LES BATTEMENTS DE MON CŒUR. -Hafsatou

J'ai besoin de toi.

Mardi 31 Mars.
9:41h

Mr qui n'avait rien à faire décide de me déposer au taff.
Enplus il avais son uniforme de pompiers, trop sexy!

Bref.
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20h21

Ma collègue arrive, je vais me changer et je rentre.
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Jeudi 16 Avril.
15h34

Je suis déjà à 2mois de grossesse Hamdulilah.

J'ai un riquiqui bidou, ça s'voit pas trop.
Ismaïl est hyper protecteurs, mais pas dans l'extrême.

Bref je rentre du taff.
Vers chez moi j'voit Samir...
J'en est marre de le voir !

Il vient vers moi.

« Tu fait quoi vers chez moi ?
- J'vient chez toi.
- T'es malade ?! Samir, s'il te plaît oublie moi, me fait pas regretté l'amour que je t'es porté, ne me fait pas regretté notre histoire..
- J'comprend pas comment t'a pu m'oublié si vite, mehlish, lmektoub ma menou hroob.
- Ça veux dire quoi?
- On peut pas évité le destin.
- Désolé Samir...
- J'ai tout perdu Hafsa, t'étais tout pour moi.
- Samir t'étais aussi tout.. tu as toujours une place dans mon cœur, mais pas dans ma vie, tu ne peux pas être l'homme que j'aime, je garderai toujours des souvenir de notre histoire.
- Hafsa! J'me retourne j'vois Ismaïl qui se dirige vers nous.. »

Oh mon Dieu !
Plus il s'approche plus j'ai peur...

« Salam aleykum.
- Aleikum Salam.
- Frère, Hafsa c'est ma femme maintenant, arrête de venir lui parlé, t'es pas un Marham t'a pas à l'a voir.
- Elle m'appartenais avant toi, zemel ! Aïe... je regardé Ismail, qui aime se faire insulter ? Il est énervé.
- Craint Allah, t'es musulman, n'insulte pas vulgairement, surtout que là,  t'a tort.
- Eh vas-y frère j'men Bats les couille, me rara pas ta vie, j'penav avec elle ! pas avec toi !
- Moi je "pénav" avec toi, elle est marié à moi !
- Eh gros j'les connu avant toi ! Vient pas me faire la morale t'es pas mieux que moi !
- Je prétend pas être mieux que toi, vous vous êtes rencontré à un moment donné, vous êtes devenue proche, vous avez rêvé ensemble, vous avez monté des projets ensemble, mais la destiné à brisé vos rêve.
- Ismaïl... arrête. j'étais mal à l'aise.
- Non Hafsa me coupe pas, le destin n'a pas eu pitié de vous, Allah t'avais destiné à moi. Samir ne disait rien il écoutait, choqué.. Ismaïl s'adresse directement à Samir. Tu a souffert, je dit pas que ça a étais facile, Hafsa aussi a souffert, Frère La fautes que vous avez commise étais de vous fréquenter dans le Haram , tomber amoureux n'est pas Haram, chaque homme veux bâtir sont propre destin mais ce n'est pas possible c'est Allah qui est le maître de nos destin, c'est lui qui crée les coïncidences, et votre rencontre en étais une.
- Une coïncidence ? Répète Samir.
- Considère quAllah t'aime et qu'à travers cette relation il t'a éprouvé. Lui dit Ismaïl.
- Smeh... Mais wAllah Hafsa j'arrive pas à t'oublier !  j'comprend ce que tu veux dire gros, mais pourquoi Allah me l'a fait aimer si c'est pour me l'a retiré !? Samir a haussé le tont... Trop de crari lui.
- C'est toi qui t'es mis à l'aimer, Allah nous dit de nous marié pour ne pas tomber dans la fornication, c'est Sheytan qui vous a égaré dans cet amour illicite, TU es responsable, prend ça comme un rappel .
- Samir... passe à autre chose, comprend que je ne t'aime plus. Sors de ma vie, sors de mon monde, sors de mon couple, juste sors! »