𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟑𝟖

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  3 8

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  3 8


























           MENELAS EST allongé sur le dos, en plein milieu du lit que je suis censée partager avec le duc. Ce dernier a eu la politesse d’occuper le canapé du salon, au cours des dernières nuits. Cependant, maintenant, je ne peux même pas m’installer sur ce matelas.

           Mes bras se croisent et mes dents se serrent.

— Ménélas, fais moi de la place.

           Citrouille, le chat que j’ai secouru, est installé sur l’un des oreillers, prenant aussi peu de place que possible. Seulement son cousin n’a absolument pas la même vision du concept de dormir à plusieurs dans le même lit.

           T’avais qu’à venir en premier.

— Ménélas ! je fulmine.

           Je suis bien, je ne compte pas bouger.

— Espèce de…

           Là-dessus, le chat se lève. Un instant, j’esquisse un sourire, me croyant victorieuse. Seulement je déchante rapidement en le voyant diriger son postérieur sur le sol, à quelques centimètres quand même des couvertures.

           Je connais cette position.

— Ménélas ! Tu arrêtes ça immédiatement !

           Soit, je dors comme je veux sur ce lit, soit, personne n’y dort.

           Tournant la tête pour m’observer, il me fixe droit dans les yeux. Je soutiens son regard quelques instants, pensant pouvoir lutter. Mes bras se croisent sur ma poitrine et il couche les oreilles, intimidant.

𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐋𝐀𝐈𝐍𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐄𝐂𝐇𝐔𝐒. toji x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant