MORIÑO'S⎮T.1/T.2

Chapitre 15: Et un cauchemar

TW: VIOL ET AUTOMUTILATION

Si vous êtes sensibles, ne lisez pas ce chapitre mes amour❤️

MARÍA

Je n'arrive pas à déglutir, mon cerveau commence à tourbillonner et la seule chose qui me vient à l'esprit, c'est de faire semblant de dormir.

Faites qu'il parte...

Je vous en pris, faites qu'il part...

-Tu pensais que j'me contenterais de foutre mes doigts dans chatte serrée pour m'calmer? J'te vois depuis que t'es venu, tu m'excites comme la pute que t'es!

Il empoigne ma couette qu'il enlève sans la moindre difficulté malgré mes poings qui la serrent de toutes mes forces. Je m'adosse contre la tête de lit et ramène mes cuisses que je colle contre mon torse et entre elles par la même occasion.

-L...Luis, tentais-je de le calmer, n...ne faites pas ç...ça...vous pourriez le regretter...

Il ne m'écoute pas et m'attrape les cuisses que je serre de toutes mes forces mais ça ne suffit pas. Il les tend et me ramène au milieu du lit. Ses mains sur ma peau commencent à me traumatiser alors que celles Benito me marquent déjà de leur présence, aussi bien psychologiquement que physiquement.

-À L'AIDE! hurlé-je en essayant de partir.

Je me débats contre lui, le poussant de toutes mes forces pendant s'allonge sur moi, m'écrasant de tout son poids, m'empêchant ainsi de respirer et de bouger par la même occasion.

Ma tétanie bloque tous mes gestes alors que mon genoux essaie de se loger dans son entrejambe. Ma respiration n'est plus normal, je vois qu'il fait nuit noir mais rien de plus.

J'essaie de me défaire de son emprise, vraiment, mais rien y fait, il me bloque et me déshabille pendant je me débat sans relâche.

-JUAN! VIENS ICI!

Ma peur augmente quand j'arrive enfin à le repousser mais qu'il fait appel à un autre homme qui, lui aussi, je le sens, me faire du mal. L'homme qui était devant la porte entre dans la pièce emplie par mes cris de supplique et lui demande:

-Qu'est ce qui s'passe? parle t-il comme son complice.

-Elle arrête pas de bouger, aide moi s'te plait, que je lui règle son compte une fois pour toute!

Les deux hommes se jettent sur moi alors que je tente de me sortir de leur étreinte qui m'étouffe comme aucune autre ne l'a fait ! Luis se met à rire comme un fou, lui et son amis, Juan, je crois, avant de me jeter par terre pendant que des larmes trouvent place sur mes joues.

Le garde prend violemment mes avants-bras et les met au dessus de ma tête, l'autre homme, quant à lui, déboutonnait son jean sale et le baissait au niveau de ses cuisses.

Mes yeux se ferment une seconde alors que je les supplie de ne pas me faire de mal. Il ricane encore une fois, agrippe les côtés de mon legging et ma culotte en même temps pour les baisser tout les deux. Luis baisse son caleçon laissant apparaitre son pénis que je ne prend pas le temps de détailler tellement là situation me donne envie de vomir. Je détourne le regard, pleure bruyamment dans mes mains alors que ses dents se logent dans mon cou qu'il mord si violemment que j'en hurle de douleur pendant que l'autre garde m'enlève mon t-shirt et détaille ma poitrine comme un animal.