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⚠️‼️ : Attention aux lecteurs sensibles, chapitre pouvant heurter la sensibilité des jeunes !
Bonne Lecture !💞
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Je me suis levé d'un bond et j'ai vu Imrân devant moi attrapant mes deux épaules de toutes ses forces.
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Imrân : Qu'est-ce que t'as ?! Arrête de crier !
Ma respiration était saccadée et je regardais Imrân, qui lui me fixait avec un regard noir.
Sans y prêter attention je me suis ruée dans ses bras, j'ai enroulé mes bras autour de sa taille et posé ma tête sur son torse.
Face à mon geste soudain son corps s'est crispé et il a répondu que quelques secondes après en enroulant ses bras autour de mes épaules puis j'ai continué à pleurer contre son torse.
Imrân : Calme toi c'est fini maintenant.
Je ne m'attendais à rien de sa part j'avais juste besoin d'une présence pour me rassurer mais quand il a commencé à caresser mes cheveux allant du crâne jusqu'au dos je me suis sentie encore mieux.
Sa main chaude glissant sur ma colonne vertébrale me faisait sentir tellement bien quand j'en oubliais presque mon cauchemar.
Je savais que demain j'allais regretter mais là maintenant je veux juste profiter du moment et j'ai fini par m'endormir dans ses bras.
Dans la peau d'Imrân
Il était 3h, je ne dormais pas encore quand j'ai entendu Malika crier, je me suis précipitamment levé et j'ai accouru dans sa chambre.
Elle était sur son lit en train de bouger dans tous les sens criant à l'aide.
Elle faisait un cauchemar, j'ai essayé de la réveiller en l'appelant, ça n'a pas fonctionné donc j'ai commencé à secouer ses épaules.
Malika : NON ! LÂCHEZ MOI ! JE VOUS EN SUPPLIE !
Elle a commencé à violemment se débattre pour au final se réveiller.
Moi : Qu'est-ce que t'as ?! Arrête de crier !
J'avais pas envie de lui faire croire que j'avais fait ça pour la réveiller de son cauchemar, mais quand elle s'est ruée dans mes bras mon corps s'est crispé et j'ai ressentis ce besoin de la serrer en retour et de la rassurer.
J'ai enroulé mes bras autour de ses épaules et j'ai commencé à caresser ses cheveux descendant sur son dos.
Son souffle était encore saccadé et elle sanglotait contre mon torse.
Moi : Calme-toi c'est fini maintenant.
Elle s'est petit à petit calmée et a fini par s'endormir dans mes bras.
