𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟕𝟏

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄   𝟕 𝟏

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄   𝟕 𝟏






















           Les couloirs de la demeure de Toji sont sombres, froids. Je ne peux entendre que le bruit de nos pieds qui se posent sur le marbre noir du sol, résonnant dans le silence des lieux. Parfois, au détour d’une colonne ouvragée, je me dis qu’il s’agit d’un traquenard.

           Que sans doute personne ne vit dans ces lieux.

           Cependant, traversant l’un des arcs brisés se succédant sur le flanc de la salle, je découvre un hall parsemé de lustres. Ceux-là, s’abaissant loin sous le haut plafond de la salle, illuminent les lieux sombres.

           Je déglutis péniblement, m’arrêtant aux côtés de Mélania qui observe la large table noire sous les lustres. Diverses chaises y ont été rangées, tout du long. Mais un fauteuil imposant y trône, en son bout. Savamment ouvragé et taillé dans une ébène des plus sombres.

           Je suppose qu’il mange seul et sur cette chaise.

— Où se trouve Toji ? je demande, sentant mon estomac se nouer.

           Je ne saurais dire si j’ai hâte ou si je déteste l’idée de le rejoindre. Je n’en ai pas véritablement envie, je crois. Cependant je suis aussi débordante d’allégresse à l’idée de me planter devant lui, d’ôter cette étoffe.

           Brutalement, la main de Mélania se referme autour de mon poignet. Je sursaute presque, me tournant vers elle.

           Et, comme si elle avait cerné la danse qu’empruntent mes songes, elle me fixe avec dureté. Ses yeux, réhaussé de paillettes, se plissent lorsqu’elle lâche :

— Comprenez bien : je vous apprécie énormément et suis prête à vous faciliter autant que possible votre séjour en ces lieux. Mais sous aucun prétexte vous ne devez révéler votre visage à Toji.

𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐋𝐀𝐈𝐍𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐄𝐂𝐇𝐔𝐒. toji x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant