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Tout les yeux sont braqués sur nous. J'ai honte, j'ai peur qu'ils pensent qu'on a passer la nuit ensemble dans le sens où on a fais des choses pas bien, hors que non. Je pense que Khalis a senti le mal aise que je ressens, il m'arrête et me lève la tête avec le menton. J'ai eu l'impression qu'il me disait « T'as rien fais de mal donc ait la tête haute. » Et ce que j'ai fais. Tout le monde nous ''salam'', un des jeunes et Ahmed n'ont pas sû tenir leur langue.

« Frère téma tes yeux, hier t'était péter j'ai jurer ! »

Ahmed : « Wesh t'était où toi ? Vous faîtes quoi ensemble de bon sbah ? »

Je regarde Khalis, qui se gratte la tête, ça se voit qu'il est fatigué et qu'il a pas vraiment envie de se prendre la tête.

Khalis : « Elle m'a ramassée en p'tit morceau, maintenant casse pas les couilles khouya moi j'vais ne3hess. »

Moi ? Je n'est même pas sortie un seul mot. Trop honteuse pour ça. On rentre tout les deux, et il s'arrête devant l'ascenseur, moi je prends les marches, et lui ne m'arrêtes pas du tout. Une nuit avec lui, et tout recommence comme avant. Tant mieux, car savoir qu'il se rappelle de ce moment, me fait un peu peur, je suis sûr qu'il regrette ce qu'il a fait, mais moi je n'est aucun regret pour quoi que ce soit. Je sais maintenant ce que ressens une femme embrassé par l'homme qu'il aime, et ce n'est pas un petit sentiment de rien du tout, mais quelque chose de très grand.

Je monte les escaliers, et je regarde devant ma porte, je le vois posté là, adossés contre la porte, les mains dans les poches et toujours sa capuche, il reste fidèle à ce qu'il est, il reste fidèle au banlieusard qu'il est et qu'il restera sûrement jusqu'à la fin de sa vie. Le regard dirigé vers le sol, je pense qu'il m'attends.

On est tout les deux la tête baissée, aucun mot n'est placé, jusqu'à qu'il brise ce silence.

Khalis : « Après demain, tu viens avec moi, j'veux te montrer heja. »

Moi : « Je peux pas.. »

Khalis : « Fais pas ta grosse tête et tu viens. »

Moi : « T'a oublié que nous deux on devrait plus s'adresser la parole ? »

Khalis : « Si on le devait pas, pourquoi hier tu m'a emmené avec toi dans ta voiture ? »

Moi : « Pour t'aider.. »

Khalis : « Kaïli, tahu j'suis fatigué, donc fais pas de zgah pour rien, j'ai vraiment pas ton temps.. t'as même pas à discuter je t'emmène m'en balec même si je dois te kidnapper ! »

Moi : « Tu perds ton temps. »

Khalis : « Tu parles trop azy à plus tard ! »

Il m'a même pas laissée le temps de répondre qu'il est partie. Franchement ce moment d'intimité avec lui en étant sobre je le veux pas, je connais son tempérament, je sais qu'il peut – être très violent dans ces paroles et dans ces actes, certes il m'a embrassé mais ce baiser était dû à son état d'ivresse. On ne sait jamais ce dont un homme soûl peut faire la preuve Khalis la veille. J'ai pensé le connaître après plusieurs paroles qu'il m'a dis, des paroles humaines, des paroles de consolation mais ces derniers jours, ces derniers mois, j'ai connu un autre homme : un homme violent.

Je suis restés chez moi toute la journée, jusqu'à qu'on vienne déranger mon moment d'intimité. C'est Soumaya et sa mère devant ma porte. Que veulent – elle ?

Moi : « Salem aleykoum. »

Cherifa : « Waleykoum salem, tu va bien ? »

Moi : « Oui et toi ? »

Cherifa : « Très bien.. merci.. on est venue voir comment t'aller depuis hier soir avec l'homme.. »

Moi : « Termine pas ta phrase s'il te plaît.. c'est quelqu'un qui m'a sauvé et je lui ai rendu l'appareil c'est tout.. pensez pas à autre chose, le quartier parle beaucoup déjà, n'en mettez pas une couche s'il vous plaît.

Soumaya : « On est pas venue te juger hein ! »

Elle a dit ça d'un ton assez sec. J'ai pas prêter attention. Sa mère m'a un peu parlé, et a encore demandé mes parents, j'ai pas su quoi dire, donc j'ai préférer dire qu'ils sont pas là. Elles sont partis et je suis resté seule.

Le jour fatidique est arrivée. Le temps est de la même humeur que moi : triste, mélancolique, maussade. Il neige pas mais il y a du vent qui frappe mes volets et qui me font sursauter. Un temps merdique, et une humeur merdique. Une journée difficile qui commence. Il doit être dans les coups de huit heure du matin.

Des coups résonne. C'est lui, j'en suis sûre est certaine. Je n'ouvre pas, pour peut – être faire croire que je dors, que je ne suis pas dans mon appartement, mais ça ne marche pas. Il continue à frapper et cet fois encoreplus fort. La détermination se ressent dans chacun de ces coups. J'éternise pas ce moment car on parle déjà assez de moi dans ce foutu quartier. J'ouvre et il rentre comme à son habitude. Il est vêtu d'un survêt adidas, d'un t – shirt tout simple, et d'une casquette. Rien ne change.

Khalis : « T'est prêtes ? »

Moi : « Prêtes pour ? »

Khalis : « Casse pas la tête ! »

Moi : « J'vois pas de quoi tu parles, et puis j'suis malade.. »

Khalis : « Et moi je suis con ? Même si t'est en train de creuver m'en balec tu viens ! »

Moi : « N.. »

Khalis : « La vie de ma mère et de Dounia tu viens ! »

Aucune initiative, j'ai dû accepter. J'ai pris une douche qui a duré des heures, j'étais vraiment à la vitesse minimal. J'ai pris tout mon temps. J'arrive enfin prêtes, et lui il a la casquette qui cache tout son visage, il est calé sur mon canapé. Je racle ma gorge pour lui faire comprendre que je suis là. Il n'a rien dis, et on est sortis. Heureusement qu'il n'y avait vraiment personne, c'était désert. Je pense que le vent les as tous fais resté chez eux. Il fait terriblement froid.

Moi : « Khalis, j'peux pas.. j'ai froid.. »

Il fait le sourd – muet et me fais rentrer dans sa voiture comme une chose sans valeur. Il racle sa gorge tel un ogre et conduit en silence. J'appréhende l'endroit où il m'emmène avec ce temps. Il s'arrête près d'un magasin, et il sort en me faisant signe de ne pas bouger. Il revient avec des chips, des gâteaux, à boire ( coca, et l'eau du diable ) ce qui m'a refroidit. J'ai commencé à avoir des sueurs froides, les mains moites, je veux lui dire d'arrêter cet voiture mais aucun son sort de ma bouche. J'ai des hauts le cœur, mais je ne dis rien.

On arrive dans un endroit désert, où la neige recouvre tout. Je reconnais le parking où mes sentiments on commencé à naître pour lui.

Khalis : « Tiens et bouffe ! »

Il m'a donné un paquet de chips que j'ai fixé. J'entendais chaque « crack » qu'il faisait en mangeant une chips.

Moi : « On fait quoi ici ? »

Khalis : « On mange ça se voit pas ? »

Moi : « Tu sais quoi ? Tu me..dé..t'a pas honte d'être avec ça dans ta voiture ? Tu va boire sous mes yeux après ce qui s'est passé il y a peu ? Ça va t'apporter quoi de me montrer que tu t'en fou de tout hein ? »

Khalis : « Tu vois cet bouteille ? Tu la vois ou pas ? »

Moi : « Je suis aveugle pour ne pas la voir. »

Il lâche son paquet de chips, et prends la bouteille dans les mains pour bien me la montrer.

