Her Destinity *En Correction *

Chap2

Pdv Larissa :

Après avoir fini ma douche, propre et habillé, je sortis de cet hôtel, et décida d'aller manger dans un fast food non loin.
Une fois arriver devant la caravane, de ce sois disant cuisinier je commanda un hot dog, paye quelque sous et décida  de me promener en mangeant.

-C'est magnifique. Dis-je éblouie par le magnifique couché de soleil.

alors que  le soleil se depechait de se coucher, les rues devenaient de plus en plus sombres, à peines si les lampadaires éclairaient correctement ces ruelles, mais  malgré le peu de luminosité, je continuais tout de même de marcher,   aisément et de  profiter du bon vent frais que m'offrais la nature, tous étais en parfait harmonie , la température était bonne pour une promenade. Non loin je vis un banc dans un parc, donc   je décida alors de m'asseoir, pour admirais les étoiles, et me laisser guider par mes pensées, regardé ces petites astres était la chose que j'aimais faire le plus , elle sont solitaires comme moi, elles brillaient alors qu'il se pouvait qu'elle étaient morte, tandis que je me  demander, comment serais ma vie si j'avais eu des parents, une famille, une mère pour me conseiller, un père protecteur, un petit frère pour m'emerder toute la journée ou peut être une sœur, est ce que si j'avais droit, à ce que tous enfant avaient droit serais-je différente d'aujourd'hui ?
Oui sûrement, les conseils de ma mère m'auront interdit de tuer encore moins par plaisir, mon père allait sûrement me privé de mauvaise fréquentations, je ne sais pas, mais tous ce que je savais, c'était que dès le début la vie à était méprisante,   impitoyable et sadique envers moi, si j'étais comme toute adolescente, aurais-je eu des sentiments, un cœur à la place d'une pierre, je ne le saurais pas, sûrement je n'aurais jamais su utiliser une arme, ni avoir les mains recouverte de sang, une petite, faible et solitaire larme, décida de quitter son foyer pour se réfugier sur ma joue, pour être rageusement essuyer par le revers de ma main, je  n'avais pas le temps d'être faible,j'ai appris à être forte coûte que coûte, donc je me leva, pour retourner à l'hôtel, mais Sur le chemin du retour une berline noir aux vitres teintés était garer , plus j'approchais plus, mon flair m'indiquais qu'un certain danger se présenter, et comme si la vie n'avait pas d'autre personne à emmerder dans cet immense monde . Comme prévu, deux hommes cagouler, armer jusqu'à la petite dents de laits, et tatouer de la tête jusqu'au dernier petit orteilles, étaient debout tels des feticheurs, et plus j'avancais plus je jurais de toujours avoir une confiance aveugle en mon estin , ces deux mollusques barraient ma route, et à regarder leurs muscles, ces 2 molosces ne volaient pas étre des gentlemans ce soir. Moi qui pensais avoir un nouveau départ, je me suis largement tromper,mes yeux analyser ces deux barriques, je sus donc que l'homme de droite avait l'air  plus imposant ce qui signifie plus nerveux, étant donner qu'il me dévisagait sans aucune gêne, et l'autre imbécile qui ne laisser rien paraître derrière ces lunettes, s'était sûrement cru en plein jour, pour porter des lunettes de soleil, après tous, chacuns ces délires, lui qui c'est cru a Miami, et moi qui me promenait seul la nuit sans mon couteau.

-Ma jolie désolé de te déranger, en pleine balade nocturne, mais tu vas devoir me suivre et gentiment si c'est pas trop te demander. Se décida enfin de parler le molosce de droite, me pointant la voiture de son arme.
Et toi comme une conne tu regarde. Dit ma conscience d'un ton méprisant, alors qu'il s'agissait de ma voix.

-Effectivement vous me dérangez, Et de plus  si je n'ai pas envie.... Vous serez en mesure de faire quoi mon poulet ? Répondis-je avec mon habituelle arrogance, tous en le défiant du regard, alors que l'autre c'est apparemment, transformer en un copie conforme de la Status de la liberté.

-C'est simple, je préfère être doux avec toi et t'emmener avec douceur, qu'avec agressivité. Répondit-il d'un ton calme et posé, pendant qu'il faisait un semblant, de recharger son arme, dans le but de m'effrayer sans doute.

Et sans prévenir, sans réfléchir non plus, je commençais à organiser le compte à rebours, et une fois arriver à cinq je  courerais aussi vite que je le pourais , dans ma tête je tapais mon meilleur sprint carrément , impatient le garde grogna montrant son impatience, donc je m'arma de tous les forces que mes jambes pouvaient regorger , et courus le plus vite que possible dans le sens contraire, sans me retourner, certe je ne connaissais pas les rues de l'Espagne, mais grâce à ces ruelles mal éclairé, je pouvais me faufiler dans une benne à ordure, oui je l'avoue jai regarder trop de film, au   loin je les entendaient crier, et le garde que j'ai traité de poulet n'était apparemment pas content de ma petite fugue. Riais-je intérieurement, en reprenant mon souffle saccadée,qui était mission impossible du a la monstrueuse odeur ettoufante de la ben à ordures.

-he Boris ont lui tire dessus ?demanda l'un d'entre eux.

-hors de question tu as bien entendu les ordres de la chef, si sa tenait qu'à moi je l'aurais bien fait comprendre à cette petasse, qu'il fallait pas jouer avec mes nerfs.repondi d'un ton tranchant, le présumé Boris,alors que mon cerveau s'était arrêter de leur prêter attention, dès lors ou ils à mentionner l'expression "la chef", ce qui voulait dire que mon futur kidnappeur, n'étais pas un homme, mais une femme.

Je parvenais miraculeusement à les semer, en me cachant derrière une voiture garée au bord de la route, trouvant que l'odeur de la poubelle allait sûrement m'asfixiait donc me tuer, alors que je préférais de loin d'être attraper par les deux paparazzis qui me guettaient pour un autographe, que d'être retrouver pitoyablement morte, il n'y avait plus qu'à attendre, que les 2 coyotes décident enfin de desserter les lieux et de partir, pour enfin me laisser retourner à l'hôtel, et comme moral, ne jamais ressortir de chez moi, sans mon couteau, je comptais bien retrouver mes anciennes habitudes qui me manquais tant.