Steve découvre que son père a connu une petite fille grâce à une photographie trouvée dans la caisse à outils de son père. Il ne sait pas si cette enfant est vie...
La cérémonie a lieu. Adam et Kono s'échangent leurs vœux et tous entrent dans le château pour faire la fête. Stella s'installe auprès de Jerry, sur une table, loin de Catherine et du reste de l'équipe. Il faut qu'elle ne fasse rien paraître de sa douleur de voir Catherine ici. L'équipe, sur une autre table, discute, pendant que Kono et Adam ouvrent le bal.
« Que s'est-il passé ?, demande Steve.
- Gabriel a pointé une arme sur moi, sur le parking. Il voulait me donner la moitié de ses gains. En échange, je devais fermer les yeux sur ses trafics.
- Te proposer cinquante pour cent d'un empire, commence Danny, c'est très généreux. Tu as dit quoi ?
- Qu'il ferait mieux de me descendre, sinon, c'est moi qui le ferais.
- Dis-moi que ma fille n'a rien vu ?
- Elle n'a rien vu, rien entendue. Son arrivée a peut-être permis d'éviter le pire. Elle n'a pas compris ce qui se passait, j'en suis sûr, Steve.
- OK, répond-il en regardant sa fille parler avec Jerry. Je trouve ça bizarre. Il vient te voir au mariage de ta cousine, alors qu'il sait que l'on est tous là. Il ne veut pas te corrompre, il fait passer un message.
- Il nous fait comprendre qu'il n'a pas peur de nous, intervient Lou.
- Je sais que c'est important, et je comprends ce que vous ressentez, mais n'oubliez pas pourquoi, on est là, les interrompt Catherine.
- Oui, tu as tout à fait raison, répond Chin.
- C'est vrai, c'est la soirée de Kono et d'Adam. On est là pour faire la fête, conclut Steve.
- Eh bien, dans ce cas, je ferais bien d'aller proposer à sa Majesté, ma femme, Renée de danser.
- Je vais inviter ma fille, Grace, à danser.
- Alors matelot, dit Catherine à Steve. Et toi, tu te souviens de comment on fait ?
- Oui, je me souviens. Et toi, tu t'en souviens ? Prouve-le, lève-toi.
- Allons-y. »
Sur la piste de danse, Stella voit son père embrasser Catherine. Une boule dans la gorge l'a fait se réfugier dans les toilettes, un long moment. À sa sortie, tous sont sur la piste, sauf son père.
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« Hé ! Ma puce, je commençais à m'inquiéter.
- J'étais aux toilettes.
- Oui, j'ai vu ça. Et moi, j'attends ma magnifique puce pour faire une danse depuis plus d'une demi-heure, maintenant.
- Désolé.
- Mais non, ne le soit pas. Allez, dit-il en posant son verre de vin qui l'aidait à patienter. On sort de ce fauteuil et sur la piste, ma puce. Tu montes sur mes pieds et c'est parti ! »