Khalis : « J'ai pris cette bouteille, tu sais pourquoi ? Je l'ai pris pour te montrer que je suis pas un fils de pute qui boit seulement, je te montre cette enculé de bouteille pour te montrer que à cause de ça, j'ai touché tes lèvres, ça je le laisse et ce moment est gravé là dedans, dans mon crâne ! Depuis qu'on est sortit de la voiture ! Tu crois que j'étais pas conscient de ce que je faisais, je l'étais sur ma vie, je l'étais ! »

Il fait coulissé les vitres et jette la bouteille dehors. On dirait qu'il se lamente de ce qu'il avait fais. Savoir qu'il en était conscient, m'étouffe. Pourquoi l'as – t – il fais alors ?

Moi : « Pour..pourquoi t'a fais ça ? »

Ma voix tremble. On aurait dit que mes paroles était inaudible tellement je parlais tout doucement. À l'extérieur de la grelle tombe sur les vitres, et ce bruit est strident, et me fais peur. C'est la colère divine, ou un signe que tout ce qui se passe autour de moi n'est rien, juste un cauchemard. Il fait froid à l'extérieur, mais à l'intérieur de moi je brûle, et cette chaleur m'étouffe. J'ai besoin d'extérioriser, je ne veux pas entendre sa réponse. J'ouvre la porte, il rattrape mon bras.

Khalis : « Tes caresses.. tes caresses, j'en ai besoin ça me rappe... »

Moi : « Oui..oui..ça te rappelle Lamia.. Khalis, quoi que je fasse ça te la rappelle.. regarde le temps est en colère, le temps est dans le même état que moi.. je bouille à l'intérieur.. s'il te plaît laisse moi partir.. »

La porte est ouverte et le vent souffle, quelque goutte touche mon visage comme pour effacer cette tristesse, cette colère qui est en moi. J'ai près de moi l'homme que j'aime qui me dis que je suis le fantôme de sa Lamia, j'ai un décor en face de moi sinistre, la nature veut tout dévaster, le temps extériorise ce que je ne peux pas extérioriser moi. Je me vois à travers le temps.
Khalis coupe mes rêves comme on coupe le moteur d'une voiture.

Je referme la porte, et je dégage ma main de lui. Je verse des perles salées, c'est devenu mon quotidien face à lui. Des sanglots tellement puissant qu'elle peuvent coupés tout dans son passage. J'ai toujours était habitué à l'obscurité, au larme, j'ai cru en la lumière qu'il a su propager autour de moi, mais là tout est détruit.

Il se masse le visage. Oui, tu viens de faire une gaffe, et tu le regrette sûrement, mais tout ça c'est trop tard. On ne peut pas retourner en arrière : toi si tu le pouvais tu me ferais disparaître, pour la faire revenir.

Khalis : « Tahu comment je suis ? Tu disais que j'étais un homme bon, mais là tu vois tout le contraire.. »

Moi : « T'es..t un homme bon.. »

Khalis : « Une femme comme toi devrais pas pleurer pour une raclure comme moi..azy mange.. »

Moi : « J'ai pas faim.. j'veux rentré chez moi.. »

Il me prends la main, je la dégage très rapidement. Le jour de mon anniversaire il m'a fais ça, aujourd'hui c'est le sien, il me fait la même chose. Coûte que coûte il veut la faire revenir à travers moi. Les minutes défilent, et le temps se calme.

Khalis : « Je le choix entre deux monde : celui de la réalité, et celui des ténèbres.. »

Je suis morte de l'intérieur. Y a que mon corps qui est sur place, rien d'autre. Je me tourne vers lui pour essayer de lui montrer la destresse dans mon regard. Il me regarde à peine. Il fait à présent le mort. Je ne suis pas digne de ton amour, je ne suis pas à la hauteur de cette femme que t'aime du plus profond de ton cœur. C'est la énième fois que tu me compare à elle, que tu ne vois pas Kaïli mais elle.

Son prénom résonne dans ta tête. Quand t'a prononcé le mien dans cette voiture, j'ai ressenti une chose que jamais je n'est ressenti. Tu ne m'aime pas, moi je t'aime. Entre nous il existe une très grande contradiction, qui est impossible à contournée. Penches – toi vers moi une fois. T'as le chois entre deux mondes et tu choisira les ténèbres, tu préfère attendre ta mort pour aller la rejoindre.

Il décide de démarrer. À travers le son du moteur, je peux sentir sa rage. Mon cœur est prisonnier de son amour. Ma tête est rempli, tout s'entasse, des souvenirs refont surface, et un grand étagère de lamentations prend place.

Après cette soirée avec Khalis très mouvementé les jours sont passés et je n'ai pas vu Sheima, je ne suis pas passé chez elle à cause de toute cet neige qui empêche les gens de circuler. Elle ne réponds ni au téléphone, quand j'appelle chez elle sa mère me dis qu'elle est malade. Je m'inquiète un peu, et le jour où j'ai appellé sa mère m'a dis qu'elle passerait me voir le lendemain.

Le lendemain, elle frappe à ma porte, en ouvrant, la voir dans cet état m'a déchiré le cœur. Ça fais à peine cinq jours que je ne l'ai pas vu et ma perle à maigrit, elle les yeux cernés mais à un point horrible, elle ressemble à un cadavre, plus de sourire pour illuminer son visage, juste son voile pour masquer sa tristesse. Jamais auparavant je ne l'avais vu dans cet état lamentable. J'épie chaque trait de son visage pour essayer de comprendre la raison de toute cet tristesse. D'habitude même si tout va mal, elle sourit, elle remercie Allah de lui avoir insuffler la vie. Devant moi c'est pas la même que j'ai connu, elle put le mort.

Je peux lire à travers son cœur. Je peux lire qu'elle a un problème qui ronge son corps et qui la rend aussi maigre qu'un bâton. Ça ne peut être que l'amour. Ou sûrement un problème de famille, je ne sais vraiment pas. Quand elle va mal, je sais qu'elle se penche vers le dîn, qu'elle réchauffe son cœur en écoutant des soûrates et qu'elle se noie dans un fleuve rempli de coran. Elle me dit toujours « Allah est le seul savant, quand tout va mal penche toi vers lui, te laisse pas sombrer. Respire les paroles d'Allah comme tu respire la vie, car c'est l'un des facteurs de notre existence, c'est lui connaît nos peines, c'est lui qui les atténuent et c'est lui qui sait comment les faire disparaître. »

Ma sœur où sont passés tes belles paroles qui m'ont toujours remonter le moral ?

Moi : « Salem aleykoum Sheima, c'est quoi cet tête ? »

Sheima : « Waleykoum salem, j'suis malade.. »

Moi : « Tu ne mens jamais, qu'est – ce que t'as ? J'ai l'impression de me voir, deux ans en arrière.. »

Elle plonge dans mes bras en pleure. Mon cœur se brise en mille morceau, je comprends rien à ce qui se passe sous mes yeux. Jamais elle n'a pleuré de tristesse devant moi. Le monde tourne à l'envers, mon cœur s'est retourné. J'essaye de l'apaiser en lui caressant le dos.

Sheima : « C'est Ahmed... il..il..a disparu.. j'ai reçu un message y a quelques jours me disant de tout oublier, et qu'il va finir bientôt dans un cerceui, qui l'enfermera à jamais.. »

Quoi Ahmed ? Je comprends plus rien. Ça fais quelques temps que je ne l'ai pas vu mais je ne comprends pas ces propos. Depuis l'hôpital on a jamais vraiment évoqué cet amour qui la ronge, et là je peux m'aperçevoir que ça la ronge jusqu'aux os. Voir ma sœur dans cet état m'accable.

Sheima c'est la douceur incarné, et Ahmed c'est tout le contraire. Les opposés s'attirent c'est une réalité mais pourquoi souffrir juste après ? J'ai reçu un gros coup dans mon égo, un coup de hache, car la voir pleurer c'est comme être coupé en des milliers de morceau et être éparpillé dans tout Paris. Cet vision d'horreur, c'est ce que je vois en la voyant ainsi. La vie est un cycle avec une fin : on aime, on est aimé en retour ou pas, on respire, on meurt. Oui c'est ça a vérité, on vit dans un Vieux Chaos, quand la souffrance s'abbat, elle dévaste tout sur son passage tel un ouragan.

Dans ma tête un ouragan de point négative se pose sur chaque recoin de mon cerveau. Je suis torturé par cette scène qui est sous mes yeux.

Moi : « Sheima tu parles de quoi là ? Je comprends rien du tout. »

Sheima : « Kaïli, je l'aime depuis trop longtemps, on se fréqente, j'ai été dans ces bras de long moment, j'ai appris à le connaître, à l'aimer malgré ces défauts mais là...il.. veut plus de moi ou je sais pas c'est quoi le problème.. je prie chaque soir pour qu'Allah me sorte de ce haram avec lui, pour que Ahmed vienne demander ma main mais mon espoir est détruit maintenant quil m'a fais comprendre ça.. il veut peut – être que je l'oublie mais j'arriverai pas Kaïli, j'y arrive pas. Mais pourquoi il me dit qu'il va finir dans un cerceuil hein ? Il peut me dire tout ce qu'il veut mais pas ça... »

Des perles salées inondent son visage. Je sens chaque pulsassion de son cœur, on a tout les deux eu le malheur d'aimer des hommes qui méritent pas notre amour. Si c'est moi qui souffre j'en ai rien à faire, mais c'est elle qui verse ces putains de larmes, c'est ma sœur qui est anéanti par le doute de ne savoir où se trouve Ahmed. C'est elle qui a maigrit, qui a tout perdu à cause d'un homme et qui voile la face à sa famille en disant qu'elle est malade.

Moi : « Sheima, arrêtes de verser des larmes pour un homme qui a sûrement les pensés ailleurs en ce moment, il a des problèmes peut – être c'est ça qui le détruit. Mais je suis sûr qu'il t'aime, t'est une femme bien, qui mérite tout le bonheur du monde, relève la tête et te laisse pas devenir un cadavre. On voit presque tes os, tes joues sont creusés ton visage est cernés, t'est toute pâle, t'illumine plus comme au tout début.. la noirceur commence à s'étaller sur tout ton cœur. Tu me fais mal, j'aime pas voir ton visage inondé de larme. Tu mérites pas d'être si malheureuse ma sœur.. redeviens celle que t'a toujours était, hafek ne sombre pas. »

Mes paroles ne doivent pas l'apaiser car elle continue. Ces sanglots bourdonnent dans chaque recoin de ma tête. Elle se calme quelques minutes plus tard, et me montre qu'elle va se prendre en main, mais j'en doute, car souffrir pour un homme de cet manière est une chose difficile à guérir. Elle part avec un sourire en coin, un sourire faux.

Je décide de sortir de cet appartement inondé par le malheurs.

Je suis devant ta porte, j'ai besoin de te parler. J'ai besoin de t'entendre. Je veux savoir le pourquoi du comment. Si un jour tout pourra redevenir comme avant. Si un jour cet amour que je ressens pour toi se dissipera. Si un jour je pourrais être heureuse avec un autre homme. Si un jour je connaîtrais le mot « bonheur ».

Les « Si » peuvent refaire le monde.

La rue a fait de toi un homme avec beaucoup de principe. Ce quartier à changer ta vie comme elle a changée la mienne. Une chose est sûr l'aide dont j'ai besoin, est entre les mains des forces Divines. Allah, pourra peut – être me montrer le chemin que je dois entreprendre.

J'ai la gorge nouée en fixant ta porte, mes mains tremblent, mes yeux brillent. Nos moments repassent en boucle dans ma tête. J'aimerai tant que ça s'arrête. Pensé à chaque trait de ton visage font que chaque parcelle de mon corps frissonne. Le temps passe et je suis toujours là à fixer cette porte blanche, tâché par du noir. Je me décide de frapper, je pense me confier.


Mon esprit vagabondeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant