Chapitre 68: Diner ?

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Coucou les 🍓's!!!

J'espère que ce chapitre vous plaira, il était attendu par beaucoup d'entre vous☺️☺️

N'hésitez pas à commenter et voter, j'adore vos commentaire, vraiment, et on se retrouve à la fin comme d'habitude !!

Bonne lecture !




















Un mois plus tard...





VALENTINO




La vue est belle d'ici.

Et pourtant il me manque quelque chose.

Une pierre que je n'aime qu'un peu trop.

— Tonton ?

Je baisse les yeux sur ces belles et grandes pupilles miroir aux miennes, et trouve ma filleule qui me tend ses bras pour que je la porte. Mon cœur se desserre, et un sourire se forme sur mes lèvres en posant mon verre d'alcool sur ma table en chêne. Mes mains passent sous ses bras, et la pose sur mes genoux tout en embrassant ses joues potelées.

- Tu bois quoi, tonton ?

- Une boisson pour les grands, ma princesse.

Elle rougit, pose sa tête sur mes pectoraux, et reprend en prenant le verre, trop grand pour elle, entre ses deux petites mains:

- Je peux en prendre ?

Je lui prends le verre des mains, les sourcils froncés et lève le doigt devant elle tout en prenant un ton plus ferme pour la mettre en garde:

- Jamais. Toi, tu n'y touches pas. Même quand tu seras grande, sinon, tonton risque de te gronder.

- Tu me grondes, moi, tonton ? ouvre-t-elle de grands yeux qui m'attendrissent effroyablement et me donnent envie de sourire à ma nièce.

Il est vrai que jamais je n'ai levé le ton avec elle, et que je la gâte énormément, mais s'il faut que je lui crie dessus pour qu'elle s'éloigne le plus possible de l'alcool et de ses effets néfastes, alors je n'hésiterais pas une seule seconde.

- Oui, tranché-je avec tout autant de sérieux malgré ses yeux qui se gorgent de larmes.

Mais je ne supporte pas de la voir ainsi, depuis sa noyade, je ne peux pas voir Valentina ainsi. Alors, je fais passer sa mèche rebelle derrière son oreille et me lève, son corps agrippé au mien pour l'emmener avec moi dans le salon pour la faire s'asseoir en face de moi. J'ai essuyé sa grosse larme qui me fait sourire, et pose mes lèvres sur le haut de son crâne.

- Valentina, on va faire un peu de sport toi et moi, d'accord ?

Elle a dû rester dans un coma artificiel pendant deux semaines, alors son cerveau doit reprendre l'habitude de faire des actions comme marcher, courir, sauter et elle trouve ça amusant de le faire avec moi, alors j'aime ça.

Je demande à une bonne d'aller la changer pendant que je pars dans ma chambre et enlève mes boutons de manchettes avant de sentir des mains se poser sur mes biceps dès que j'enlève ma chemise blanche, me retrouvant torse nu.

- Coucou, bébé...

Mi Salvatore...

- Bonjour, Emma, rétorqué-je quand elle pose ses lèvres sur ma colonne vertébrale avant de passer ses mains sur mon torse.

MORIÑO'S⎮T.1/T.2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant