Chap 20

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Pdv Larissa :

Il embrassa chaque parcelle de ma mâchoire, puis s'attaqua à mes lèvres avec douceur, ces lèvres charnues mordait ma lèvre, pour demander accès à ma langue, tout mon corps demanda à ce qu'il continu sans qu'il s'arrête, qu'il Continu sans cesse, mais ma fierté refusait d'accepter de me faire encore avoir, c'est dans un élan inhumain que je tourna ma tête pour arrêter ce baiser.

-Larissa ne gâche pas ce moment, chuchota-t'il en rattrapant ma mâchoire.

-Aleksandr laisse moi partir. Dis-je en le poussant.

-Tu Ne VOIS PAS CE QUE TU ME FAIS ALEKSANDR ? TU M'EMBRASSE ET ME FAIT SENTIR SPÉCIALISE POUR, APRÈS ME JETER ET ALLER BAISER AVEC AMBRE. criais-je nerveuse, alors qu'il souffla frustré.

-Je PARS BAISER AVEC AMBRE POUR T'OUBLIER. cria-t-il à son tour en décoiffant ses cheveux, signe qu'il étais frustré tout autant que moi.

-Larissa mon monde est beaucoup trop risqué, pour une âme innocente. Reprit-il une fois calmé,ne me lâchant pas des yeux.

-Ce monde que tu dis qui est dangeureux, JE VIVAIS DEDANS. Retroquais-je en le regardant et en m'approchant dangeureusement de lui.

-À l'âge de 18ans, j'ai fuit d'un hôpital psychiatrique en Russie pour aller m'installer en Espagne, et commencer une nouvelle vie, j'ai fui cette endroit parceque je n'avais rien d'une personne folle, j'étais une simple fille perdue, qui a tué cette gamine, sous l'effet d'une drogue mais personne ne m'a cru ,  Moi j'ai grandi sans parents, pendant que Tu étais là avec tes parents, Moi j'erer de cartels à cartels donc ne me dit pas que je suis trop innocente à ton monde, Aleksandr. Dis-je en ayant des tonnes de flash-back, refoulant cette terrible envie de pleurer.

-Moi.. jai découvert  quand j'étais dans  le  sous sol, que j'avais un père et une mère  qui voulait fuir la mafia pour fonder une famille  Moi je devais avoir une famille, Moi je n'aurais jamais eu du sang sur mes mains, si J'avais des parents, Si on les avaient pas tuer, j'aurais eu des parents TU M'ENTENDS ALEKSANDR. Criais-je à bout de force, tous en le bousculant.

-Ne me dit pas que ton monde est obscur , parce que figure toi que ses mains blanches comme la neige en apparence, sont tâcher de sang. Continuais-je alors qu'il serrer la mâchoire.

-Je tuais les gens pour ma de fence, quand un cartels m'a recruter puis avec l'habitude  je tuaient les gens par plaisir. Dis-je en regardant mes mains, et regrettant toutes les atrocités que j'ai engendrer.

-Mon monde est plus dangeureux plus obscur mon ange, tu ne peux pas l'imaginer. Dit-il en se servant un verre.

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant