𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔𝐎

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄   𝟔 𝐎

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄   𝟔 𝐎



















           Je ne sais si des victimes de l’effondrement ont pu en réchapper. Sullyvan et sa fille n’ont montré signe de vie tandis qu’ils sont bien les seuls capables de me dire qui se trouvait dans cet endroit au moment du tremblement.

           Cachée sous ma cape, je cours le long de la dune. Pour l’instant, Meeva retient une partie de la structure mais je ne peux mener les recherches seules. Dans l’idéal, il me faudrait des Vierges capables de se changer en insectes qui se faufileraient dans chaque trou pour ratisser une large zone.

           Je n’ai personnellement pu faire quelques pas, dans les débris, avant de rebrousser chemin. J’espère que des survivants se trouvent dans la ville souterraine et que certains parmi eux seront dotés de pouvoir pouvant m’aider.

— Où crois-tu donc aller, immonde créature ?

           Je me fige en entendant une voix grave féminine retentir dans mon dos. Mes yeux s’écarquillent et mes pieds se plantent dans le sable. Je n’ai pas le temps de réaliser qu’une femme vient de surgir, dans mon dos, que mes yeux repèrent une autre silhouette.

           Là, juste devant moi, un autre capuchon rouge sang, illuminé de la lueur écarlate de cette lune assassine. Voletant au rythme d’une brise lourde, suffocante, je peux presque voir l’ombre de son sourire dans sa capuche.

— Alors… Ne veux-tu pas répondre à ma consœur ?

           Soudain, dans son dos, une main jaillit du sol. Sursautant, je regarde ses doigts s’écarter, brillant sous cette lueur maligne. Quelques instants, elle tremble. Puis, s’abattant sur le sable, elle appuie de toutes ses forces, cherchant une prise.

𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐌𝐏𝐋𝐀𝐈𝐍𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐄𝐂𝐇𝐔𝐒. toji x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant