𝑃𝑎𝑟𝑡𝑖𝑒 47

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Bonne Lecture !💞

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Dans la peau de Noah

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Tout au long de l'après-midi, Alina n'a pas assisté au cours et à chaque fois que j'ai tenté de la joindre, je suis tombé sur son répondeur. Vous pouvez imaginer à quel point j'étais inquiet.

J'ai demandé à Alizée si elle savait où trouver Alina mais elle m'a informé qu'après cinq minutes de cours, elle s'est sentie très mal, s'est levée et est partie. Même Alizée n'a pas réussi à la contacter par téléphone.

À 17 heures, à la fin des cours, je suis rentré chez moi en colère et j'ai tenté de la contacter pendant une heure mais je n'ai réussi qu'à obtenir des appels manqués et des refus d'appels.

Je n'avais pas envisagé d'aller directement chez elle au cas où son père serait présent, mais désormais cela m'importe peu. Je me lève, enfile ma veste et je me dirige vers chez elle.

[...]

Une fois arrivé en bas de chez elle, je me sentais motivé et confiant, j'avais décidé de lui avouer mes sentiments même si elle me rejetait au moins, elle saurait.

Je savais que si je n'agissais pas rapidement, rien n'avancerait dans notre relation.

Je lui ai envoyé un message bien clair disant :

"Je suis en bas de chez toi descends s'il te plaît on doit parler. Crois moi je n'hésiterai pas à monter s'il le faut."

Par la suite j'ai rangé mon téléphone sans attendre sa réponse et j'ai attendu patiemment, espérant qu'elle descende.

Dans la peau d'Alina

Il était passé 18h et j'étais toujours allongée sur mon lit ignorant les appels et messages de Noah, j'avais arrêté de pleurer depuis longtemps mais à présent, je me sentais très mal.

Après 10 minutes sans recevoir de messages, j'ai pensé qu'il avait arrêté mais un nouveau message a attiré mon attention.

"Je suis en bas de chez toi descends s'il te plaît on doit parler. Crois moi j'hésiterai pas à monter s'il le faut."

Je manquais à la fois de motivation et d'envie de descendre, mais j'avais encore moins envie qu'il monte.

En plus j'avoue que ça m'intrigue un peu, ce qu'il a à me dire doit être vraiment important s'il me harcèle comme ça.

Alors, j'ai rassemblé le peu d'énergie qu'il me restait, enfilé un survêtement et des claquettes, et je suis descendue. Effectivement il était bien là.

Sentant les larmes monter aux yeux, j'ai baissé la tête et je me suis approchée de lui. Il a également fait quelques pas pour être encore plus proche.

𝑀𝑎𝑙𝑖𝑘𝑎 : 𝑆𝑖 𝑠𝑒𝑢𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑗'𝑎𝑣𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑢Où les histoires vivent. Découvrez maintenant