Yooo ! Eh oui, je suis de nouveau al'. Je vais essayer de ne plus vous lâcher pendant presque une semaine. Je vais tout faire pour, en tout cas 🤞🤞
Chapitre 40, déjà !!! Mon dieu que ça passe vite. J'en profite pour vous remercier d'être toujours al', à commenter, à me faire craquer, rire et tout. vous êtes les best ! ❤️
Allez, zou. Je vous fais des bisous. votre petite Mamie (qui a la dalle !!)
***
Point de vue Izia
On était arrivés à Marseille au petit matin. Le soleil se soulevait doucement au-dessus de l'écume calme de la Méditerranée. C'était magnifique. Ken et moi avions contemplé un peu plus cette vue que les autres, se souvenant tous deux de notre enfance et de nos vieux rêves. Un petit hôtel avait été réservé pour tout le monde. On y débarqua en force après un petit-déj' monstrueux pris dans un café du quartier.
Les garçons étaient attendus au Moulin, salle de concert dans le 13e arrondissement de la ville. Ken me laissa dans la piaule où je m'affalais dans le pieu sans demander mon reste.
- Quand on a fini les balances, je t'appelle.
- Le concert est à quelle heure ?
- 20h30, pourquoi ?
- Non comme ça.
En réalité, je pensais à un truc précis mais je ne m'étais pas encore décidée.
- A tout à l'heure princesse.
Il se baissa jusqu'à mon visage où il déposa un long baiser sur mes lèvres. Je le retenais en coinçant mes doigts contre sa nuque. J'humais son parfum, entêtant.
- Balancez bien, je lui susurrai en le laissant rejoindre les gars qui patientaient sûrement dans le hall.
Seule dans mon lit king-size, confortable, je réfléchissais à l'idée qui m'avait effleuré l'esprit quand sur l'autoroute, par la fenêtre du bus, j'avais aperçu le panneau bleu. Celui qui informait qu'il restait 200 kilomètres jusqu'à Nice. 200 kilomètres qui me séparaient de mon père. Ça se tentait. C'était peut-être l'idée la plus débile que j'avais eu, mais j'avais jusqu'à 20h30 pour faire l'aller-retour, le voir, lui dire ce que j'avais sur le cœur depuis si longtemps.
Je m'étais jetée sur mon téléphone à la recherche d'une compagnie de taxi à appeler. Cinq minutes plus tard, une grosse berline allemande m'attendait en bas de l'hôtel. Installée à l'arrière, je faisais tourner mon téléphone entre mes doigts, en même temps que je me demandais si je faisais pas une connerie.
***
Deux heures de route plus tard, le chauffeur m'avait déposée à la dernière adresse connue de mon père, dans un quartier Est de Nice. Je sonnai là où une petite étiquette disait DUMAS P. J'avais tenu à l'époque, à prendre le nom de ma mère. Même si des années après, il était lourd à porter.
- Oui, fit une voix aigüe dans l'interphone.
- Je cherche Pierrick Dumas, il habite encore ici ?
- Il est parti, on est les nouveaux locataires.
- Vous savez où il se trouve maintenant ?
- Vous m'avez prise pour les Pages Blanches ?
- Laissez tomber, merci.
VOUS LISEZ
VINYL(E) [Nekfeu]
FanfictionTandis qu'elle laissait les beats lourds s'emparer de son myocarde, que ce dernier se calait sur les battements frénétiques provenant des baffles, elle essaya de réfléchir à la manière dont elle voyait la suite. Il était là, à genre deux mètres. All...