Chapitre 36

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Bonne lecture😜



Laguerra atterrit au pied d'un arbre, Mendoza ne prit pas beaucoup de temps à la retrouver. Un mètre les séparait, le marin allait rejoindre sa belle mais de toute part, des soldats japonais sortirent et encerclèrent le couple.

Ils dégainèrent leurs épées.

Zarès s'avança et proclama d'une voix mauvaise. Qui tonnait comme un boulet de canon.

Zarès: Vous êtes fait, rendez vous.

Le capitaine à la cape bleu répondit d'un ton solennelle;

Mendoza: Un capitaine espagnol ne se rends pas, il gagne ou il périt!

Les soldats de Shimazu furent impressionné par les mots de Mendoza. Mais Zarès ne fléchirait pas.

Zarès: Et toi Laguerra?

Elle tressailla, il la tutoyait rarement et quand il le fait  c'était par colère ou méfiance. En l'occurrence c'était par colère.

Elle répondit d'une voix qu'elle voulait calme et déterminée.

Laguerra: Une Laguerra n'abandonne jamais, et je suivrais même jusqu'à la mort mon époux!   

Ambrosius ricana diaboliquement, et il s'avança vers le couple.

Zarès: Votre choix et fais, dites vos prières!

Il commença à viser avec ses lames à l'intérieur de ses manches.

Mais Laguerra aussi agile qu'un chat pris son fouet et s'accrocha à une branche. Mendoza escalada le tronc et vit Pichu qui les regardait.

Mendoza: Pichu va chercher de l'aide!!!

Le petit perroquet s'envola et arriva au condor en hurlant et en mimant avec ses ailes.

Pichu: Alerte! Alerte! Zarès méchant!!! Mendoza!!! Laguerra!!! Alerte!!!

Les quatre enfants le regardèrent interloqué.

Tao: Là mon pauvre Pichu calme toi...

 Esteban: Il faut agir vite!

Zia: Mais comment?

Indali: Peut être avec le condor?

Esteban: Non ils doivent se battre dans la forêt...

Tao: J'ai une idée!!!

Il s'avança vers son baluchon...

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Dans la forêt les gardes encerclaient toujours les arbres et Zarès s'était propulsé sur la branche de ses ennemis et sauta pour la casser.

Les deux espagnoles étaient bloqués, ils ne pouvaient descendre ni rester sur l'extrémité de la branche...

Laguerra: Vite sur un autre arbre!!!

Une cours dans les arbres commença, avec son escarpolette Ambrosius ne pouvait se poser que sur de grosses branches. Tandis que Mendoza et Laguerra sautaient aussi agile que des écureuils.

Mais ils n'avaient pas le droit à la chute sinon s'était la mort assuré par un vingtaine de japonais.

Zarès s'impatientait et les deux espagnols se fatiguaient. Il s'envola et atterrit juste devant eux, derrière deux soldats s'étaient posté, coupant toute retraite.

Avec ses deux fausse mains il arracha les deux épées et les pointa sur le cœur de leurs propriétaires.

C'était finit!!!

Mais...non!!!

Zarès se faisait entrainer par une force surhumaine qui lui arracha les épées puis le firent tomber du sommet de l'arbre. Dans la chute il aperçut   les quatre enfants coiffés de couronnes.

Zarès: Maudit gamin!!!

En effet, Tao avait eut l'idée de prendre les quatre couronnes, celle de la sorcière et trois de Sûndagatt pour tenir tête  à Ambrosius.

Ce dernier était pour le moment en difficultés coinsé entre deux rochers mais il restait les gardes de Shimazu.

Les enfants firent valser leurs armes qu'ils envoyèrent dans la mer.

Apeurés, ils prirent la fuite et nos héros se dépêchèrent de retourner au condor.

Le grand oiseau décolla et ses passagers reprirent leur souffle.

Mendoza: Merci les enfants!!

Laguerra: Sans vous sans était finit de nous!

Zia: De rien, vu le nombre de fois que vous nous avez sauvez...

Indali: Euh  Tao, ton baluchon brille!

Tous sauf Indali: Hein!!!

Une lumière bleu clignotait bizarrement...


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Quelle est cette étrange lumière?

Ambrosius va t'il continuer à vouloir se venger?

Vous le serez en lisant le prochain chapitre des mystérieuses cités d'or.

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Voici mon chapitre avec un peu d'action.

J'espère qu'il vous aura plût❤

Sur ce chers lecteurs lectrices je vous souhaite une bonne journée/soirée😘

Ma saison 5 des mystérieuses cités d'orOù les histoires vivent. Découvrez maintenant