Chap88

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Pdv Larissa :

-PUTAIN,Larissa calme toi, merde. Gueula Theo, alors qu'un seul obstacle m'empenchait réellement de lui boter le cul, et cet obstacle est ce putain de téléphone.

-JE SUIS CALME. Criais-je a bout de forces, a l'encontre de cet imbécile sans neurones.

-Ouais, donc quand t'es calme t'éclate les tympans des gens c'est ça ?Reprit-il ironiquement, alors que je faisais les cents pas dans ma chambre, d'une part stressé qu'il soit arriver un truc à Aleksandr le futur père de mon enfant, et d'une autre part énervé parceque la mini voix dans ma tête me hurlait qu'il m'avait menti et que je l'avais facilement et bêtement cru, sachant que lorsqu'il s'agit de règlement de compte, rien ne pouvait arrêter le monstre cachait en lui.

-Je fais que tomber sur le répondeur d'Aleksandr, et la même merde pour Fiodor. Avouais-je largement inquiète , parceque je savais qu'Aleksandr m'avait menti,ce qui veut dire que ce con est aller coûte que coûte pour régler le compte des espagnoles, si évidemment ma mémoire ne me joue pas de tours, et pour couronner le tous je ne sais où.

-Bah, ils sont partis en mission c'est tous. Lâcha theo nochalement activant mon côté Jeffrey Dahmer , avant  que le bruit de la grille ne vint  soudainement attirer toute mon attention.

-C'est bon, il est la. Le prévenais-je soulager, avant de raccrocher après avoir vu la berline noir fumé se garer, et de balancer mon téléphone sur le lit, pour dévaler les escaliers à la vitesse grand V, alors que j'avais complètement oublier que je suis une femme enceinte, ce qui veut dire un faux pas, et tout est fini, tous mes espoirs d'être mère s'évapore.

-Où était-tu ALEKSANDR ? commençais-je  en respirant comme un buffle, lorsque deux silhouettes que malgrés le noir j'arrivais à distinguer qui sont  Les silhouettes d'Aleksandr et de Fiodor, lorsqu'ils rentrèrent à peine sur le seuil de la porte d'entrée.

-Larissa...commença Aleksandr, avant que je ne parte allumer la lumière pour qu'ils puissent bien voir, mon regard le plus noir que mes yeux leurs balancaient.

-Aleksandr.... Pourquoi... Pourquoi tu es tâcher de sang. M'affolais-je inquiète, me jetant sur son torse pour voir de plus près.

-Larissa.. Ce n'est pas le mien. Finit-il par lâcher tous zein , alors que mon regard inquiet se baladait sur tous son corps, pour analyser le moindre recoin de son corps.

-Tu es blesser au niveau de l'arcade, tu es dans un sale état, ta chemise tâcher du sang de quelqu'un d'autre, tu as deux secondes pour m'expliquer. Le menaçais-je d'un ton cinglant, alors que je lui lançait un regard dur et méprisant, oubliant la présence de Fiodor.

-Vas-y frérot, c'est pas ta femme pour rien. L'encouragea Fiodor, en lui donnant une tape de courage sur l'épaule, alors que j'étais à deux doights de les étrangler tous les deux et de jeter leurs restes dans un caniveau comme le faisait si bien Denis Nilsen.
Dit donc ce tueur en série ta inspiré. Me nargua cette putain de conscience.

-Larissa, mon amour je t'ai tous simplement menti. Fini par lâcher Aleksandr, alors que mes yeux sortirent de suite de leurs orbites, avant que ma bouche s'ouvre instantanément laissant aux mouches une immense entré, je savais qu'il m'avait menti et qu'il était aller régler le compte de ces batards d'espagnols, mais je m'y attendais pas, qu'il me l'avoue directement sans que l'on déclenche une troisième guerre mondiale.

-Je t'avais dis que j'avais une nouvelle à t'annoncer, et toi comme le premier des cons que t'es, tu as préfèrer aller boucler tes putains de règlements de compte, alors que je t'attendais comme une putain de merde. Crachais-je d'un ton menaçant pointant mon doights sur son torse , alors que ses lèvres s'etiraient en un sourire aussi malicieux que narquois,ce qui acsentua ma colère, en colère noire.

-Sale connard. Dis-je tous en ettoufant un sanglots , avant de gravir les escaliers à toute vitesse, pour partir m'enfermer dans notre chambre,non sans claquer la porte pour lui faire comprendre qu'il avait clairement merder.

-Putain, Larissa ouvre, ou je défonce la porte. Dit la voix d'Aleksandr, alors qu'il fraccasait violament la porte, ou j'étais accroupie comme une jeune mamie a s'engloter.

-BORDEL DE MERDE. Cria  rageusement Aleksandr , tout en donnant un puissant coup de pieds sur la porte.

MA passion, enerver les gens, donc lorsqu'un mafieux qui perd son sang froid aussi vite que la lumière me tombe dans les mains, alors pourquoi ne pas en profiter, si de plus il se comporte comme un connard de premier degrés avec un diplôme venu tous droit d'harvard .

-Larissa, je t'en prie, ouvre moi la porte. Me supplia la voix d'Aleksandr,après avoir meurtri le pauvre bois de la  porte, tandis que j'étais tranquillement en train de caressais mon ventre,légèrs sourire aux lèvres.

-J'ai pas envie là . Lui Répondis-je tout simplement, en me levant pour regarder au miroir, mon petit ventre légèrement arrondie dont je suis éperdument fière.

-Larissa, ouvre moi la porte. Reprit-il tout en donnant de légers coup de pied sur la porte.

-Aleksandr. Commençais-je plus sérieusement après avoir ouvert la porte, lacé de l'entendre hurler mon nom, et de fracasser cette pauvre porte qui n'a rien demander du tous.

-J'en ai plus que marre que tu choisise  ta mafia a ta femme. Repris-je, attrapant la paume de sa main, tout en le regardant droit dans les yeux pour qu'il puisse me comprendre.

-Larissa. Chuchota Aleksandr, sachant déjà ou je veux en venir.

-Je suis seule ici, et puis j'ai à chaque fois, cette putain de boule aux ventre à chaque fois, que tu parts faire tes règlement de comptes. Avouais-je tristement, tout en le regardant,pendant que ses yeux transpercé mon âme.

-Aleksandr. Murmurais-je d'un ton triste , alors que je m'apprêtais à lâcher une bombe, qui allait soit nous détruire, ou soit nous réunir, une bombe que j'y avais penser plusieurs fois avant de la lâcher, sachant l'ampleur et l'importance de ce que j'allais dire, et de ce qu'il allait choisir.

-Soit... C'est moi ou c'est la mafia. Lâchais-je d'un ton tranchant , sans aucune once d'émotions dans la voix , alors que je voyais ses beaux yeux vers émeraudes qui m'ont fait tomber amoureuse de lui, s'assombrirent petit à petit, faisant disparaître le vert,tandis que sa main écrasait la mienne,alors que mon autre main caressait mon ventre.

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant