ADRÉNALINE

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟕𝟕

PDV DE PAYTON :

Je peux passer des heures à la regarder. La regarder se balader vêtue seulement d'une petite culotte et d'une simple chemise pour recouvrir sa poitrine. Rien que ça sur elle me plaît. Elle me plaît avec un rien. Et tout ça m'appartient. Elle est à moi et je suis à elle. C'est incroyable.
Appartenir à ce petit bout de femme est fou. Ce petit bout de femme est capable de beaucoup de choses. Elle a fait beaucoup pour moi et elle ne s'arrête pas. Elle m'étonne de jour en jour. Elle mûrie de jour en jour. Cette femme qui a dormi nue à mes côtés cette nuit me rend dingue. Un rien me rend dingue d'elle. Ses yeux sombres. Sa tendresse. Son rire. Son corps. Sa bouche tentante. Son amour. Ses cuisses qui se touchent. Ses caresses contre ma peau. Tout se qu'elle dégage a le don de me faire tombé un peu plus amoureux.

Comment est-ce possible d'aimer une femme à se point bordel ? Cette petite femme, qui rougis à mes moindres paroles crues. Qui fuis mes pupilles noires trop intense. Qui sourit dès qu'elle m'aperçoit. Qui m'aime de tout son amour. Se que je ne pense pas être capable de lui donner. Regardez la. L'esprit encore brumeux. Se sourire envoûtant. Ses pommettes rougeâtres. Son poitrine que se relève quand elle respire de plein poumon. Ses cheveux en pagaille. Comment ça peu me rendre fou dès le matin ?
Elle a un effet sur moi complètement inexplicable. L'amour, oui, mais est-ce vraiment aussi puissant que sa ? A t'elle réussi à me faire aimer aussi fort que je n'aurais jamais imaginé ?

J'aime tellement de chose d'elle. Je ne cesse de l'aimer. J'aime lire dans ses yeux comme dans un livre ouvert rien que pour moi. J'aime redessiner ses lèvres si parfaites. J'aime quand nos peaux se caressent. J'aime l'entendre prononcer mon nom ou "je t'aime". J'aime l'entendre parler d'un langage cru devant moi, pensant peut-être pouvoir me gêné. J'aime la voir détendue à en frissonner inconsciemment. J'aime la voir ressentir les moindres sensations lorsque nous faisons l'amour.
L'amour. L'amour. L'amour...
Le sentiment tellement imprévisible, dévastateur mais tellement magique à la fois.
Puis l'acte, je pourrais lui faire l'amour à cette instant précis. Lorsque nous faisons l'amour l'entendre gémir, crier. La sentir jouir me rend heureux. Car d'un côté je la rend heureuse puis je lui fait ressentir des choses nouvelles.
Et pour finir elle, l'amour. Le mien. Mon amour. Indescriptible. Mais tellement envoûtant à regarder et tellement enivrant à goûter.

La voir. La sentir. L'entendre. La caresser. Rend chaque partie de mon corps encore plus attirer vers elle. Mon corps, mon cœur, mes yeux la veulent. Elle est irrésistible. Cette femme est irrésistible. Elle est la femme pour qui je suis tombé amoureux aveuglement. Peut-être trop rapidement mais maintenant que je la vois dans cette chambre en petite tenue nos erreurs et nos choix me sont égal. Je m'en moque maintenant qu'elle est ici avec moi. Dans notre appartement à Los Angeles. Avec moi et notre nouvelle vie.
Oh que j'aime cette femme.

Elle - Mon chéri ?

Sa voix. Ses mots. Glissent comme une mélodie à mes oreilles. Continue de m'appeler avec ta douce voix qui ne cesse de me faire rêver.

Elle - Payton...

Chuchote t'elle. Elle grimpe à quatre pattes au-dessus de moi. Son petit corps se colle au mien. Ses doigts s'ancre dans mes cheveux. Puis caresse légèrement mes paupières, puis mes joues et mes lèvres.

Elle - Comment vas-tu ?

Moi - Très, très bien. Et toi ?

Elle - Moi aussi.

Elle me sourit d'un ravissant sourire. L'une de mes mains s'aventure sur sa peau pour glisser sous ma chemise qu'elle porte. Je vois ses lèvres s'élargirent pendant que ses yeux observe les miens. Du bout de mes doigts je dessine se corps que je n'ai pas pu caresser pendant des mois. J'ai l'impression que sa peau chaude me réchauffe tout entier avec un simple toucher.
J'observe plus en détaille sa petite tenue du matin. Je glisse mon regard entre nos deux corps seulement séparés de quelques centimètres. La chemise est refermée avec seulement deux bouton. Je peut presque apercevoir ses seins nues en-dessous de se tissus blanc. Sa culotte est en dentelle blanche avec quelques détaille qui représente des fleurs.