Chap55

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Pdv Larissa :

Je me réveilla avec la tête qui tourne,comme si ma tête était dans un putain de manège, les yeux lourds, mais qui me laissaient, au moin la possibilité d'inspecter la chambre, éclairé par une fenêtre, bloquer par tous sorte de fer, mais qui laisser tous de même passer des piètre rayons du soleil, ce qui m'indiqua que nous étions la journée,la bouche ballionnait, par un vieux tissu, qui sent la moisissure mais bordel, apprenez à acheter des tissus propres lorsque, vous voulez kidnapper les gens tranquillement, assis chez eux,les mains ligotais par une rigide corde aux pieds du lit, qui je suis sur agresse ma peau en laissant de belle trace rouges, sur mes poignets, peu à peu des souvenirs de la veille, commençaient à bombarder ma mémoire, avant qu'une porte s'ouvrit en grincant, provoquant un bruit insupportable, qui attira mon attention et me fit tourner en direction de ce bruit.

-Ah enfin tu t'es reveiller. Dit une voix féminine, propageant un aura sombre dans la pièce à peine éclairé, me donnant la chair de poule.

-Donc c'est toi Larissa, j'avais hâte de te rencontrer, pour être honnête . Continua cette voix, s'approchant tel un félin, me dévoilant enfin, une blonde âgé, de quelques années de plus que moi, des yeux bleus, mais couvert par un voile, aussi sombre que mes pensées.

-Je me présente Valérie .... Smirnov. Se présenta-t-elle, pendant que mon esprit beuga pour deux putains de raisons, son nom et le nom de famille, qu'elle venait d'utiliser.

-Tu dois sûrement... te poser pleins de questions...attend je te retire ce truc. Reprit-elle en approchant pour enlever ce tissu,pendant qu'une bagarre s'éclata entre la mordre, parce qu'elle a osé me toucher, ou de rester calme et réfléchi, pour pouvoir s'enfuir intelligemment, et après revenir lui briser la nuque.

Le choix fait je choisis le fait de me retenir que maintenant, malgres que le choix étais vraiment difficile , je toussa après qu'elle ai enlever, ce tissu toxique de sur mes lèvres, une toux que j'interpréta bien, puisque je cracher, en quelques sorte sur son visage.

-Bon je commence. Dit-elle le regard perdue, alors que je me retenais corps et âme, pour chasser mes envies de cannibalisme envers cette chose.

-Je suis la femme d'Aleksandr, donc c'est mon mari. Commença-t-elle me donnant l'impression qu'elle essayait, plus de se convaincre à elle, que de me convaincre à moi, bordel il ne manquait plus que je tombe, sur des malades mentales dans ma vie.

-Reg... Regarde l'énorme diamant, qui me serre de bague, sur mon doight, et interprète . Dis-je sarcastiquement, sachant très bien, que je jouais avec le feu, alors que je suis attacher de par tous, par une sale attarder mental.

-JE. SUIS. SA. FEMME. LA SEULE. QU'IL. AIMERA. Aboi-t-elle m'asperjant de ces crachats, en détachant chaque syllabes, alors uw eje fermais les yeux, comme pour protéger mes yeux de ce dégueulasse jet de crashas.

-Peut-être avant, ou dans tes rêves mais plus maintenant. La provoquais-je sourire provoquateur sur le visage.
Ferme ta gueule brodel, aboya ma conscience, n'ayant pas si tort que ça.

-On a etait séparer, à cause de ma sois disante maladie mais j'ai guéris. Avoua-t-elle en se grattant sauvagement la main, alors que je ressentais une quelconque pitié, pour sa main.

-Je vois, mais je ne pense pas que tu as vraiment... Guéris . Persistait-je ironiquement, dans la provoquation.

-Il m'aime toujours, je le sais, et... Et il m'attends c'est... C'est sur. Beuga-t-elle en se levant brutalement le Corps tous tremblant.

-Et... Et toi tu es venue t'interposer dans notre parfait couple. Bafouilla-t-elle en me pointant du doights, alors qu'elle tremblait. J'y crois pas.

-Il ne t'aime et ne t'aimeras jamais. Crachais-jeplus qu'enerver par son comportement de psychopathe.

-TAIS TOI. Cria-t-elle en sortant comme une folle laissant la porte ouverte.

-TU VAS TE TAIRE OUI ? Continua-t-elle en revenant seringue dans sa main tremblante,alors que j'avais la bouche fermé, je n'ai même pas essayer de placer une syllabe.

-IL M'AIME À MOI ET PAS A TOI. CRIA -T-ELLE, Les yeux rouges et gonfler par je ne sais quel pitoyable ou malheureuse raison.

-Éloigne toi sale folle. Me débattais-je, en gesticulant dans tous les sens, lorsqu'elle monta sur le lit seringue bien aiguisé à la main.

-ARRÊTE DE BOUGER. Cria-t-elle à son tour.

-AHHH. Criais-je lorsqu'elle enfonça brutalement, la seringue dans mon bras.

-Salope... Je peux te garantir que tous le monde va sentir mon absence, je te... Promet qu'aleksandr... Va me retrouvez. Arrivais-je à articuler, avant que le truc, qu'elle venais de m'injecter, ne fasse son travail.

-De l'haldol, cette fois je t'ai injecter une petite dose, dans bientôt cinq minutes, tu auras des difficultés à contrôlés les mouvements de ton corps, tu auras des effets indésirables, comme la trouble de la vision, la bouche sèche, de l'hyperventilation, de la sueur... Et j'en passe, tu vas vivre un enfer jusqu'à ce que tu me supliras à genoux de mettre fin à ta pitoyable vie. Se moqua-t-elle maintenant calme, pendant que je transpirais comme un porc, j'haletais, ma respiration s'accélèrait, pour chercher de l'oxygène avant que le trou noir ne vint m'emporter.

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant