𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟗𝐎

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  𝟗 𝐎

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  𝟗 𝐎



















































           Ô doux spectacle que sont ces terres.

           Partout autour de nous, des monts grimpent. Se succédant, couverts d’herbes fraiches parfois traversées de marguerites, ils dégagent une odeur délicieuse. Passant au-dessus de l’un d’eux, j’aperçois, au loin, une rivière d’un bleu topaze. Les colonnes de lumières se scindent en sa surface, à la manière de milles diamants perçant sa voûte éthérée.

           A perte de vue, la nature s’étend. Parfois, j’aperçois la naissance de forêts. Tant de couleurs caressent ma rétine. La brise fraiche apporte de multiples fragrances.

           Soudain, le nuage de fleurs amorce une descente. Nous filons à toute vitesse, fendant le paysage. Akenir file devant nous. Un pont de bois torsadé et enchevêtré rejoint deux monts. Couvert de lierre, il attire mon regard.

           A quoi peut-il bien servir ? Les dragons volent.

           Akenir file d’ailleurs sous une arcade. Nous le suivons à toute vitesse. L’air soulève mes vêtements et je jette un regard à Toji. Ce que je donnerais pour qu’il soit conscient, qu’on partage cela ensemble.

           Soudain, un lac. D’un bleu topaze, profond, il s’étend loin devant nous. Bordé de végétations fouillis, de mille et un types de fleurs qui encadrent le point d’eau. Jusqu’à un pont, lui aussi, bordé de branches torsadés, au loin. Régulièrement, quelques lampadaires anciens allumés de flammes magiques y sont plantés.

— Pourquoi existe-t-il tant de ponts ? Vous volez pourtant et êtes si immense que je suis convaincue qu’il vous suffit d’un pas pour traverser les lacs.

𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐋𝐀𝐈𝐍𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐄𝐂𝐇𝐔𝐒. toji x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant