𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟕

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  1 7

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            LE TRAJET A été aussi long que silencieux. Jamais Ménélas ne m’avait vue si troublée auparavant. Il est resté muet tandis que j’observais la vitre, les larmes aux yeux. Je peine à croire que j’ai passé du temps avec une personne responsable du massacre des sephtis.

            Ma gorge est toujours aussi serrée lorsque le carrosse pénètre la ville d’Hylar. Les passants reculent sur le passage de la voiture et je ne peux m’empêcher de remarquer leurs bras garnis de banderoles et nappes en tout genre. Une fête se prépare. Et je sais de laquelle il s’agit.

— Décidément tout est à propos d’elle, ces derniers temps, je soupire.

            Nous approchons du vingt-et-unième jour de juin. Cela signifie que, à partir de ce jour, toutes les personnes qui naitront seront de signe cancer et donc sous la bénédiction d’Artémis — ce qui signifient qu’elles honoreront Lycus.

            Je déglutis péniblement.

— Encore des semaines à passer, terrer dans mon coin, à éviter la ville comme la peste.

            La période qui se termine est celle des gémeaux. Honorer Athéna, lui faire des offrandes tout en riant à la gloire des prêtresses Naal et Maal ne me dérangeait pas le moindre du monde. Les festivités ont été longues et les murmures dans les rues ne cessaient de chanter leurs louanges.

            Je ne suis pas sûre de vouloir assister à la même chose.

— ATTENTION, LE CAROSSE ! LAISSEZ PASSER ! MARCHANDISE LOURDE ET IMPORTANTE EN APPROCHE !

            Je me fige en entendant cette forte voix, dans mon dos. Je ne peux que regarder par la vitre le groupe de cinq hommes portant au-dessus de leur tête une sculpture de glace haute comme trois mètres représentant une femme que je ne connais que trop bien.

𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐋𝐀𝐈𝐍𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐄𝐂𝐇𝐔𝐒. toji x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant