Les chaînes d’information diffusaient en continu le portrait robot de Léa Greenberg. Avec les cheveux tirés en arrière, les yeux fixent et les lèvres pincées, Léa ressemblait à l’idée qu’on pouvait se faire d’une terroriste. Ses traits ne dégageaient aucune sympathie et son regard était celui d’une personne déterminée. Les journalistes la décrivaient comme un individu extrêmement dangereux qui s’apprêtait à commettre un attentat dans la région d’Irvine. Le message était simple et clair : Léa Greenberg devait être capturée morte ou vive.
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