Tome 2: Hisoka X Reader: Le Magicien et l'Enfant

Chapitre 13: Les deux frères

(Point de vue de Saori)

Moi : Pas mal petit frère mais si j’étais toi, je regarderai derrière toi

Hein ?!, quand il regarda derrière lui, Hiroki fut immobilisé par le Bungee Gum d’Hisoka, et des cartes lui ont tranché les côtes, Hiroki ria comme un dérangé puis bougeât ses doigts, Hisoka fut surpris par une attaque de chaines multiplié qui l’ont traversé le corps, il devait y avoir une vingtaine, j’ai voulu crier d’effroi mais je ne peux pas perdre le contrôle maintenant, ils se détestent autant ?!

Hisoka ria d’excitation, c’est comme si il était en extase, je n’avais qu’une envie c’était de le rejoindre mais je ne devais pas laisser mes sentiments interféré avec son combat … 

Ce fut le cœur battant que j’ai fermé mes yeux, je ne voulais pas voir deux  frères s’entretuer, je sais que je ne suis pas la mieux placé pour dire ça parce que moi aussi j’ai combattu ma sœur, je sais que ça fait mal …

Illumi : Hisoka ne mourra pas facilement alors arrête de t’inquiéter pour rien

Moi : (en ouvrant les yeux), je sais, mais ça me tue …

Hisoka n’hésita pas à arracher les chaines, le sang coulait littéralement de lui mais il ne dit rien, c’est comme si ce n’était plus lui, Hiroki le frappait et lui lançait de nombreuses attaques, mais Hisoka ne daignait pas les éviter, il fonçait tête baissé et attaqua à son tour son frère avec ses cartes, il libéra tellement fort son Nen que nous pouvons voir que la plupart des spectateurs étaient tellement faible qu’ils auraient pu mourir d’oppression, heureusement pour eux que ma mère était forte et qu’elle soit présente pour les protéger.

Finalement Hisoka réussi à enfoncer sa main dans la poitrine de son frère, il allait prendre son cœur et le retiré mais là, je ne pouvais pas le laisser faire quelque chose qu’il regrettera j’en suis persuadé, le juge l’a désigné gagnant sous ma demande afin de mettre fin au combat, du coup je suis allé sur la scène et je l’ai serré dans mes bras, il ne se calmait pas , c’était comme si je n’étais pas, alors je n’ai pas eu d’autre choix que de le frapper assez fort pour qu’il s’éloigne d’Hiroki, je l’ai propulsé assez loin sauf qu’en une seconde il arriva derrière moi, ma mère l’a retenu avec sa capacité, Alléluia je t’aime maman !

J’ai soigné Hiroki qui était presque mort, ma mère retenait encore Hisoka, et sérieusement j’avais pas d’autres idée que d’aller vers lui, je me souviens que la dernière fois qu’il a perdu les pédales devant moi, je l’ai embrassé et ça a fonctionné … sauf que le lendemain nous avons fini par passer une nuit incroyable … je ne voulais pas que mes enfants découvrent pour nous comme ça mais je n’ai pas le choix, c’est ça ou alors c’est Hisoka qui se fait tué quand ma mère ne pourra plus se retenir.

Je l’ai embrassé passionnément, et lui au lieu de me prévenir qu’il allait mieux, il mit ses mains autour de moi et m’embrassa à sa façon, je sentais le regard noir et terrifiant de ma mère sur nous, ou plutôt sur Hisoka, quand il se décida enfin à me lâcher, mes joues étaient tellement rouge, mais bon j’avais autre chose en tête, Hisoka était vraiment bien amoché, je l’ai soigné autant que possible, vous savez le pire ?, le dernier combat sera entre nous deux, dans un sens nous avons réussi la mission, il ne reste plus qu’à terminé le dernier combat de finale, mais je ne veux pas combattre Hisoka devant mes enfants.

Moi : Hisoka, tu veux vraiment que l’on combatte l’un contre l’autre ?

Hisoka : Oui, ce serait amusant de voir de quoi est capable la mère de mes enfants (son sourire habituel)

Moi : Crétin, je ne veux pas qu’ils voient leurs parents s’entretuer, déjà qu’ils t’ont vu avec ton frère

Hisoka : Comment tu sais pour mon frère ?, je ne le considère pas comme mon frère

Moi : (En l’aidant à se lever), ne dis pas ça, je ne sais pas les détails de votre conflit mais je suis sûr d’une chose, tu fais exactement comme Mya, je comprends ce qu’à pu ressentir Hiroki, mais par rapport à lui, moi j’ai eu ma mère, mon père, mes amies, Kaito …

Hisoka : Tu ne connais pas les détails, je ne l’aimais pas alors je l’ai délaissé

Moi : Hisoka (visage sombre), tu délaisseras aussi tes enfants si jamais ils devaient devenir une nuisance ?, ou bien quand tu ne les aimeras plus ?

Hisoka : (sourire) je n’ai jamais eu d’enfant avant alors je ne pense pas que je puisse te répondre ma chérie

Moi : (Visage sombre), je vois

Hisoka : T’es fâcher ?, (rires)

Je ne sais pas pourquoi mais j’étais très énervé contre lui, je l’ai laissé seul et je suis allé voir mes enfants, l’arène était détruite alors il nous fallait bien encore un peu de temps avant de pouvoir combattre, non ?, dès que je suis arrivé dans les gradins, ils ont couru littéralement dans mes bras, je les ai serré très fort, j’étais tellement heureuse de les retrouver après une semaine  d’absence.

Moi : Hé (sourire Tendre), Kioku, Sora, maman est heureuse de vous revoir

Kioku : Dis maman, le pervers qui t’a fait un bisou, c’est qui ? (regard innocent)

Sora : Je n’ai pas confiance en ce pervers maman, il te fera du mal

Moi : Kioku, Sora … cet homme n’est pas vraiment comme vous le pensez et …

(Point de vue d'Hisoka)

Ai-je dit quelque chose qui l’aurait énervé ?, enfin bon, voir Saori dans les bras de ses enfants, ça me fait du bien, je ne peux pas encore m’approcher d’eux pourtant j’en ai gravement envie, mais cette image de famille parfaite ce n’est pas pour moi …

?: « Hisoka Morrow ! »

Moi : Hum ?, j’entends des voix maintenant ?

?: « Tu vas recevoir des baffes Joker de malheur ! »

Moi : Cette voix dans ma tête, ne serait-ce pas celle de ma belle mère adoré ? (sourire)

Aoi : « Si Kioku et Sora n’étaient pas là , je t’aurais déjà déchiqueté la tête, tu le sais ça ? »

Moi : Que me vaut l’immense honneur que ma belle mère adoré me parle ?

Aoi : « Ne m’appelle pas Belle mère !, je ne le suis pas et je ne le serai jamais parce que jamais je n’accepterai ta relation avec ma fille !, je veux juste te rappeler que tu ne dois pas révélé à ma fille que tu es son meurtrier, ni quoi que ce soit qui soit en rapport avec sa mort ! "

Moi : Je ferais ce que je veux tant que je m’amuse

Aoi : « Si ma fille meurt une seconde fois par ta faute, toi aussi tu mourras lentement mais tu souffriras, cette fois personne ne pourra t’aider »

Moi : (sifflement), Compris belle-mère (rires)

A suivre ...