𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟐𝟒

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  2 4

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           LES LEVRES PINCEES et le menton levé, j’observe avec un certain mépris le visage du duc devant moi. Ce dernier, affalé sur son siège aux accoudoirs sculptés, a planté son coude dans l’un d’eux et laisse sa tête reposer sur sa main.

           Il regarde la scène que je lui offre d’un air tout à fait ennuyé.

— Non. Toujours pas. Décidément, rien ne vous va, soupire-t-il.

           Ma mâchoire se contracte tandis que les trois femmes autour de moi s’empressent de s’excuser en courbant l’échine. Avec force, elles défont les corsets d’or qui cintrait ma robe ivoire. Puis, elles montrent les autres toilettes étalées sur le lit.

           Il les jauge d’un air absent avant d’acquiescer. Elles s’empressent de saisir un tissu rouge sang qu’elles approchent de mon visage afin de montrer au duc comment ce dernier ressortira avec cette couleur.

           Il fait signe de la main de continuer.

           A nouveau, elles enfilent autour du fin tissue de la robe blanche me servant de sous-vêtement d’autres habits. Avec soin, elles les disposent autour de moi, étudiant la façon dont elles devraient placer chaque épingle pour un meilleur rendu.

           Cela doit faire trois heures que je suis dans la chambre d'hôtel du duc. Il m'a faite venir afin de trouver une élégante toilettes à me mettre. Après tout, il ne peut pas se présenter aux côtés d’une femme vêtue comme une druide au bal.

           Lorsque je suis arrivée, la pièce était vide. Deux femmes m’ont montrée une baignoire remplie à ras d’une eau légèrement rosée où flottaient des pétales de fleurs. J’ai froncé les sourcils, leur demandant quel genre de remède était ceci. Elles m’ont informée qu’elles avaient ordre de me préparer comme les princesses du palais impérial.

𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐋𝐀𝐈𝐍𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐄𝐂𝐇𝐔𝐒. toji x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant