Chapitre 16: Vengeance

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VALENTINO



























Putain ce que je m'en merde ici.

Il doit être aux alentours des vingt-trois heures ce qui signifie qu'en Italie il est à peu prêt trois heure du matin et je suis en pleine réunion en Colombie, dans une boite de nuit, quand je reçois un appel de ma sœur Francesca.

Elle sait qu'il ne faut me contacter qu'en cas d'urgence absolu quand je suis en déplacement alors je prends cet appel en quittant la salle VIP et fais signe à Angel et à mes hommes de venir avec moi à l'extérieur de cette boite de nuit merdique.

-Si?

Je marche en tenant mon téléphone de la main gauche et en fourrant ma mains droite dans ma poche de pantalon pour en sortir de quoi fumer.

-Je crois que quelqu'un fait du mal à María!

Je m'arrête de marcher d'un coup et lui demande:

-Comment ça, explique moi Francesca?

-J...j'étais dans la cuisine quand j'...j'ai vu Luis aller vers la cave et après j'...j'ai en...entendu des cris provenant du sous-sol, au début j'ai cru que c'était un prisonnier qu'il était allé punir puis je me suis rappelé que tu les as tous tué le jour de ton départ, alors je te le demande, y a t-il quelqu'un d'autre dans la cave à part María?

Mes yeux s'écarquillent et je lui réponds immédiatement:

-Francesca...je n'ai mis personne d'autre qu'elle dans la cave, dis-moi ce que tu as entendu?

-Elle criait à l'aide et puis d'un coup, plus rien, et si...et si-

-VAS PRÉVENIR ROSA ET VERÓNICA MAINTENANT!

Je n'entends plus rien pendant un moment, je l'entends escalader les escalier et crier:

-ROSA, VERÓNICA, CODICE ROSSO (CODE ROUGE).

Nous avons créé ce code au cas où l'un d'entre nous serait en danger de mort.

-Passe moi Rosa, Francesca.

Rosa est la seule qui ne sait pas se battre, alors si il doit y avoir une boucherie, je veux être tenu de tout ce qu'il se passera dans cet maison.

-Oui?! demande Rosa, la voix endormie.

-Je veux que tu me préviennes de tout ce qui se passe et que tu me décrives tout ce que tu vois, ordonnais-je en avançant vers ma voiture de sport en enlevant cette foutue cravate autour de mon coup.

-Okay. Tu les ranges où, les armes?

-Derrière le tableau de maman.

Elle se met à courir et je monte dans ma Bugatti Chiron aux cotés d'Angel qui me posait des questions:

-Putain qu'est-ce qu'il se passe Valentino ! Pourquoi elles t'ont appelés?!

Je pose mon téléphone sur son socle et démarre en trombe, à toute allure, grille tous feux et une fois dans l'autoroute pour aller à l'aéroport, j'appuie sur l'accélérateur et monte à plus de deux-cents kilomètres heures.

Putain, si cet enculé de Monrido n'a touché qu'à un seul de ses cheveux, je l'émascule sur place.

Je frappe sur le volant de ma paume de main et jure à voix haute.

-Putain!

-On descendant Valentino, me prévient ma sœur.

-Faites attention, ces batards sont peut-être armés.

MORIÑO'S⎮T.1/T.2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant