Steve découvre que son père a connu une petite fille grâce à une photographie trouvée dans la caisse à outils de son père. Il ne sait pas si cette enfant est vie...
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«Joe ! Viens chercher l'enfant ! Je t'en supplie, sauve-la !, dit une femme au téléphone.
- Christina ! Où es-tu ?
- Localise-moi, je t'en supplie, sauve cette enfant ! Je l'aime tellement ! »
Le téléphone se coupe, la femme a raccroché, mais le signal est toujours actif. Il la localise, puis il part à l'adresse indiquée avec une équipe des Marines.
En pleine nuit, ils entrent de force dans cette maison au milieu de nulle part. Ils tuent sans se préoccuper de l'identité de leurs adversaires tant que ce ne sont pas Christina ou une enfant. Certains parviennent à fuir...
Joe entre dans une pièce. Il découvre l'horreur : Christina avec une jambe et un bras coupés à la hache, à vif, une petite fille près d'elle en pleurs, couverte de sang, puis le bras ouvert de l'épaule au poignet.
« Joe, je t'en supplie prend cette enfant !
- Tout est OK ici, patron, intervient un homme de Joe.
- Prends l'enfant, répond-il à son subordonné à contrecœur en regardant Christina. J'arrive. »
L'enfant hurle, demande sa mère, elle tend son bras valide pour rester auprès d'elle tandis que l'homme court vers l'hélicoptère pour la protéger. Joe revient. Au loin, une fois l'hélicoptère dans les airs, tous entendent une détonation, l'habitation a explosé.
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« On doit arrêter le saignement. Tenez-la bien. », dit Joe.
L'enfant, malgré sa peur, la séparation d'avec sa mère se laisse faire. Ils la soignent, mais elle souffre. Joe la tient, son regard croise celui de l'enfant qui finit par s'endormir de douleur jusqu'à un hôpital de la Corée.
Quelques jours plus tard, Hawaï.
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Joe avec l'enfant dans les bras, frappe à une porte.
« Joe ! Entre, dit le propriétaire de la maison, John Mc Garrett.
- Personne ne doit découvrir l'existence de cette enfant, personne. Pas même tes enfants. Dès que j'ai un endroit sûr pour elle, je viendrai la chercher.
- D'accord. Comment s'appelle-t-elle ?, demande-t-il en la regardant dormir.
- Tu n'as pas besoin de le savoir. Elle ne restera pas longtemps. Ne t'attache pas à elle, compris ? Ce sont ses médicaments tout est inscrit sur les boîtes. Surtout que son bras reste immobile. À bientôt, mon ami. »
