Chap62

325 11 2
                                    

PDV ALEKSANDR :

-Vous avez intérêt à ce que ma femme s'en sorte INDEMNE,que tu fasse de la magie, ou je ne sais quoi tu as intérêt qu'elle s'en sorte. Menaçais-je le docteur, le bout de mon arme sur sa tempe, alors que je  viennais à peine, de lui confier ma femme.

Cette chaleur une fois prêt de moi  arrive à me contrôler,  arrive à contrôler le sadique monstre qui abrite en moi,  arrive à briser la pierre pour laisser place a un cœur de chair, c'est fou comme un si petit bout de femme ai pu arriver à pentrer profondément dans mon âme, dans ce coeur de roche, la raison pour laquelle toute personne qui osera enfraindre ma regle d'or en subira de lourdes conséquences.

-ALEKSANDR, Aleksandr, faut que je te dise un truc important. Dit Jules essoufflé, ce qui attira mon attention, laissant le temps au doc de s'échapper.

-Je t'écoute. Répondis-je écoutant attentivement tous ce qu'il va dire,rangeant mon arme.

-On a trouvé deux cadavres, la première dépouille c'est celle qui décompose le plus, c'est le cadavre d'un mec et le deuxième. Dit-il en gardant le suspense , alors qu'il ne savait pas que je m'en battait les couilles, tant que Valérie est bien attacher et patiente pour que j'arrive,et que ma femme sorte d'ici, à mon avis c'est le plus important.

-Jules accouche pour en finir, ou dégage. Soufflais-je agacé, en regardant la porte, ou ma femme se trouve pendant, que j'étais assis impuissant.

-Le deuxième cadavre, c'est une femme, et c'est Ambre. Finit-il par dire, captant une nouvelle fois, toute mon attention.

-Comment ? Demandais-je d'une voix sombre, me rappelant sa trahison envers moi,signe que je ne devais pas avoir de la pitié, ni de pincements au cœur.

-De tortures, d'affreuse torture,Alice sera dévasté. Dit-il le regard perdu, alors que le doc s'avançait et d'après le visage qu'il affichait sur sa tronche, je craignais la pire, à force qu'il s'approchait, je recharger une balle dans mon  révolver,le faisant comprendre que, si ma femme meurt, il meurt aussi.

-Mon-. Commença-t'il, une fois arriver à mon niveau, levant la tête pour s'adresser à moi.

-Je vous écoute. Le coupais-je,plus qu'ennuyer par ses salutations de merde.

-Votre femme était enceinte. Reprit-il,alors que je me pris un énorme choc, qui me fit aggrpier la poignet de la porte d'une chambre.

-Rassurer moi l'enfant va bien ? Demanda Fiodor, légèrement excité venu de nulle part, alors que je glissais le long de la porte pour m'asseoir à même le sol, la tête entre les mains sentant la merde arriver.

-J'y arrive, malheureusement cette grossesse était voué à l'échec, c'était une grossesse extra-utérine. Précisa le docteur me donnant un deuxième sacré coup dans le cœur, cette nouvelle me fit lâcher quelques larmes , des gouttes de larmes salé, composer de douleur mélangé à de la tristesse, je ressentais un profond vide, une douleur, alors que je ne prévoyais même pas l'idée d'avoir un enfant,des larmes qui étaient fabriquer de part par de la douleur, tristesse, et d'autre part de la rage, colère, et de la mélancolie.

-C'est a dire ? Demanda  Fiodor, alors que mes jous se noyaient de plus en plus de larmes silencieuses.

-En bref , l'ovule à été fécondé dans un site autre que la paroi endrometrique de la cavité uterielle, pour le cas de madame Smirnov... l'ovule est fécondé dans les trompes de fallopes. Reprit-il, lâchant des lames bien aiguisés, à chaque putains de mots qu'il crachais.

-Et comment va-t'elle ? Redemanda Fiodor d'une voix inquiète inquiet , alors que j'appréhendais déjà, la réaction de Larissa.

-À temps, heureusement que vous l'avez ramené à temps, sinon quelques minutes de plus, et soit elle serait à l'heure actuelle au coma  ou décédé à cause de la forte dose, et nous avons aussi retiré l'embryon . Répondis le docteur, alors que je me levais voulant coûte que coûte la voir, il le fallait.

-Monsieur Smirnov, votre belle sœur a reçue plusieurs injections, utiliser en psychiatrie et cela depuis au préalable un mois, prenait-elle des médicaments contre les effets de la grossesse ? Demanda le docteur à Fiodor, une question qui me stoppa net, mes pieds se figèrent sur place, ne voulant pas faire un autre putain  de pas en avant, mais plutôt deux en arrière.

-Qu'est-ce vous insiniez ? Demandais-je d'une voix menaçante, en le regardant de mon habituel regard perçant, la rage déjà propager dans tous mon corps, tel un dangeureux poison.

-Que votre femme, savez qu'elle était en grossesse extra-utérine, mais vous connaissez les mères... elles sont très attachantes à leurs enfants, donc il se peut qu'elle ai pris du propoponol, pour calmer les atroces douleurs, une grossesse extra-utérine, est aussi dangeureuse que douleures. Continue-t-il comme si c'était la chose, la plus normale au monde,alors que je respirais comme un buffle,tentant de garder mon calme.

-Al... Aleksandr calme toi. Me prévena Fiodor sentant, lui aussi la merde arriver.

-SALE CONNARD, ON PARLE DE MA FEMME. Criais-je en lui offrant mon poing dans sa figure, défoulant toute ma rage, tous cette rage que j'ai encaisser.

-BORDEL DE MERDE ALEKSANDR. Cria Fiodor en m'attrapant par le col, pour me plaquer sur la porte de la  chambre, loin du docteur a la gueule défiguré.

-OSE OUVRIR ENCORE TA SALE GUEULE, POUR PARLER MAL DE MA FEMME, ET JE FAIS EN SORTE DE FAIRE DISPARAÎTRE TOUTE TON ASCENDANCE ET DESCENDANCE EN UN CLAQUEMENT DE DOIGHT PIGER ? Aboyais-je d'une voix sombre , lui pointant mon doights,manquer plus qu'un salopard pour m'enfoncer encore plus dans cette colère noire ,alors que j'arrivais plus à y sortir.

-Aleksandr, calme toi, il supposait juste. Me calma Fiodor alors qu'un groupement d'infirmière, ce former autour de ce clochard à la gueule déformé.

-FAIS CHIER, J'ÉTAIS SUPPOSER ÊTRE PÈRE, ET MA FEMME ÉTAIT SUR LE POINT DE ME LÂCHER, Fiodor elle était la dans mes mains toute tremblante, le visage blemit, BORDEL, elle m'avait dit qu'elle avait un mauvais pressentiment, et je lui ai promis de ne pas rester loin d'elle. Avouais-je la voix tremblante, dans les bras de mon frère, regardant l'endroit, où je trasporter ma princesse  y'a de cela quelques heures.

-Eh ben frérot, si un jour on me l'avait dit que le grand mafieux russe, allait pleurer pour une femme, j'allais m'etrangler de rire. Rigola Fiodor en me donnant une tape dans le dos.

-Je te l'ai pourtant dit, ta femme c'est une battante et voilà, elle s'en est sortie, certe sans votre enfants, mais celle qui, peut te donner une descendance, respire toujours. Reprit-il plus sérieusement,alors que je me fis la promesse de la garder près de moi, et que je serrais plus que capable de tuer, juste pour elle.

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant