Elle a ton sourire chapitre 11 tome 2

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Alors que Paris est endormi, dans l'appartement vintage la nuit semblait être le parfait moment pour mettre les choses à plat.

Nino : Tu était sincère quand tu parlais de vouloir avoir un enfant ?

Alya : Oui c'est bien ce qu'on essaye de faire ?

Nino : Tu sais que c'est plus compliqué que ça.

Assise sur son lit un livre à la main, Alya semblait perturbée.

Alya : Dans trois mois on sera fixés sur notre avenir.

Nino : Les plus longs mois de ma vie. Tu le verrais comment notre futur si on devenait parents ?

Alya : Je t'imagine bien en papa cool toi qui déteste les perents strict, tu apprendrai aux enfants à aimer la musique, tu serais présent t'intéressant à tout ce qu'ils diront. Pour moi tu sera le meilleur père du monde.

Nino était ému de cette tendre description. Il s'avança les yeux remplis d'amour avant d'embrasser Alya.

Nino : Toi aussi tu seras la meilleure des mères, y a qu'à voir comment tu t'occupes des filles de Marinette et d'Adrien.

Les yeux dans le vague Alya sourit tristement.

Alya : Si seulement c'était possible...

Nino : Quoi ?

Alya : Non rien, bonne nuit.

Nino : Bonne nuit babe.

Un bras autour de la taille de sa femme Nino s'endormit avec des rêves de famille plein la tête.

Dans la noirceur de la nuit Alya versa une larme silencieuse seule témoin du secret qu'elle gardait...

Deux semaines avaient filées, mais ces deux semaines furent un calvaire pour Marinette et ses filles puisqu'Adrien avait dû partir à New York pour des raisons inconnues.
Après une longue attente le mannequin devait arriver dans la journée.

Iris : il rentre quand papa ?

Emilie : pa.pa.

Le plus petite tapait dans dans ses mains en répétant inlassablement le mot "pa.pa".

Marinette : Bientôt.

Elle sourit elle aussi impatiente de revoir son époux.

Cinq minutes après alors que Marinette donnait le bain a Émilie, Iris revint

Iris : C'est quand bientôt.

Marinette : Quand tu auras fini tout tes devoirs.

Dix minutes après Iris revint pendant que Marinette préparait le repas.

Iris : J'ai fini, il est où papa ?

Marinette : Dans l'avion, je pensais pas que tu finirais aussi vite.

Iris : J'avais déjà commencé mes devoirs avec papi Gabriel. Du coup il arrive quand papa ?

Marinette : Dans moins d'une heures.

Inutile de préciser qu'Iris demandait l'heure à sa mère toutes les cinq minutes.

Marinette : J'ai une idée, si tu dessinait un beau dessin pour papa ça lui fera plaisir et le temps passera plus vite.

Iris : Oui !

Toute contente elle se muni de crayons et de feuilles.

Iris : Maman raconte moi un autre souvenir de toi et papa.

Marinette : Hum... Qu'est-ce que je vais te raconter ? Je sais ! Tu te rappelles que de ton oncle chinois Xiang-xi Fu ?

Iris : Oui le grand chef cuisinier.

Marinette : Quand il était au collège Adrien prenait des cours de chinois. Mon oncle est venu participer à un concours de cuisine qu'il a remporté. Et grâce à Alya Adrien m'a servi de traducteur toute la journée, parce qu'au départ on ignorait que Xiang-xi Fu parlait français. Par la suite ton père m'a proposé de m'apprendre le chinois c'est comme ça qu'on a commencé à se rapprocher.

Marinette souriait en se rappelant l'époque de ses premiers émois. Puis le téléphone fixe sonna, ensuite tout se passa très vite, la styliste décrocha, écarquilla les yeux et l'instant d'après l'appareil s'écrasa sur le sol alors que la mère de famille restait paralysée...

À suivre...

Elle a ton sourireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant