ADRÉNALINE

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔𝟑

Nous avons qu'une vie, et je ne veut pas que ma peur gâche se qui pourrait être mes plus beaux moment. Tout comme mon angoisse, je me laisse aller, sans doute, je ne suis pas sur de moi mais si je me faisais un peu confiance ?

...

Le soleil vient illuminé la totalité de ma chambre, me réveillant doucement. Je me tourne encore dans mes draps, dos à la fenêtre qui laisse passer les raillons de soleil. Je frotte du dos de mes mains, mes yeux puis reste allonger face à mon mur.
Je n'ai pas beaucoup dormis cette nuit, j'ai plus réfléchi, trop réfléchi. Toutes ses sentiments sont encore là, peur, angoisse et autres, mais elles m'épuisent tellement. Il faut que je fasse quelque chose, je suis la seule à pouvoir changer tout ça.
La conversation que j'ai eu avec lui hier soir, m'a fait me sentir légère, calme. J'ai aimée parler avec lui, sa faisant longtemps, sa me manquais terriblement.

Après de longues minutes dans mon lit confortable, une odeur de pancakes vient jusqu'à ma chambre. Je me lève du lit et m'étire avant de descendre en bas. Où je retrouve mes parents, encore en pyjamas, entrain de préparer des pancakes ainsi que la table à manger dans la bonne humeur. Se qui déteint vite sur moi. Un sourire apparaît sur mon visage, je m'avance vers eux et ils me prennent dans leurs bras, ensuite je les aide à préparer le petit-déjeuner puis peu de temps après tout est prêt.
Nous nous installons autour de la table, puis nous commençons à manger et discuter, la bruit de la télé en fond raisonne légèrement.

Papa - Ma puce ?

Moi - Mmhm ?

Répondît je tout en dégustant mon pancakes.

Maman - Nous voudrions te parler sérieusement.

J'avale difficilement tout en me relevant, sa n'annonce rien de bon.

Moi - Oui ?

Dit je peu confiante.

Papa - Tu n'a que seize ans, bientôt dix-sept, nous ne voulons pas que cette situation continue.

Moi - Cette situation ?

Je le regarde intriguée, mais c'est ma mère qui prend la parole.

Maman - Tu es constamment dans ta chambre, ou quand tu es avec nous tu es toujours dans tes pensées, entrain de réfléchir à en avoir mal à la tête.

Mon père enchaîne directement.

Papa - Nous voyons que c'est compliqué pour toi comme pour lui...

Ils parlent de ça...

Papa - Nous voulons te voir heureuse c'est tout.

Maman - Alors tu vas écouter attentivement se qu'on va te dire d'accord ?

Je hoche frénétiquement la tête positivement.

Papa - Tu es jeune pour être triste et démoraliser à se point, surtout en cette période de ta vie, la meilleure de toute.

Maman - Tu n'a pas à te prendre la tête, écoute toi, se que tu veut réellement toi. Ne te prend pas la tête est profite de se que la vie t'offre.

Papa - N'es peur de rien, car tu na pas à être effrayée de se qui pourrait ou ne pourrait pas arriver. Si tu le veut vraiment bat toi pour l'avoir.