𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟕𝟐

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄   𝟕 𝟐

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄   𝟕 𝟐


















— J’ai la sensation d’avoir été passé à tabac, grommelle Toji d’un air sombre.

— Arrêtez de vous plaindre.

           L’homme plante son regard dans le mien, à travers le miroir. Le cadran ouvragé aggrave son air solennel. Dans son dos, les ténèbres de ma tenue font ressortir ses yeux smaragdins.

           Je me fige d’ailleurs en distinguant plus nettement les tenants et aboutissants de l’élaboration de ma tenue. Je ne sais qui est venue avec cette idée saugrenue mais l’habit que j’arbore parvient à se montrer plus terrible encore que le lieu dans lequel je le porte.

           Sous la capuche noire et large s’étend des os. Courant le long de mon visage, ils forment un masque. Entre les vertèbres, des éclats de verre opaques empêchent de distinguer ne serait-ce que la couleur de ma peau.

           Toji doit réaliser que je me fige à cette vision.

— Vous ne vous étiez jamais vue avant ? il demande.

           Je reviens brutalement à la réalité, saisissant une boîte aux bords de verre. Véritable mosaïque, les vitraux s’illuminent depuis l’intérieur, signe de la crème l’habillant est lumineuse.

           Je sais de quoi il s’agit. Un onguent spécial pour cheveux qui coûtent particulièrement cher, composé d’éléments magiques uniquement.

— Bah dis donc, ça paye bien d’être Ange, on dirait, je lance pour détourner la conversation.

— Comment êtes-vous morte ?

           Il ne veut rien lâcher.

           Soupirant, j’ouvre le pot. Mes lèvres se pincent lorsqu’une violente odeur de soufre me fouette au visage. Je déglutis péniblement, appréciant moyennement la tournure que prend la conversation.

𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐋𝐀𝐈𝐍𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐄𝐂𝐇𝐔𝐒. toji x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant