𝑃𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 52

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⚠️‼️ : Attention aux lecteurs sensibles, chapitre pouvant heurter la sensibilité des jeunes !

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⚠️‼️ : Attention aux lecteurs sensibles, chapitre pouvant heurter la sensibilité des jeunes !

Bonne Lecture !💞

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Dans la peau de Malika

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Ibrahim : Qu'est-ce que tu m'avais manqué ma princesse.

Il passe sa langue sur ses lèvres en me regardant comme un pervers.

Ecœurée par cette scène, j'ai baissé la tête et j'ai continué à pleurer, à sangloter silencieusement en invoquant Dieu et en récitant des milliers de fois la chahada.

C'était la seule chose que je pouvais faire.

Ibrahim : Bon, on va pas perdre de temps. Dommage que tu sois enceinte ça va être difficile mais ce n'est pas pour autant que je vais pas le faire.

Il s'approche doucement du lit et je colle encore plus mes cuisses contre ma poitrine, utilisant les dernières forces qui me restent.

Je tremble de la tête aux pieds, mes larmes coulent sans cesse, je suis effrayée, apeurée, terrifiée et tout ce qui va avec. J'arrive pas à ressentir autre chose.

Moi : Je t'en supplie laisse moi.

Ibrahim : T'es malade toi j'attendais que ça et tu crois que maintenant que j'en ai enfin l'occasion je vais te laisser.

Il monte sur le lit et je me colle encore plus au mur, jusqu'à m'en faire mal au dos. Mon cœur bat la chamade et je sanglote à ne plus pouvoir m'arrêter.

Moi : Je t'en supplie...

Il m'écoute pas et attrape violemment mes mollets pour tendre mes pieds et les décoller de ma poitrine.

Moi : NON ! NON ! LÂCHE-MOI ! LÂCHE-MOI !

Je me débats comme une folle, donnant des coups de pied et tirant sur les cordes de mes mains, je hurle et crie jusqu'à m'en briser les cordes vocales.

Ibrahim : FERME TA GUEULE !

Il m'envoie un énorme coup de poing dans la mâchoire, ma tête cogne violemment contre le matelas.

Il attrape ma gorge, m'étranglant pour maintenir ma tête contre le matelas et m'empêcher de crier.

Ibrahim : Voilà reste sage comme ça.

C'était fini, je ne pouvais plus respirer, plus me battre, aucune force ne restait en moi aucun mouvement n'était possible.

Mes battements de cœur ralentissaient lentement, mes poumons se vidaient de tout leur air. C'était la fin, j'allais mourir.

Mes yeux se sont fermés lentement, mes dernières larmes ont coulé. Ibrahim montait sur moi en califourchon maintenant ma gorge un geste qui scellait mon destin.

𝑀𝑎𝑙𝑖𝑘𝑎 : 𝑆𝑖 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑗'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑢Où les histoires vivent. Découvrez maintenant