𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔𝟎

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(Je vous est laissez un petit mot sur mon profil, côté "conversation" pour vous remercier et m'excuser.)

Tout les élèves se ruent vers la sortie et certain vers le terrain, après que la sonnerie est annoncée la fin des cours. J'avance calmement vers le jardin du lycée, traversant les couloirs déjà presque vide. Il y a seulement quelques élèves à leurs casiers d'autre qui quitte le lycée tranquillement. Quelques minutes plus tard j'ai déposer mes affaires dans mon casier et je suis arriver au jardin ou je rejoint les filles.

Puis nous ne perdons pas de temps pour se diriger vers le terrain de match.

Quand nous arrivons les gradins sont presque remplis d'élèves et même de professeurs, coatch qui viennent encourager les joueurs, qui eux s'entraînent sur le terrain. Enfin ils font plus un match, mais c'est pour l'entraînement. Avec les filles nous nous dirigeons tout devant, elles s'assoit sur les bancs et moi je préfère rester debout, mon épaule et appuyer contre une barre en fer. Je suis entre deux gradins, assez espacer.
Nous observons les joueurs attentivement, tout en les encourageant et sa a l'aire de leurs faire plaisir. D'ailleurs il y a aussi les cheerleaders juste devant qui font des sauts et tout se genre de choses, je me demande pourquoi Nessa n'est pas avec eux, mais c'est sûrement pas obligatoire ou un truc du genre.

Mais sincèrement je ne fait pas vraiment attention à ça, mon attention et malgré moi rivé sur le joueur numéro vingt-sept, Payton. Je le regarde attentivement, apprenant à nouveaux chaque trait de son visage, son corps, ses cheveux enfin je le regarde comme si il n'y avait que lui. C'est le cas, il y a que lui à mes yeux, dans mes pensées, c'est plus fort que moi. Je repense à nous deux, notre relation n'est pas terminée car aucun de nous deux en a mit un terme, mais disons que nous faisons une pause, une longue pause.

Cela fait bientôt un mois que nous sommes en "pause", il a fait beaucoup de choses pour essayer de se rattraper, il m'a appelé pendant des heures, des nuits, puis il est venue plusieurs fois en bas de me fenêtre à n'importe quelle heure, il a aussi essayé de se rapprocher de moi au lycée mais en vain. Je fuyais, et je fuis toujours, ou je décliner ses appelles, lui faisant toujours un peut plus mal, je le voyais dans son regard, les traits de son visage.

En réalité nous avons une petite discussion, environ une semaine après se qui c'était passé, nous étions ici dans les gradins, je l'ai obligé de ne pas s'approcher de moi, nous étions donc à environ cinq mètres l'un de l'autre. Et se soir la j'ai craquée, j'ai pleurer, crier tout en lui faisant comprendre que je ne voulait pas lui adresser la parole à nouveau, je ne voulait plus qu'il m'harcèle de message ou qu'il vienne en bas de ma fenêtre. Et se soir la, nous avons pleurer tout les deux, à cinq mètres d'écart, nous obligeant à ne pas se jeter dans les bras de l'autre. Il a accepté mes conditions puis les jours suivant il a commencer à me glisser des mots dans mon casier, à rester à une certaine distance, à regagner peu à peu le sourire.

J'ai juste peur de fair cassez la réalité, j'ai peur de se qu'il va me dire si nous discutions ensembles. Car la seul chose qu'il veut c'est me parler de cette soirée, quand il me le demandais il était tellement confiant en lui. Mais j'avais peur, j'étais terrifiée donc j'ai refusé, encore et encore. Idiote, je sais, mais c'est moi.

19h37:

La nuit est déjà tombée depuis plusieurs minutes déjà, et les joueurs viennent d'arrêter leurs entraînement intensif. Les filles on rejoint leurs petits copains pour les féliciter sur le terrain, quant aux cheerleaders elles sautent sur les garçons célibataires. En plus court Lara saute sur Payton. Mais il a repoussé et je ne peut m'empêcher de sourire face à la tête que tire Lara.
Mais je ravale très vite mon sourire quand je le vois me regarder depuis le milieu du terrain. Se regard qui veut tout dire "laisse moi te parler, laisse moi m'approcher de toi", je cherche du regard autour de moi quelqu'un qui pourrait m'aider. Je croise le regard des filles, elles sont comme "préparer" à cette scène, les garçons aussi d'ailleurs, leurs regards et déjà poser sur moi et je comprend rapidement qu'ils m'on laisser seule pour que je me retrouve avec lui.

ADRÉNALINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant