𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟗𝟒

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  𝟗 𝟒

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  𝟗 𝟒













































           Silencieux est le ciel déclinant. Nous ne faisons aucun bruit lorsque, à toute allure, Toji fend l’air et se dirige vers une fenêtre du château.

— Accroche-toi, ma belle.

           Me blottissant contre lui, je me crispe de toutes mes forces et ferme les yeux. Peut-être est-ce ce lien si singulier unissant les âmes sœurs qui me permet de si bien le comprendre, seulement je sais exactement ce qu’il compte faire.

           Un fracas épouvantable retentit lorsque nous percutons le vitrail. Les lèvres closes, crispée, la tête rentrée dans les épaules, je me retiens de crier. Le bruit du verre se brisant et de ses éclats tombant au sol est tel que qu’il me semble que le monde entier entend notre arrivée.

           Les lueurs du soleil se couchant laissent brutalement place à une obscurité. Derrière mes paupières closes, je vois la luminosité baisser brutalement et, quand le silence revient, je me détends enfin.

           Toji a posé pieds à terre. Ses bras me portent toujours tandis qu’il regarde autour de lui, vérifiant que personne ne rapplique pour nous attaquer.

— Bordel, qu’est-ce qu’il s’est passé, ici ?

           La question du noiraud attise ma curiosité et, posant pieds sur le sol, je recule afin de regarder le couloir dans lequel je suis.

           Quelques battements de cils me sont nécessaires pour m’habituer à la luminosité. Marchant en arrière, je plisse les yeux quand, soudain, mon talon percute un objet, sur le sol. Trébuchant, j’agite les bras à toute vitesse et, me retournant dans ma chute, me réceptionne sur les genoux.

𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐋𝐀𝐈𝐍𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐄𝐂𝐇𝐔𝐒. toji x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant