ADRÉNALINE

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟓𝟕

J'ouvre la porte.

Moi - Payton il fait froid dehors et...

Mon regard croise le leurs. Je n'aurais peut-être pas dû ouvrir cette porte ? Ou peut-être que j'aurais dû réagir avant ? Déjà tant de questions et de remords.

Le pire que j'imaginais se passa, là, sous mes yeux. A se moment précis.

...

Lui, son corps seulement vêtu d'un jogging laissant son torse nue, claire illuminé par les lumières orangé des vestiaires. Ces mains poser sur sa peau douce retraçant doucement ses abdos parfaitement tracés, se ne sont pas les miennes n'y les siennes qui se trouve sur son corps. Mais ses mains a elle sont poser sur son torse nue. Ces ongles manucurés de couleur noire glissent lentement sur sa peau claire, sensuellement.

Elle, seulement habillé de sous-vêtements noir, devant lui, légèrement cambrée. Ses cheveux légèrement en bataille nous laissant comprendre que son t-shirt a était retiré dans l'action soudaine. Puis ces mains, à lui, poser sur ses bras, comme pour ne pas qu'elle le quitte. Son sourire en coin, fière d'elle, son regard menaçant. Pourquoi fait-elle sa ? Et lui ?

Je ne comprend presque pas se qui se passe je les regarde attentivement, regardant chaque trait de leurs visages, corps. Son regard croise le mien subitement, je le regarde dévastée.

Je ressent une énorme douleur en moi, j'ai l'impression que mon cœur se fait battre de l'intérieur. Mon nez me picote fortement me faisant comprendre que je vais pleurer, ma gorge et serrée tellement fort de l'intérieur que sa me fait mal. Tellement mal.
Je me sent mal alaise, triste, trahi, malheureusement amoureuse de lui. J'ai l'impression d'être complètement détruite et perdue. C'est compliqué d'expliquer tout se que je ressent mais tellement fort à ressentir. J'ai mal, je souffre déjà. C'est tellement douloureux !

Je ne peut pas rester ici et comprendre toutes les sensations que je ressent pour échapper à la réalité, à se qui se trouve devant moi. Mon copain et son ex presque dénudé, l'un contre l'autre. Ma vue se trouble rapidement même si je me refuse de laisser échapper une larmes laissant ma tristesse, ma douleur se faire voir physiquement.

Ma main palpe le vide derrière moi, encore abasourdie, jusqu'à ce que mes doigts trouvent la poignée froide de la porte. Que j'empresse d'ouvrir pour m'échapper, fuir se cauchemar au plus vite. A peine ai-je passer la porte que le vent fort et glaciale vient taper sur mon visage faisant dévaler, sans que je m'y attende, mes larmes.

Payton - Attend !

Je ne me retourne pas et continue d'avancer, essayant de garder mes sanglots silencieux. Mais quelques secondes plus tard à peine, une main s'agrippe à mon poignet que je retire immédiatement.

Moi - Ne me touche pas.

Dit je sans crier ou même pleurer. Je reste neutre, je le regarde avec dégoût dans les yeux et il a comme ressenti le sentiment que j'éprouvais à cette instant envers lui, sa la toucher. Je ne perd pas de temps et recommence à marcher, mais il me suit toujours.

Payton - C'est pas se que tu croit je te jure que...

Je m'arrête et me retourne vers lui.

Moi - "C'est pas se sur que tu crois" sérieusement ? Tu me prend pour une conne ?

Je n'est jamais était aussi sec avec lui, mais je m'en fiche.

Payton - Nan...bien sur que nan, je te promet que ce...

Moi - Pourquoi tu ma fait ça ? Qu'est-ce que je t'ai fait ?

Le son de ma voix ne fait que augmenter mélanger à ma souffrance et mes sanglots.

Moi - Je...je suis tomber amoureuse de toi et toi...tu...tu m'avais promis ! Dit moi se que je t'ai fait Payton ?!

Ses yeux sont remplis de larmes, son regard et remplis de tristesse et de peur. Il s'avance doucement vers moi mais je recule rapidement. Il reste silencieux pour toutes questions que je lui ai poser.

Payton - Je...je te promet que...

Moi - Je ne veut plus te parler Payton.

Dans son regard j'ai l'impression de lui avoir tirer une balle en plein cœur.

Payton - Qu...quoi...?

Sa voix est presque un son de son ressenti, se qu'il ressent au fond de lui, de la tristesse, de la douleur. Lui même est entrain de vivre un vrai cauchemar, se qu'il souhaité qui ne se passe jamais était entrain de se produire. La perdre, elle, la voir pleurer a cause de lui, l'avoir brisée était un de ses pire cauchemar, le plus effrayant et douloureux. Tout sa est irréel pour lui, ce n'est pas possible, il n'est n'y prêt à la perdre, n'y prêt à souffrir pour quelque chose de totalement...incompréhensible même pour lui. Lui même ne comprenait pas se qu'il se passer dans les vestiaires, lui même était totalement perdu.

Je part le plus vite possible sans répondre et il ne me suit plus.

Je marche encore et encore, silencieusement dans les rues sombres et silencieuse de la ville jusqu'à enfin arriver chez moi.
Aucun bruit, aucune larme, aucun sanglots ne c'est fait entendre ou même voir durant le trajet à pied.
A vrai dire je ne m'en remet pas, j'ai l'impression que tout ça est irréel car je n'ai jamais vraiment imaginé que se moment se passe, surtout au moment ou je m'y attends le moins.

J'ouvre la porte de chez moi, et pose mon dos contre la porte la refermant en même temps. La maison est silencieuse mes parents ne sont pas là se soir n'y demain d'ailleurs. Je vais devoir me réconforter seule au moment où j'ai le plus besoin d'eux mais je ne leur en veut pas, comment auraient-ils pu savoir que aujourd'hui tout irais mal pour moi ?

Bad ?
Le prochain chapitre parlera des sensations, sentiments et souvenirs des deux personnages principaux. Donc il y aura deux points de vue différents, un plus long chapitre.