Chapitre 55: La tempête.

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Coucou mes chéries!!!

Alors c'est pas le dernier mais l'avant dernier, je l'ai coupé en deux!!!

Bonne lecture!!!




















MARÍA


Je ne veux pas y penser pour l'instant. Tout ce que je veux, c'est passer cette soirée, et rentrer en Italie avec Valentino pour avoir une longue conversation avec lui, mais pour l'instant je veux profiter avec lui du fait que nous ne soyons pas morts suite à cette course poursuite qui a bien failli me faire une crise d'épilepsie si Valentino n'avait pas toujours une boîte de mes médicaments en sécurité.

Sa main toujours sur ma cuisse voyage dessus, il caresse alors ma main et l'apporte à ses lèvres pour l'embrasser, et je fronce les sourcils avant de voir que l'on revenons à l'hôpital.

— On ne doit pas se préparer pour ce soir ?

— On a le temps pour ce soir, mais là, on doit passer à l'hôpital pour emporter des documents sur l'état de tes jambes.

J'agisse les épaules, il s'arrête devant le grand bâtiment blanc, me fait doucement descendre de la voiture et m'aide à marcher jusqu'à ce que nous arrivions dans ce qui me servait de chambre il y a deux mois de ça. Valentino part un moment pour avoir les documents et revient en m'informant que ça prendra un peu de temps à avoir.

— Valentino ? demandé-je en me positionnant sur ses cuisses de manière plus confortable.

- Ma beauté ?

- Je...tu penses qu'une robe m'irait ? Je dis ça parce que...tu vois, j'ai l'impression que rien ira à cause de mon ventre...?

Il pose son téléphone sur la table, je me lève et ouvre le placard contenant mes affaires pour les plier et les ranger dans des sacs que les gardes ont apporté. Je l'entends poser le coude sur la table à roulette, et je sens son regard qui me fait rougir de honte. Il se redresse quand j'essaie de fuir ses yeux beaucoup trop intrusifs sur mon corps, et m'attrape par les hanches sans que je ne le voie venir. Un cri étouffé résonne alors dans la chambre, mais Valentino reste aussi sérieux que s'il signait un contrat à plusieurs milliards.

- J'aime quand je dois te montrer à quel point tu es belle. Parce que je peux faire ça.

Il me ramène devant son visage, je souris quand Valentino défait le nœud de mon jogging avant d'essayer de baisser le tissus noir. Je l'en arrête avant, mais il attrape mes mains en se levant, et décroche sa ceinture avant de me retourner pour m'appuyer son intimité gonflée contre mon bas du dos.

- Tu es si belle...Tu es si belle, María...

Je gémis de plaisir quand il pétrit mes fesses de ses grandes mains qui les comblent insuffisamment. Il attrape mes mains, les lie aux siennes et prend mon visage en coupe en même temps tout en liant nos langues l'une contre l'autre.

- Valentino...

Aussitôt sa main passe sur mon cou et sa bouche dévore mon cou pendant que ses doigts habiles attachent sa ceinture autour de mes poignets liés.

- Maintenant je peux te faire ce que je veux...

Il continue alors de faire descendre mon jogging sur mes hanches puis sur mes cuisses. Je ferme les yeux, me mords la lèvre du bas et rejette ma tête en arrière quand il pose ses belles lèvres pulpeuses sur mon ventre. Sa langue descend sur la cicatrice de ma césarienne, ses dents mordillent mes vergetures. Il remonte vers mon nombril, plonge sa langue dedans et je crie de plaisir quand il se lève et me pousse sur le ventre pour que je sois allongée sur mon lit.

MORIÑO'S⎮T.1/T.2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant