Chapitre 6

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Après une bonne semaine de voyage ils atterrirent enfin sur le sol américain. Le voyage avait était fatiguant pour nos deux élus et Tao car ils avaient décidé de s'arrêter qu'au couché du soleil et de reprendre dès l'aube.

Tao: Enfin arrivé, ça fait du bien de se dégourdir les jambes

Esteban: Bien dit, tu viens on va attraper des lézards.

Gaspard: Des lézard, sale bête va, je vous accompagne

Tao et Esteban: Pfffffffffffffff...

Laguerra: Ces enfants sont inépuisables. Tien Zia n'est pas descendu du Condor.

Mendoza: Je vais lui parler. 

Il monta dans le grand oiseau d'or. La jeune fille était assise sur son lit, elle...pleurait.

Mendoza: Tout va bien Zia?

Zia: Pas vraiment, je suis heureuse d'être de retour dans mon pays mais il me rappelle aussi mon père...

Un larmes coula sur sa joue, son père était mort devant ses yeux, comment ne pas s'en souvenir?

Mendoza: Tu sais Zia, je te comprend parfaitement, un deuil est très dur à faire mais pense que tu reverra aussi Maïna et ton village...

Elle se blottit contre lui.

Zia: Oui tu as raison Mendoza et puis je t'ais toi, je te considère comme mon second père. Merci

Mendoza: Tu es également pour moi ma fille.

La bretteuse entra dans le condor.

Laguerra: Ca vas Zia?

Zia: Oui ça vas, où sont les garçon?

Laguerra: Partit à la chasse au lézard.

La jeune inca sortis laissant les deux escrimeurs seuls.

Mendoza: Zia se rappelais la mort de son père qui l'a quitté sous ses yeux.

Laguerra: Je la comprend moi aussi cet endroit me rappelle de mauvais souvenirs

Mendoza: Au fait il faut que je te parle...

Laguerra: A quel sujet?

Mendoza: Un sujet que tu n'apprécie guerre...

Laguerra: A propos de mon mon père (il fit oui de la tête) Je t'écoutes.

Mendoza: J'ai connu ton père Isabella et j'ai assisté à sa mort.

Laguerra: Tu...tu l'as pas tué?

Mendoza:  Non j'ai juste vu la base exploser mais ton père et moi étions ennemis.

Laguerra: Pourquoi?

Mendoza: Les enfants avaient volé un de ses parchemin et je l'ai en quelques sortes déshonoré.

Laguerra: C'est donc de toi qu'il me parlait dans ses lettres, tu lui as effectivement déshonoré mais je te pardonne, c'est du passé.

Mendoza: Merci, j'avais peur que tu le prennes mal.

Elle lui adressa un magnifique sourire et ils s'embrassèrent.

Esteban: Oups, désolé, je venais vous chercher.

Mendoza et Laguerra étaient rouges de honte mais finirent pas rire.

Après le repas ils décidèrent le chemin a prendre jusqu'à la cité. Ils s'arrêterons dans le village de Zia pour refaire le plein de vivre et rendre visite aux incas. Ils couchèrent tous fatigués.

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Voilà mon chapitre j'espère que ça vous plais toujours.

Sur ce, chers lecteurs et lectrices je vous souhaite une bonne soirée.

Ma saison 5 des mystérieuses cités d'orOù les histoires vivent. Découvrez maintenant