Tome 2 chapitre 65

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**** Amra ****

Au bout de longues heures, la policière qui ma' interrogé viens me voir. Je suis entraîn de me rendre compte petit à petit de ce que j'ai fais. Je me sens vraiment stupide. Qu'est-ce qui m'a pris?

Elle me tend une bouteille d'eau je la prends

Moi: merci

Elle: tu veux manger un truc ?

Moi: nan c'est bon merci.

Elle: bon écoute, je sais que tu as pas envie de parler de tes motivations par rapport à ce que tu as fais. Mais crois moi ça va pas te rendre service.

Moi: j'assume ce que j'ai fais.

Elle: Mademoiselle B***** est pas apprécié dans le secteur, tu sais le nombre de plainte qu'on a contre elle pour escroquerie ou abus de faiblesse ?

Moi: vous me dites ça pour que je vous avoue les raisons ?

Elle: nan je te dis ça parce que je suis convaincue qu'elle a du te porter préjudice et que tu as fais ça par vengeance.

Je réponds pas

Elle: elle est ici. C'est pour ça que je suis venu te voir. Il va y avoir une confrontation entre vous deux.

Moi: il est quel heure la ?

Elle: 9h30, elle a réussis à obtenir cette confrontation j'étais pas pour. Mais son pigeon du moment a le bras long.

Elle a l'air de vraiment pas aimer Anissa. Peut-être qu'elle fait semblant. Je sais pas trop.

Elle: bon allez viens

Je me lève elle me met les menottes je la suis.

Je retrouve Anissa avec un mec sûrement un avocat. Elle a un gros pansement sur le nez. On se regarde.

Je m'assois.

L'interrogatoire commence, elle pose des questions à Anissa si elle me connait etc.

Anissa : je vous dis que je la connais pas cette folle

Elle: vous êtes sûr ?

Anissa: oui je suis sûr!

Elle souffle.

Elle: c'est pas une des victimes de vos arnaques ?

Anissa: je vous signale que c'est moi la victime elle m'a agressé!

Elle: oui pour une fois c'est vous la victime

Anissa: ça veut dire quoi ça ? Je vais demander à avoir un entretien avec votre supérieur. Ça va vous calmer.

Elle: maître je vous conseille de parler à votre cliente.

Son avocat lui parle à voix basse. Il lui demande de rester calme.

Anissa: je la connais pas, et c'est sûrement une fan qui me jalouse.

Moi: n'importe quoi!

Anissa: excuse moi mais tu as l'air d'une fille complètement paumée et mal dans sa peau.

Moi: ferme ta gueule, c'est mieux.

Anissa: notez bien qu'elle m'insulte.

Elle: me dites pas comment faite mon travail.

Anissa: vous prenez son parti, c'est inadmissible, elle m'a frappé et c'est moi qu'on traite comme une criminelle!

Elle se lève en montrant bien qu'elle est énervée. Elle s'approche de moi.

On me parle d'amour...moi je te parle de ce que je connais Où les histoires vivent. Découvrez maintenant