Chap58

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PDV ALEKSANDR :

-Très bien, les gars vous allez faire, tous votre possible, pour la localiser. Dit Fiodor d'un ton calme, lorsqu'on arriva finalement dans son bureau, alors que moi je faisais les cents pas, je suis connu pour etre une personne colérique  mais pas à ce point, je suis connu pour être le grand mafieux, qui ne stress jamais, mais des l'instant où ce bout de femme est rentrer dans ma vie, ma vie ne se résume qu'au stress.

-BORDEL DE MERDE BOUGEZ VOUS, MA FEMME EST EN DANGER. Aboyais-je sur l'équipe, à chaque fois qu'une pensée d'elle souffrante se propagea dans mon cerveau, tel un panneaux qui m'indiquer un danger.

-TU VA TE CALMER OUI ? Cria a son tour Fiodor, desserant sa cravate,pour deboutonner les premiers boutons de sa chemise.

-Patron, on a de nouveaux infos, de la part de Jules et Alice, il se peut que c'est Ambre qui a kidnapper Larissa, hier soir. Commença un informaticien, alors qu'il se petrifia de peur, en rencontrant mes yeux couverts, par un voile sombre.

Mon cerveau n'arrivais pas, non il refusait de croire qu'une des nôtres ait pu, me trahir de cette horrible façon, cette orpheline que j'ai aider, pour pas qu'elle pourrisse dans les rues mendiante, à oser me faire directement du mal, mon esprit ne pensait pas qu'elle était, si pressé que ça  d'aller pourrir en enfer, tous le monde connaîssais par cœur, la regle d'or, que j'ai poser sous peine de mort désagréable, j'ai prevenue quelque soit la personne, on me touche pas à ce qui m'appartient, on ne touche pas l'endroit où j'ai imprégné mon territoire, on ne touche pas à ma femme.

-PUTAIN DE MERDE, Aleksandr tes imbéciles de gardes d'où tu les a dénichés ? Me demanda Fiodor, alors que je cherchais de même, tant bien que mal à comprendre, d'où est ce que j'ai ramasser des tels abrutis, incapables, une femme à pu kidnappé aisément ma femme, alors que tous ces  salauds supposer avoir, des couilles charger étaient planter dans chaque recoin de ma baraque, je peinais à le croire, parce que c'est difficile de croire à cette putain de blague réel.

-Patron, y'a t'il un truc qui pourra nous aider à la localiser ? Me demanda un informaticien aux lunettes, en pensant que sur mon front il y avait indiquer, GPS.

-Espèce de sale co-. Sifflais-je prêt à l'insulter, avant qu'une image de la bague, que j'ai offerte à ma femme, ne bombarde mon cerveau.

-Dans sa bague. Dis-je plus qu'impatient de retrouver celle qui fait chavirer mon cœur, celle qui me rend dingue, juste en me jetant un seul regard noir, celle qui me donne des d'orgasmes, tels une professionnelle, celle qui m'a ensorceler dès la premiere fois,  mes mains me démangeaint rien, qu' à l'idée de mettre en exécution, mes obscures tortures a ces deux suicidaires.

PDV LARISSA:

-Tu vois ce qui arrive aux femmes, qui essayent de se mettre sur ma route, maintenant elle fait parti des gens qui sont sur le trottoir. Tu as pigé, j'ai fais une blague. Rigola-t-elle, alors que mon cerveau était en mode de compréhension, d'habitude doté d'une extrême intelligence et d'une capacité à vite comprendre les choses, la mon cerveau était en plein  beug.

-Sale folle. Crachais-je la voix tremblante, en tournant mon visage, pour évitez de reveiller ses folies, avec ma bouche qui ne connaissais malheureusement pas de limites , pour regardé pour la énième fois le cadavre, dont j'avais l'impression, qui me fixais, accroché en plein milieu du mur,  une torture sans nom.

-Je suis folle de mon mari, regarde, regarde. Insista-t-elle en attrapant agressivement et forcément mon visage, ce qui me donna envie de me jeter sur elle tel une lionne affamé, pour lui crevée ses yeux bleus, pour lui arracher ce coeur de sorcière.

-JE T'AI DIT DE ME LÂCHER SALLE, FOLLE . Criais-je gesticulant dans tous les sens, en essayant de la mordre, rappellez moi de me brosser les dents avec de la javel, pour enlever ce truc poisseux et dégueulasse.

-REGARDE MOI ICI, TU M'OBEIS. Aboya-t-elle en commetant l'irréparable, elle m'assenat un gifle qui fit écho dans la pièce, ce qui paralysa chaque partie de mon corps, en activant au passage mon mode Denis Nislon, du calme Larissa, du calme, tu es attacher tu pourrais rien faire à part gaspiller ton  énergie, et chauffer ta tête, tu va sortir d'ici, et tu vas lui apprendre les bonnes manières. Criais-je de rage intérieurement essayant de calmer le volcan déjà en éruption.

-C'est la bague, qu'il m'a offerte lors de notre mariage, puis j'étais censé être enceinte... mais le destin à fait que je fasse une fausse couche. Dit-elle caressant d'une main la bague en or avec un crystal et d'une main son ventre, alors qu'un combat venait d'exploser entre lui, montrer l'énorme bijoux qui siègeais dans mon angulaire, pour qu'elle aille se faire foutre ou que je me taise pour pouvoir rester en vie, et lui botter le cul agressivement, pendant qu'elle montrait sa ranger de dents, j'encaissais les coups que prennais mon ego pour après, donc
mes yeux lui lançait des éclairs d'avertissement, qu'elle ne pigea pas.

-Pour notre anniversaire de mariage, il m'a offerte ces ravissante boucles d'oreilles. Reprit-elle alors que ma bouche, s'ouvrit largement pour que des mouches aient le passage dans ma bouche, sans faire d'embouteillages. Ces boucles d'oreilles, les mêmes qu'il m'ai offerte le jour de la vente aux enchères, celle qu'Elena m'avait forcé à les portés. COMEMNT ce batards à pu  oser...
A l'enculer va  m'entendre....

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant