𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟕𝟗

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  𝟕 𝟗

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  𝟕 𝟗
























           Quand le silence est d’or, les cris sont de plomb.

— Les hallucinations se succèdent et je ne sais plus vraiment qui croire, je chuchote pour moi-même. Seule certitude : je me trouve bien dans le char d’Apollon. Les Dieux dégagent une énergie qu’aucun Capricorne ne saura jamais répliquer.

— En effet.

           Me retournant, je découvre la silhouette habillée d’une cape grise de Meevha. Les mains jointes dans le dos, elle se trouve perchée au bas des marches de l’escalier.

           J’ai fui le bureau dès que j’ai compris le plan de la personne nous attaquant. Seulement, dévalant les marches, j’ai bien vite réalisé que je ne savais même pas où allé, qui prévenir.

           Qu’importe celui que je croiserai, comment savoir si je peux m’y fier ? Soit, les cheveux d’ébènes noués en chignon de la Prêtresse Scorpion sont les mêmes que ceux que j’ai pris l’habitude de voir.

           Seulement, ici, je ne peux me fier à mes yeux.

— Il nous faut retrouver les autres. Être prisonnières de ce labyrinthe n’est pas chose aisée. J’y ai vu… Ce que nul ne veut voir, murmure-t-elle.

           La capuche sur ses épaules est partiellement déchirée et des ronces agrippent le tissu. J’observe ces dernières, tentant de comprendre où notre agresseur a bien pu l’envoyer.

           S’il s’agit réellement d’elle.

— Tu comptes révéler à Toji que tu es sa servante ? demande-t-elle soudain.

𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐋𝐀𝐈𝐍𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐄𝐂𝐇𝐔𝐒. toji x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant