. »

Je me suis directement levé et interposé. J'étais au milieu et sans m'y attendre j'ai étais éjecter vers les boîtes au lettre par Khalis, son regard était vraiment rempli de haine. Un des jeunes du hall est venue vers moi pour voir si je vais bien mais moi mon esprit était ailleurs. Une bagarre à éclater dans le hall, entre Khalis et Azzedine.

Mon esprit vagabondeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant