ADRÉNALINE

𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟖𝟎

- Maman aide-moi !

Notre souffle à nous deux, se coupent instantanément, après ses paroles. Je sent mon cœur battre de plus en plus fort sous ma poitrine, tellement fort que j'ai l'impression que l'on peut voir ma poitrine bouger au mêmes rythme que mes battements. Tout cela me parais inimaginable. Tandis que Louis cours pour se réfugier derrière moi, Payton et moi restons pétrifier.Lui à cesser de courir derrière notre filset moi je laisse mes bras tomber le long de mon corps, alors que je l'ai lui tendais pour qu'il si réfugie.

- Nan ! Papa haha ! Il va m'attraper !

Mon regard fixer sur les vagues qui brillent grâce à la lumière du soleil, j'ai presque l'impression d'avoir imaginer ses paroles tellement fort que se n'est que le fruit de mon imagination. Je ne le veux pas, je veux y croire. Un court instant je peut enfin détacher mon regard de ses vagues foncées. Je regarde Payton se précipiter vers moi et attaquer notre fils. Ses petites mains qui s'accrochent à moi glissent en même temps que Payton l'allonge le dos contre le sol avant de le chatouiller.

Je palpe le sol sableux qui est recouvert d'une serviette sur laquelle je suis assise. Je trouve sa main et ses yeux ténébreux, je compris instantanément que tout cela est belle et bien réelle. Mais j'ai besoin d'être sur de moi. Je tente de prononcer un mot, une phrase mais rien ne sort. Il murmure alors mon nom, tout prés de mes lèvres. Mais je ne peut que lui répondre avec un silence, se qui le fais rire un court instant.

- Mon amour..., murmura t-il à nouveau, et cette fois me sortant de mes pensées et sensations submergeant. D'un regard je lui demande si tout cela est vrai. Il me répond d'un merveilleux sourire et les yeux pétillants. Alors une larme m'échappe et il la retire ainsi que la suivante. Plus les larmes glisser plus mon sourire se forme. Apercevant mon visage remplit de joie, malgré mes larmes, mais celles-ci sont des larmes de pure bonheur, il sourit encore plus et rigole même. Ses mains englobent mon visage et ses lèvres s'accaparent des miennes. J'ai tellement attendu ce moment...

Je me souviens du jour où notre relation a établi un grand pas et notre vie un énorme changement...

11 Décembre.
A l'appartement

Je suis dans la salle de bain, j'arrange mes cheveux et lisse le tissus marrons contre ma peau. Une robe en satin et marron, fines et un peu longues. Mon dos est presque dénudée, seulement quelques ficelles se croisent. Depuis son invitation qu'il m'a doucement susurrer a l'oreille avant de partir rejoindre sa famille en Caroline du Nord. Le soleil venait à peine de se lever a Los Angeles mais les rayons orangé faisant briller ses cheveux juste au-dessus de mon visage. Ses lèvres était chaudes contre mon lobe et son souffle lent. Il sortait de la douche et sentais merveilleusement bon parfumé de son fidèle parfum. Suite à ça l'excitation ma gagné durant son absence. C'est vrai que sa fait longtemps que nous n'avons pas eu de rendez-vous ensembles. A cause de nos emplois de temps quelques peu chargés depuis quelques mois. Mais se soir nous pouvons enfin nous retrouver.

Je me suis préparer avec soin, se soir. Enfin, depuis se matin j'ai pris du temps pour moi, j'ai fait des soins, je me suis embellie et j'ai soigneusement choisis ma robe après plusieurs longues minutes d'indécision. Mon sourire est plaqué sûr mon visage depuis hier soir et ne m'a pas quitte de la journée. Ma lèvres inférieure et rougie a force de mordiller celle-ci suite à mon impatiente.

Il est bientôt vingt-et-une heure et je suis toujours planté devant le miroir de la chambre. L'appartement est plongés dans un silence reposant, enfin il l'était. J'entends le bruit de la serrure. Je m'apprête à me précipiter vers la porte d'entrée mais je ralentis, il faut tout de même que je lui laisse le temps d'entrée. Je le vois déposer ses sacs a l'intérieur de l'appartement et refermer la porte derrière lui. Je m'avance vers lui mais d'un geste de la main il m'arrête. Je le regarde, incomprise. Mais il me souris et me regarde attentivement. Son regard est, disons, très explicite et mon corps réagit directement à la façon dont le sien agit. Il me déshabille littéralement du regard, j'ai l'impression de porté la tenue de Eve face à ses yeux noirs.