𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟒𝐎

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  4 O

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄  4 O





















           SILENCE. CALME.

           Telle une césure dans le chant éternel de l'existence, le repos. De brefs instants seulement, à peine le temps de réaliser que nous ne faisons que ralentir un court moment la folle course de nos vies.

           Sa langue a le goût amer d'un whisky onéreux. Apre, il pourrait me râper la bouche mais la douceur de ses moindres mouvements, de sa respiration calme, de sa retenue m'apaise.

           Mes lèvres se sont posées sur les siennes. Comme une évidence.

           Une évidence...

           Soudain, une lumière. Brutale, violente, elle balaye les ténèbres précédentes sans vergogne. Tout en silence, elle se projette si fort que, les paupières closes, je la vois.

           Brutalement, je me recule. Notre baiser s'interrompt. Tournant la tête, je regarde le couloir.

           Déferlante, elle arrive. A la manière d'une coulée de lave diaphane, elle avale chaque détail du château sur son passage. Nos paupières se ferment, ployant sous la force de cette infinie lueur.

— Arrêtes de regarder.

           La main du duc s'empare de mon bras et m'attire contre lui. Ma tête se loge dans le creux de ses pectoraux et sa main se pose à l'arrière de ma tête, me protégeant.

           Les paupières closes, je ferme les yeux en tentant de réprimer les frissons parcourant mon corps.

— Cesse donc ce comportement puéril, grogne-t-il soudain.

𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐋𝐀𝐈𝐍𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐄𝐂𝐇𝐔𝐒. toji x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant