Chap 53

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Pdv Larissa :

-Qu'est ce qui m'arrive bon sang, j'ai littéralement aboyer sur Alice, alors qu'il y avait une part de vérité, dans ce qu'elle a dit, les vertiges, les nausées les changements d'humeurs, les règles en retard, depuis maintenant trois  semaines bordel, si le test n'avait pas afficher négatif, j'allais vraiment croire que je suis enceinte, la boule aux ventre et ce putain de mauvais presentiment, qui ne me lâche pas, il faut que j'appelle Aleksandr. Murmurais-je le coeur lourd.

-Larissa. Dit la voix d'ambre,pendant que je me levais prête à appeler mon époux, comment ça se fait que je ne l'ai pas entendue  entrer ? Parce que t'étais trop occuper à te remmetre en question. Répondis sarcastiquement ma conscience, si tu ne faisais pas partis de moi, je m'aurais fait un malin plaisir à te Tirer une balle au milieux de tes deux yeux.

-Ça te dit qu'on part dans un café, histoire de changer un peu d'air, je te trouve très pâle ces derniers temps,tu sais ? Dit-elle les traits du visage déformer par l'inquiétude,alors que je fermais les yeux avant de les reouvrir, sourire bienveillant sur les lèvres.

-Non j'ai pas trop envie, en plus il fait nuit. Refusais-je poliment, avant de m'assoeir, oubliant ce que je devais faire.

-Non t'inquiète, une prochaine fois alors... Oh merde. Dit-elle en ramassant son bracelet, qui est tomber par terre.

-Je.. N'arrive pas à croire. Balbuta-t-elle toujours par terre, alors que je me penchais, les sourcils fronces essayant de comprendre, pour la voir à genoux, une photo dans les mains, les sourcils arquer.

-C'est quoi cette photo ? Demandais-je sans grand intérêt.

-C'est la photo, d'Aleksandr et de... Valérie,mais bordel qu'est ce qu'il fait la ? Demanda-t-elle pendant que mon cerveau chercher tel un fbi, quelques part dans ma mémoire, ce nom que j'avais déjà entendue plusieurs fois.

FLASH-BACK :

-Aleksandr j'ai une mauvaise nouvelle. Dit l'éternel ton calme, de Fiodor, alors que je descendais en m'accrochant, autant que je pouvais aux murs pour pas me casser la gueule.

-Qu'y a t'il. Demandas Aleksandr , en regardant sa montre, sûrement impatient que je  montre le bout de son nez.

-Elle est sortie de l'hôpital psychiatrique hier. Dit Fiodor le visage décomposé ,en regardant par dessus  l'épaule d'Aleksandr, mais bordel de merde, c'est qui cette Valérie, c'est quoi son rapport avec l'hôpital psychiatrique ?

FIN DU FLASH-BACK :

-J'ai déjà entendue son nom, Aleksandr m'a dit que... c'était une des vôtres. Dis-je en ayant tous de même un doute, j'ai entendue ce nom le jour ou il m'a proposer en mariage, le deuxième jour de notre première torride nuit, et aujourd'hui une photo de lui,et de cette fantôme sous notre lit. C'est quoi çe putain de bordel.

-Ce n'est pas exactement la vérité. Marmonna Ambre, de sorte que je puisse toujours entendre, provoquant en moi un profond doute , ainsi qu'accentuant la curiosité, déjà présent, largement présente.

-Mais tous d'abord, il faut que tu prenne tes médocs.. Ce que je risque de t'avouer ne... Va peut-être, pas te plaire. Dit-elle acsentuant la boule aux ventre, qui c'est déjà installé.

-J'arrive. Dit-elle en se levant pour sortir.

Bordel de merde, qu'est ce qu'Aleksandr ne m'a pas dit, pourquoi mon mauvais presentiment fait en sorte que j'ai une grave envie de vomir, mon Dieu aide moi. Suppliais-je douloureusement, en mordant jusqu'au sang, mes lèvres.

-Je suis la. Dit Ambre devant la porte,  alors que je me précipitais vers elle, en courant comme une folle , pour lui arracher les médocs, et les avaler d'une traite, sans même boire l'eau, peut-être ça va me calmer. Me suis-je dis, bêtement sans réfléchir.

-Parle... AMBRE POUR L'AMOUR DE DIEU ACCOUCHE. Criais-je pendant qu'elle gardait son calme, alors que j'étais à deux doights d'exploser, en faisant les cents pas, dans la chambre  attendant sa réponse,alors qu'elle a décidé de devenir muette.

-Putain, il fait chaud.  haletais-je  courant comme une attardé mentale, pour ouvrir la véranda.

-AMBRE, TU ATTEND QUOI POUR PARLER ? Criais-je nerveuse et toujours transpirante, attendant avec impatience, que les effets des médocs commençent à faire leur putain de job.

Mais c'est quoi cette mèrde, la Russie est connue  pour etre un pays froid mais bordel, pourquoi je n'arrive pas à sentir, le vent glacial, frigorifiant de la Russie ... Rien nada, donc aujourd’hui étant donné, que je suis mourante de chaleur, la vie a voulu transformer, La Russie en désert,et manquer plus qu'Ambre devienne muette aussi, tous ça maintenant.

-VALÉRIE.. c'était la femme d'Aleksandr. Lâcha finalement, Ambre après m'avoir rendue dingue, alors que je me figea sur place, Mon visage se decomposa suite à l'accouchement d'Ambre,mes yeux commencèrent à me picoter, signe que les larmes ne tarderaient pas a faire leurs show, je dus m'accrocher autant que possible, à la barre de la véranda pour ne pas m'ecrouler, parceque mes pieds commençaient à trembler sous mon poids, devenue soudainement lourd, Je n'arrivais pas à croire, il m'a menti, il m'a pourtant, dit que c'était une des leurs , il a mis cette bague à mon doight, alors qu'il me mentait droit dans les  yeux .

-Ahhhh. Criais-je alors qu'une douloureuse crampe, aux ventre me fit lâcher le bord de la véranda, pour attraper à l'aide de mes deux mains mon ventre, qui ne faisait qu'envoyer des douleureuses cramps,en rendant ma respiration saccadé et difficile.

-Larissa... Bon sang vient avec moi, il faut que je t'emmène à l'hôpital, sur le champ. Paniqua Ambre, le visage déformée par l'inquiétude, en m'aidant à marcher, alors que des brûlures et des  violents cramps broillait mon ventre, me faisant rugir tel une lionne, qui étais prête à accoucher.

-il faut que Jules vienne, Aleksandr m'interdit de sortir sans La compagnie de.. De Ju.. Jules. Arrivais à peine à articuler, pendant qu'on descendaient les escaliers, alors que chaque pas étaient pour moi, un défi dans un camp militaire.

-Larissa, je suis avec toi, et on a pas le temps. Dit-elle en m'amenant devant le garage,un endroit que je n'avais pas visité d'ailleurs, je me savais même pas, l'existence de cette endroit qui regorger, tous sorte de moto et de voiture, du plus simple aux vitre fumés.

-Maintenant tu vas monter dans le coffre d'accord ? Les gardes vont nous poser des questions si il te voit, et franchement on a pas ce temps. Marmonna-t-elle une fois arrivé devant un jeep noir.

-Mais d'abord tiens, ça va calmer un peu. Dit-elle en me donnant des pillules, que j'avalais de suite avant de rentrer dans le coffre. Et tous ça sans te poser de questions. Me reprimanda ma conscience.

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant