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Lundi 30 mars :

Je suis dans la voiture de mon père, je m'approche du lycée, plus je me rapproche plus ma gorge se serre. J'angoisse car je ne sais pas comment ça va se passer.

Le week-end, il ne s'est rien passer de très intéressant. Je suis resté chez moi, j'ai reçus encore pleins de menace mais je n'y ai pas prêter attention. J'ai essayé le plus possible de me changer les idées pour ne pas tomber en dépression, j'ai réussi dans l'ensemble même si c'était dure. De toute les manières je ne suis pas faible, je suis quelqu'un de fort. Je peux résister à toutes sorte de situation et c'est pas me faire frapper et menacer qui va changer grand chose.

Quand on arrive à mon lycée, je descends de la voiture et rentre vite dans ce dernier, tout le monde me regarde. Ça se comprend, je suis amoché de partout et j'ai une mauvais réputation maintenant.

Quand je rentre dans le lycée un pion me dit qu'il faut que j'aille dans l'amphithéâtre pour qu'il nous prenne en photo. C'est une blague ? Pile le jour où je suis amoché du visage ils veulent prendre une photo. J'avais carrément oublier que c'était les photos aujourd'hui, fait chier. Quand j'arrive ma classe est à la file indienne et par ordre alphabétique, pour que chacun a leur tour ils se fassent prendre en photo. L'attente n'était pas vraiment longue vu que la prise est rapide. Tu te pose à l'emplacement indiquer, il te dise un deux trois et tu te fais flasher la geule puis tu te tire.

Quand c'est mon tour il se passe exactement ce que je vous ai dit plutôt. Il m'ont flasher la geule puis ils se sont permis de faire une blague sur mes blessures en disant « c'est ton chat qui t'a fait ça ? C'est dangereux c'est bête là » je n'ai pas rigolé du coup le photographe c'est senti seul. Après je suis partie, je ne sais pas vraiment quel gueule j'ai. Je ne doit pas être très beau, dommage les photos vont être accroché au lycée durant des années.

Ils nous disent d'aller en cours et c'est ce que je fais. Malheureusement je me retrouve assis à côté de Jin.

Le cours est passé assez lentement, j'étais vraiment pas à l'aise a coté de lui. Dès que la sonnerie retentit je me dépêche de ranger mes affaires et de me barrer. Quand je marche dans les couloirs j'entends tout le monde chuchoter et me regarder, pas besoin d'être un génie pour comprendre qu'il parle sur moi. Je m'en fou de tout façon, j'ai aucun compte à leur rendre.

D'un coup je tombe par terre, je ne comprend pas sur le coup. Juste après je vois la bande à Hongjoong débouler et m'encercler. C'est bon j'ai compris, il m'a fait un croche-patte cet enculer.

— Alors comme ça Min Yoongi est gay ?

— Ça pour une nouvelle.

— Je comprend mieux pourquoi tu bandais dans les vestiaires.

Hongjoong me fout un coup de pied dans le ventre. J'encaisse sans rien dire.

— Même tes potes t'on laissé tomber. Tu es faible maintenant.

L'intervention de ce violeur de San, me fait réagir tout de suite :

— Ta geule fils de pute.

Je me reprend un coup de pied mais cette fois de Seongwha.

— En tout qu'à ils t'ont bien défoncé tes potes. Même avec Wooyoung et Yunho ont les avait pas autant amocher.

— Pourtant on aurait dû.

— Je suis d'accord.

— Mais ce qui est sur c'est qu'avec toi on ne va pas se priver.

Juste après cette phrase je me suis fait battre violemment. Quand ils ont eu finis de me fracasser, Mingi m'a crachait dessus et les autres on rigolait avant de s'éclipser.

Ambiguity [ NAMGI ] réécritureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant