Chapitre 51

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Il ne cache pas ses larmes

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Il ne cache pas ses larmes. Il n'essaye même pas. Et ça rend ses mots encore plus sincères. Angel n'a pas peur de me montrer sa peine quand moi j'ai mis tant de temps à me confier. J'aurais dû le faire plus tôt! J'aurais dû mettre mes craintes de côté et lui ouvrir totalement mon cœur. Mais c'est plus fort que moi. J'ai mis tant de temps à le recoller que je n'aime pas le donner facilement.

Mais pour lui...je pourrais peut-être faire une exception. En attendant, je m'empresse de chercher une trousse.

-Qu'est-ce que tu cherches?

-Des bandages, je glisse en fouillant mes placards. Tu peux te décaler?

-Hum. Biensur.

Mais il faut toujours se méfier avec lui. Il me pousse contre le lavabo et se place devant moi. Je pose mes mains et m'y agrippe, pour ne pas tomber. Les siennes les rejoignent vite. Elles se placent juste assez proches, sans les toucher. Et il plonge de nouveau son regard électrique dans mes pupilles frêles. Je retiens mon souffle.

Le visage vite de toute expression, la mâchoire serrée et son regard braqué sur moi font régné une tension palpable. Et quand il se penche vers moi, je pose le regard sur ces belles lèvres roses.

-Tu...tu as besoin de bandages...

-Peut-être. Mais ce n'est pas ça qui va me réconforter.

Il avance encore un peu et je sens son érection caresser ma cuisse. Il sait que j'en ai envie. Mes yeux le crient suffisamment. Et pourtant, il faut toujours qu'il me torture.

-Qu'est-ce que tu veux princesse?

Il le murmure au creux de mon cou et hérisse mes poils.

-Dis-le...

A quoi ça servirait de lutter?

-Que tu me baise.

Il prend mon visage entre ses mains et rapproche ses lèvres des miennes. J'aimerais tant les embrasser...

-Et la politesse?

-Baisez-moi Monsieur...s'il vous plaît, je rajoute sans m'en rendre compte.

Il sourit.

-Bordel que tu es sexy quand tu suppli.

Il écarte violemment mes jambes et se glisse entre elle. Je me cambre alors qu'il fond sur ma peau et la mordille. Pourtant c'est si exquis. Assez pour faire durcir ma poitrine. Il doit sentir mes tétons caresser son torse musclé. Son torse que je veux toucher. Mais il m'en empêche. Il saisi mes poignets d'une main et me les tiens dans le dos..

Et il continu de s'acharner sur ma peau. Tellement qu'un cris m'échappe. Mais il n'en a peu à faire de mes cris. De plus, ils laissent très vite place à de légers gémissements. Je commence à m'habituer à cette douleur et, une fois qu'on la laisse nous envahir, elle laisse place à un plaisir intense.

(FR) Yes daddy T1•Prof X student•Où les histoires vivent. Découvrez maintenant